Mes films Spatiaux préférés

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Seul sur Mars doit être l'archétype du film spatial alors qu'il se passe à peine dans l'espace. On y retrouve le combat de l'homme contre un environnement hostile, les trésors d'imagination qu'il déploie pour survivre et le souffle épique quand tout le monde retient son souffle devant un compte à rebours.

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Pour que l'homme commence à rêver d'espace, il a fallu des pionniers. De celui qui brisa le mur du son au début du programme Apollo, ce film est l'histoire de la course à l'espace côté américain. L'intro est culte, j'ai vu ce film 10 fois et le thème vous reviendra de temps en temps quand vous vivrez quelque chose d'épique.

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2001 a été une première claque de cinéma, et cela surtout pour sa deuxième partie. Tout le monde se souvient de ce vaisseau énorme avançant vers l'inconnu et de ces deux hommes au prise avec l'une des meilleures I.A. jamais mise en scène. Le film a fait couler beaucoup d'encre et continuera à le faire.
C'est cela, un chef d'œuvre.

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« Houston, on a un problème. »
Histoire vraie, c'est une film très puissant sur le courage de ces astronautes qui sauvèrent leurs vies grâce à leurs talents d'improvisation avec ce qu'ils avaient sous la main.

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J'adore ce film pour l'anti-film d'horreur qu'il est. On ne verra presque jamais le fameux huitième passager, on ne fera qu'accompagner l'héroïne dans l'exploration des conséquence de son passage. La machine qui a transporté les conquérants devient leur cercueil hostile.
Et cette culotte…

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Il faut sauver la terre, et c'est le début d'un voyage qui joue avec le temps, l'espace et un point de hard science. On aime, on critique un peu la véracité scientifique, mais on pleure quand même à la fin.

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Que se passe-t-il quand on est paumé en orbite moyenne avec :
- une combinaison.
- le tournis
- un George Clooney ?
Et bien on se débrouille pour rentrer sur terre.
Un film mené du début à la fin avec un suspense génial et des effets visuels dantesques, et malgré les quelques incohérences physique. Parce que, si on fait les maths, Clooney ne meurt pas. Oui, moi aussi je pleure parfois en y repensant.

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Est-ce que j'ai besoin de développer ? 
Ça commence par du culte, puis il y a du culte, puis ils arrivent dans un endroit culte, puis c'est un piège culte, un baiser culte et une des scènes de combat les plus cultes de tous les temps.
Je t'aime film.
« Je sais », répond-il de façon insolente.

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Vous aimez Star Trek ? Vous imaginer Leonard Nimoy sauver la galaxy parce qu'une race un peu crétine pense que c'est Spock ? Avec Alan fucking Rickman et Sigourney Weaver ? Et vous ne l'avez pas vu ?!
Le film démonte tous les clichés, se permet moult citations au matériel original et égratigne au passage les convention. Un must.

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Le deuxième film du reboot Star Trek mérite enfin son nom et nous offre ce qu'on aimait dans la série originale. Et Cumberbatch cabotine comme jamais.

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On prend les vieux et on les renvoie dans l'espace parce que les jeunes ne comprennent rien aux trucs de vieux. Le film marche avec son scénario qui oscille entre la comédie et le drame et sa brochette d'acteur géniaux.