Mes incontournables

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Film total dont le contexte de production est aussi intéressant que le film. Tod Browning met en scène une troupe de "Freaks" dans un cirque itinérant et parviens à donner une âme à ses personnages que tout nous pousse à repousser.

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Un film de danse où se qu'il se passe en coulisse est encore plus intéressant que ce qu'il se passe sur scene. Coupé en son milieu par une magnifique et longue scène de ballet où le montage fusionne avec la performance scénique.

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Face à une sauvage troupe de bandit, les habitants d'un village engagent des samouraïs pour les défendre. Akira Kurosawa est considéré comme l'un des cinéastes les plus influents de l'histoire.
Pour aller plus loin : Barberousse, Rashomon

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Un prêcheur intinérant joué par Robert Mitchum dans son plus grand rôle ne semble pas être celui qu'il prétend. Seul et unique film de son réalisateur, c'est peut être pour cela que le film a traversé les époques

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Dans un condamné à mort s'est échappé, nous montre ce dont le cinéma est capable dans sa plus grande sobriété. Fidèle au style naturaliste de Bresson, nous voyons qu'il n'est pas nécéssaire de multiplier les effets inutiles pour faire éprouver au spéctateur une vaste palette d'émotion.
Pour aller plus loin : Au hasard Balthasard, Procès de Jeanne d'Arc

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Huis clos tiré d'une pièce de théatre, Douze Hommes en colère est plus un film d'acteurs que de réalisateurs. Le pitch : 12 membres d'un jury doivent décider de la mort d'un homme. 11 le désignent comme coupable, 1 le juge innocent. S'en suit un long débat..
Pour aller plus loin : Serpico, Un après midi de chien

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Premier film de la saga "Antoine Doinel", s'insipirant de la vie de son réalisateur mais aussi de son acteur principal : le jeune Jean Pierre Léaud, Les Quatre Cents Coups est un grand film sur l'enfance, ses joies et ses peines.
Pour aller plus loin : Jules et Jim, suite de la saga Antoine Doinel

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Avec Truffaud, Rohmer, Chabrol ou RIvette, JL Godard fait parti des réalisateurs de la nouvelle vague du cinéma français. Le mouvement révolutionne la manière de faire du cinéma, aussi bien au niveau technique (nouveau materiel moins couteux et plus portatif) que du scénario (souvent un homme ordinaire, de son temps, plutôt oisif). A bout de souffle s'inscrit totalement dans cette dynamique. Jean Paul Belmondo peut parfois s'adresser à la caméra, à certains moments les dialogues sont difficilement audibles, comme s'ils n'étaient pas importants, etc...
Pour aller plus loin : Pierrot le fou, Le Mépris, Une femme est une femme

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On ne le décrit plus. Ce chef d'oeuvre d'Alfred Hitchcock fait partie des monuments du cinéma et contient probablement la scène la plus connue de l'histoire avec ce meurtre sous la douche.
Pour aller plus lion : Vertigo, les oiseaux, La Mort aux trousses.

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Un couple se déchire. Après une nuit, où chacun va aller de rencontres en séductions, ils se retrouveront pour une dernière étreinte. Deuxième œuvre de sa trilogie sur l'incommunicabilité. Grand cinéaste italien.

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Grand film de samouraï japonais. Je suis personnellement plus sensible au style de Kobayashi qu'à celui de Kurosawa.

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Portrait sans filtre de la société cubaine des années 60. Film militant pour la révolution cubaine, Soy Cuba est aussi un film important de l'histoire du cinéma soviétique. Il a d'ailleurs été interdit en URSS, à Cuba, mais aussi comble de l'ironie, aux USA.

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Grand maître du cinéma italien, Pasolini raconte dans son film rien de moins que la vie de Jesus selon Saint Matthieu. Le film prend une veine naturaliste et ne prend pas le virage de la grandiloquence et de l'explosion de moyens. Ici tout est filmé sans effets, si bien que Jesus n'a jamais été autant Homme (et pas un super héro Marvel).
Pour aller plus loin : Salo ou Les 120 Journées de Sodome

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On ne le présente plus, s'il ne fallait regarder qu'un western spaghetti (westerns produits en Italie déconstruisants les valeurs traditionnelles de l'Amérique), ça serait celui ci. Le trio principal composé notamment de Clint Eastwood et emporté par la musique d'Ennio Morricone fait partie des plus grands films de l'histoire
Pour aller plus loin : Il était une fois dans l'Ouest, Il était une fois en Amérique

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Grand film sur le conflit générationnel entre le puritanisme et la libération sexuelle de la fin des années 60, Le Lauréat met en scène l'histoire d'amour entre un jeune Dustin Hoffman, en pleine crise existentielle à la fin de ses études et la plus âgée Mrs Robinson. Le film est mis brillament en musique par les deux tubes de Simon & Garfunkel : The Sound of Silence & Mrs Robinson. A voir !

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Grande comédie américaine des années 60, la Party exploite à fond le genre burlesque et c'est très drôle !

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Encore un film sur l'adolescence dans un Londres Pop des années 60. Mike, un adolescent de 15 ans, abandonne l'école et trouve un premier travail dans un établissement de bains publics d'un quartier pauvre de Londres. Il passe dès lors son temps dans l'univers crasseux et sordide de la piscine. Il tombe amoureux d'une employée plus âgée que lui. Une ambiance incroyable balaye le film tout du long.

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Dur dur de choisir un seul film de Tarkovski tant celui que l'on décrit comme le plus grand réalisateur russe de l'histoire a réalisé des chefs d'œuvre. Solaris est une volonté du réalisateur de donner aux films de Science Fiction la profondeur qu'ils méritent. Faisant parti des meilleurs films de SF de l'histoire pour les uns, des meilleurs remèdes contres l'insomnie pour les autres et d'un peu les deux pour moi, je conseille Solaris ainsi que le reste de la filmographie de Tarkovski.
Pour aller plus loin : Stalker, L'enfance d'Ivan, Le Miroir et tous ses autres films.

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Aguirre fait parti de ces films que l'on ne pourrait plus faire aujourd'hui. Dans une atmosphère suffocante, il met en scène la quête de l'Eldorado par les conquistadors espagnol. Le film est surtout célèbre pour les disputes permanentes entre sa tête d'affiche Klaus Kinski dont les colères sont légendaires et Herzog qui a finit par le menacer de lui tirer dessus s'il ne se calmait pas.
Pour aller plus loin : Fitzcarraldo, les nombreux documentaires d'Herzog

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Gigantesque trip au LSD, la montagne sacrée est une véritable experience sensorielle de cinéma dont il ne faut pas trop chercher un sens.
Pour aller plus loin : El Topo