Mes (5) piliers de la synthwave

Annotation :

Space Station, c'est un peu la synthétisation de mes rêveries d'infini. Dans l'univers de la chillwave vers lequel tend cet album, Space Station propose une sonorité unique.
Cet album est distribué sur le label Eye Witness Records, qui distribue également (entre autres) HOME, Betamaxx, et Emil Rottmayer.
De manière générale, la synthwave repose sur des codes sonores rodés, un noyau dur de gimmicks dont les artistes ont souvent du mal à se détacher. Ici, A.L.I.S.O.N crée un univers musical unique qui veut vous faire regarder vers les étoiles.
Et dans 30 ans, quand je serais parti les rejoindre dans la solitude, je sais que Space Station sera là.

Un morceau à retenir : « Gaze (Alternative Mix) »

Annotation :

Dans l'univers de la synthwave, Mitch Murder est difficile à rater.
Mitch Murder, c'est un peu le point d'accroche ultime pour s'immerger dans ce courant musical, avec sa maîtrise incroyable des codes et ses mélodies cheesy. Le type est partout, et signe (excusez du peu) une grosse partie de la BO de Kung Fury.

After Hours, c'est pour moi un peu comme le Meddle des Pink Floyd : un album où tout gravite autour d'un morceau maître. Pour les Floyd, ce sera Echoes. Pour Mitch Murder, ce sera After Hours Run.

After Hours Run, c'est un concentré de toute la symbolique et de la culture qui gravite autour de la synthwave. Des sonorités rétro à souhait, une mélodie à l'accroche épique, et qui aurait parfaitement sa place dans une série ou un film des années 80. Pour cet unique morceau, Mitch Murder fait pour moi partie des meilleurs.

Un (autre) morceau à retenir : « Night Shift »