Mes albums 2017

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Après la consécration Lost In The Dreams, Adam Granduciel était forcément attendu au tournant. A Deeper Understanding n'en est finalement que la suite logique plus, plus. Plus épique, mieux produit, plus aventureux... Ce nouve album est une ode aux grands espaces, un disque qu'on aimerait écouter en boucle en parcourant les plaines du midwest. Les arrangements sont d'une grande élégance, on se laisse porter par ce souffle qui parcourt tout le disque. The War On Drugs ne se sont mis aucune limites, des solos en veux tu en voilà... Le grand disque Rock de cette année voire plus.
Meilleur titre : Pain

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Bien qu'admiratif du travail en tant que producteur du Vénézuélien Alejandro Ghersi, on était un peu plus dubitatif à l'écoute de ses deux précédents disques. En poussant la chansonnette sur son dernier né, il a bien fallu faire table rase et se pencher sérieusement sur le premier album de 2017 qui mériterait de terminer dans le top 10. Plus pop et donc plus accessible, Arca reste un disque sombre, qui sent le sexe triste et douloureux. Toujours aussi torturé, Ghersi n'hésite pas à provoquer des envolées lyriques et anarchistes. C'est un disque perturbé évoquant parfois Anohni ou le dernier Bjork (normal il l'a produit) qui nous dégoûte, nous intrigue et nous pousse inexorablement vers la compassion.
Meilleur titre : Reverie

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Compilation d’une cohérence rare, Mono No Aware touche par sa poésie qui transparait tout au long de son écoute. J’ai beaucoup pensé au film It Follows, film d’horreur teenager touché par la grâce qui suivait une bande d’ados désenchantées. Mono No Aware aurait pu en être la bande son, la bande son mélancolique d’une génération perdue fumant ses splifs sans envie, d’adolescents à la recherche d’un romantisme perdu depuis longtemps couchant entre eux, sans sentiments, plus pour passer le temps que par passion. De cette bande son désespérée transparait le fantasme de cette vision adolescente paumée dans ses suburbs dont nous essayons de nous abreuver à travers les films de Larry Clark et Gus Van Sant. Superbe !
Meilleur titre : Second Mistake

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Avec son premier album Kelly Lee Owens surprend en réussissant le pari de marier techno et pop éthérée. Entre chants rêveurs, beats entrainants et basses profondes, la demoiselle qui a tout d’une grande étonne par sa maitrise des genres si éloignés mais si harmonieux entre eux. Si les compositions peuvent paraitre parfois très différentes entre elles, l’ensemble montre un tout cohérent qui évolue au fil du disque vers quelque chose de plus sombre et plus intense. Cette galloise nous offre en tout cas une très belle surprise pour cette artiste qui était inconnue jusqu’à la sortie de ce disque.
Meilleur titre : Bird

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Le voilà l'album pop de l'année!! On aurait jamais miser une pièce sur elle pourtant mais voilà, Lorde a réussi à faire un album aux musiques catchy sans en faire des tonnes avec sa voix grave... Sans être atypiques, ses compositions ont un réel style et oscillent entre elecro/pop et chansons aux piano franchement réussies... En prime on a surement trouvé la plus belle pochette de l'année...
Meilleur titre : Green Light

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3 ans après la sortie de Summertime 06, ce disque nous hante encore... Dire que l'attente était énorme, et i faut bien l'admettre, Vince Staples nous colle une énorme claque avec ce Big Fish Theory. Moins inquiétant, Vince Staples continue à rapper avec ce flow si fluide, si rapide, si percutant à l'image de sa musique qui se fait de plus en plus électronique. Sans temps mort, Ce nouvel album ne fait pas dans les concessions. Ça claque, ça tape, l'auditeur est KO, Vince Staples toujours debout.
Meilleur titre : Party People

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Depuis sa percée solo, Kevin Morby n'arrête pas de nous enchanter. Sans pour autant révolutionner son style, l'américain impressionne surtout par sa capacité à composer des chansons rock'n'folk aux allures intemporelles, aux riffs qui font mouche à la seconde où ils sont joués, cette capacité à sortir des ponts tous plus surprenants les uns que les autres. Oui Morby est le digne héritier de Bob Dylan et ce City Music injustement ignoré est probablement son meilleur album à ce jour.
Meilleur titre : Crybaby

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L'album peut rebuter, avec Prescription: Word, Sound & Power, c’est 3 heures ( !) de mix qui vous attendent avec pas moins de 24 titres soit une moyenne de 7min30 par titre #instantmath. Pourtant on ne jettera rien dans cette compilation/mix concocté par ce doyen de Chicago dont une majorité de titre a été composé par ses soins. Entre house, acid et disco, Ron Trent varie les plaisirs pour ne jamais tomber dans la redite, bien que quelques titres soient en deçà (bien souvent les plus courts), cette compilation s’avère être salvatrice tant les montées sont parfaitement exécutées. Feu d’artifice de 3 heures non-stop on a trouvé le compagnon idéal de nos fêtes.
Meilleur titre : Love Is The Message (For Those Who Didn't Hear It)

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On avait laissé Foxygen avec un Star Power assez bordélique il faut bien le dire qui avait le défaut de ne pas savoir où il allait. La copie a été plus ou moins corrigée avec ce Hang qui part encore dans tous les sens mais qu'est ce que ça sonne bien bordel!!!
Passé dans un vrai studio en compagnie d'un orchestre de 40 personnes ce disque sonne comme à la grande époque. Il faudra simplement accepter ce côté plus grand cabaret du monde rappelant un Sinatra sous acide. Ici on aime beaucoup en tout cas!
Meilleur titre : America

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Il nous aura fallu une seule écoute du titre phare Mythological Beauty pour tomber sous le charme de Big Thief... Evoluant dans un registre folk/rock 90's, donc pas forcément orignal, on a eu les bras ballants à l'écoute du chant d'Adrianne Lenker d'une simplicité désarmante à l'image de ses chansons. Pas de fioritures, de surenchères, Capacity es un disque taillé dans l'os qui déballe sur fond d'histoires à la fois simples et terriblement touchantes des lignes de guitares somptueuses.
Meilleur titre : Mythological Beauty

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Il m’aura fallu du temps pour apprécier le talent de Kendrick Lamar, le premier disque m’avait paru trop long, le second trop démonstratif mais c’est finalement avec le brut untitled unmastered. et son concert au primavera que Lamar s’est révélé à mes yeux comme un rappeur à part. Lamar ne fait pas comme les autres, réveillant une sorte de rap old school mais pourtant terriblement moderne j’avais été ébahi par l’énergie qu’il dégageait porté par un groupe nerveux (chose trop rare dans le rap). untitled unmastered, disque sans ambition qui nous balançait en pleine face une collection de titres dont il ne savait quoi faire dévoilait une certaine forme d’urgence et de générosité me le rendant bien plus sympathique que n’importe quel rappeur. J’ai l’impression d’arriver après la guerre car DAMN, malgré sa force est sans aucun doute son disque le moins ambitieux. Pourtant on se délecte de certaines tracks à commencer par Humble, single entêtant et percutant. On pense à XXX, capable de rendre grâce à nos yeux le groupe perdu U2 où Bono y chante sûrement sa meilleure chanson depuis des lustres, ou nous claquant avec force nos joues sur des morceaux comme DNA. DAMN ne se pose pas de questions, la ligne directrice y est plus floue mais Kendrick impose encore une fois un flow à faire pâlir grand nombre de ses compères et des productions tutoyant les sommets.
Meilleur titre : Humble

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Ça ne paye pas de mine! Disque pop/rock plus classique tu meurs, inscrit dans une des tendances phare de notre époque, soit le rock un peu grunge, un peu année 90, un peu teen avec une voix féminine (c’est important ça la voix féminine !). On pense à des trucs comme Alvvays mais enregistré proprement. Moi, je l’aime bien cette tendance un peu grunge, un peu année 90, un peu teen avec une voix féminine. Hater n’a pas inventé une nouvelle sorte de mayonnaise avec ce You Tried mais voilà ça marche. D’entrée avec Carpet, on est touché par le chant de la demoiselle, les lignes de guitares sont claires et généreuses en mélodie. Voilà un disque appliqué avec des sentiments qui nous chamboule, nous bouscule. Et même si le dernier tiers est un peu faiblard, on les pardonne tant You Tried, avec trois fois rien, arrive à nous faire lâcher prise.
Meilleur titre : Carpet

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Avec une carrière déjà conséquente le groupe Hurray For The Riff Raff a finalement eu son quart d'heure de gloire avec ce 7ème album et c'est bien sûr parfaitement mérité. Croisement d'une Fiona Apple et d'un Tom Waits. Ses chansons folk/rock teinté d'Americana et d'ambiances Sud Américaine convint sur toute la ligne. On tombe sous le charme de ces compositions simples mais où l'on ressent tout le cœur qui y a été mis.
Meilleur titre: Pa'Lante

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L'enfant prodige signe avec Rocket son disque le plus abouti probablement tout en se permettant des égarements sonores qui font tout le charme du bonhomme. Comparé à Elliot SMith à ses débuts, Alex G s'en éloigne au fur et mesure en n'ayant pas peur de nous livrer des titres punk, expérimentaux ou des chansons country rétrogrades. Ce foutoir total c'est pourtant ce qu'on aime le plus chez lui, le portrait touchant d'un jeune homme qui semble fonctionner à l'instinct, en composant dix chansons à la minute et qui nous touche à chaque fois en plein coeur.
Meilleur titre : Bobby

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Toujours plus, Pure Comedy aurait pu pêcher par son excès de chansons, son excès d'orchestrations mais il n'en est rien. Pure Comedy est très certainement le meilleur album du gugus qui nous régale avec des compositions à rallonge et aux orchestrations soignées. Un disque ambitieux donc qui malgré sa longueur (on dépasse facilement l'heure), arrive à nous charmer avec son folk/rock sentant bon la déprime post-trump.
Meilleur titre : Total Entertainment Forever

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Dans un trip total 80's, l'Australien surprend par ses compositions attachantes aux mélodies imparables. On aurait pas parié un kopeck tant on est loin de la musique qu'on affectionne mais il faut avouer que sous ces sonorités à la fois cheap et élégantes on est soufflé par des compositions aux refrains qui vous restent en tête. Cameron y met tout son cœur et ça s'entend. Aidé par son naturel showman, l'artiste s'époumone pour donner vie à ces 10 compositions terriblement attachantes.
Meilleur titre : Stranger's Kiss (Feat. Angel Olsen)

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Sans doute son album le plus pop, le plus accessible et le plus varié. Déjà son 5ème album, mais Annie Clark n'en finit pas d'explorer de nouveaux horizons, de proposer quelque chose de neuf sans se pourfendre. MASSEDUCTION voit Annie Clark proposer un disque plus électronique aux influences années 80 tout en parsemant de très belles ballades confirmant que Saint Vincent n'a pas besoin de sa guitare pour briller.
Meilleur titre : New York

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Derrière ce nom barbare, se révèle un beau disque de techno... Enfin peut on parler de techno? Car Varg si il est issu de cette scène ne semble pas y être attaché plus que ça tant ce disque dépasse allègrement la frontière. Il y a de l'ambient, de la presque R'nB trap avec du vocoder, à lire comme ç on pourrait faire la moue... Mais il en est rien. Car cet album est traversé par une mélancolie, des émotions oniriques qui vous transperce le coeur. On est comme coincé au fond d'une grotte, seule une lueur nous atteint, cette lueur c'est VARG!
Meilleur titre : Red Line (114 Östermalmstorg - 127 Vårberg) (With Matti Bye, Christian Augustin & Henrik Söderström)

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Oh de la flûte! Ha putain encore de la flûte, putain mais c'est quoi toutes ces flûtes???? Voilà à quoi se résume la première écoute d'Utopia mais avec un peu de persévérance, Utopia est sans doute son plus beau disque. Beau car on entend une Björk heureuse, apaisée qui ne veut que douceur pour nos oreilles. On se laisse embarqué dans ce disque co-écrit avec Arca qui fait preuve encore d'un savoir faire hors pair arrivant à se faire imbriquer des sons indus à la douceur des flûtes et harpes. Étrangement beau, Utopia est la très belle surprise de cette fin d'année.
Meilleur titre : Losss

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Retour aux affaires après une pause de sept longues années... On était en droit de douter si ce come-back allait être un succès ou non... Reprochés d'être revenus aux affaires pour une question d'argent, l'album a tardé à arriver... Et puis les premières chansons dévoilées bien que bonnes manquaient d'originalité... Et puis cette pochette... Au final American Dream est donc une bonne surprise et un (très) bon album qui n'arrive pas égaliser avec les deux albums précédents mais qui dévoile un groupe plus sombre tout en étant toujours capable de sortir des chansons qui butent l'instar de How Do You Sleep?, un morceau tout en progression qui nous gifle en pleine face avec ses basses puissantes.
Meilleur titre : How Do You Sleep?

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Coup de cœur pour cet album constitué essentiellement de compositions au piano. Album introspectif et mélancolique, Poppy Ackroyd dévoile un talent certain pour immerger l'auditeur dans des mélodies crève-cœurs. Le temps en suspension, on savoure ce Sketches à la fois accessible tout en étant rigoureux dans l'écriture.
Meilleur titre : Time

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Spoon c'est 20 ans de carrière pour une discographie au top avec une moyenne senscritique pourrave. Si si. Qu'est ce que c'est que tout ces 6? Bouuuuh... Vilain. Le senscritiqueur est un être bien difficile alors que Spoon vient de prouver avec Hot Toughts qu'ils n'étaient pas encore à ranger dans la catégorie groupe moisi. Ce neuvième disque est dans la continuité de They Want My Soul sorti en 2014 (putain déjà 3 ans). A savoir plus de synthés, plus direct, plus pop. Mais le groupe n'abandonne pas pour autant les guitares! La partie rythmique de ce groupe reste démentielle. Le duo guitare/batterie faisant des merveilles (non mais cette cassure rythmique sur WhisperI'lllistentohearit c'est pas merveilleux?). Assez fun et très accessible, le groupe tente d'aller à l'assaut des charts et nous rappelle furieusement le Phoenix de la grande époque (Wolfgang Amadeus Phoenix les gars...). Ça défile à une vitesse folle, ça nous met un grand sourire sur le visage, et puis bah c'est déjà pas mal :/
Meilleur titre : WhisperI'lllistentohearit

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Une fois passée la voix Américaine maniérée (ça fait un peu gnagnagnagna quoi) the yunahon mixtape s’avère une sucrerie dont on va avoir bien du mal à se passer…. Concentrant tout ce que l’indie Rock / Emo / college a pu faire de mieux au début de la décennie, Oso Oso nous fait remonter en nous les souvenirs de Death Cab For Cutie et autres Spoon. Des guitares à gogo, des refrains emphasés voire pourquoi pas ampoulés, des chœurs et des emballements… The Yunahon Mixtape regroupe tous les clichés que l’on souhaitait entendre sur ce disque. J’aime d’amour.
Meilleur titre : reindeer games

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Excellent cet album! Leur meilleur depuis In Evening Air (2010...). Groupe devenu hype depuis leur précédent disque Singles, Future Islands n'a pas gonflé aux hormones sa production pour tenter de surfer sur une tendance, ces gars là restent fidèles à eux même. Batterie à la limite de la boite à rythme, synthé et basse suffisent à leur bonheur. Ça groove sur des mélodies mélancoliques, les chansons sont pour la plupart des mini-tubes en puissance, bien sûr il n'y a rien de nouveau sous le soleil mais ça nous suffit amplement. Et puis il faut bien le dire, même si on peut trouver des groupes dans la même veine, l'identité sonore de Future Islands reste unique...
Meilleur titre : Aladdin

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Un album rentre dedans avec quelques riffs bien sentis. On ne boude pas son plaisir devant cet album rock qui rappelle par moment le premier Yeah Yeah Yeahs dans cette façon d'envoyer des grosses guitares tout en nous offrant des mélodies accrocheuses parfois flamboyantes, parfois mélancoliques.
Meilleur titre : Moon Dust

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On ne sait jamais vraiment sur quoi on va tomber avec un nouveau disque de Jay Z, bon il faut l'avouer ici on est clairement dans le haut du panier même si le disque souffre du syndrome "chansons qui écrasent tout le reste". Il faut l'avouer la première moitié est monstrueuse. En samplant différents titres de jazz, Jay Z signe un disque élégant jamais tapageur mais dune classe folle. La première moitié de l'album aurait pu dans ce sens être l'album de l'année. Malheureusement la deuxième partie s'essouffle un peu sans être catastrophique elle est simplement bonne... Mais difficile de ne pas retourner en arrière une fois le titre 4.:44 achevé...
Meilleur titre : The Story Of O.J.

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Après des débuts intimistes, Perfume Genius se transforme au fil des albums en Glam Rock Star. No Shape est son disque le plus frondeur, le plus percutant, n'hésitant pas à sortir les gros tom et les synthés amples et graves. Bah écoute pourquoi pas tant que les compositions sont bonnes ce qui est une nouvelle fois le cas ici. A la fois baroque et 80's, ses chansons restent des hymnes pop aux lignes de chants vibrantes.
Meilleur titre : Slip Away