Mes lectures BD 2022

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Un volume 2 très bon qui relance clairement mon intérêt pour la série. Statut: à suivre.

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Très difficile de ne pas penser à "Erased" en abordant cette série. A voir si elle saura faire encore mieux que sa prédécesseuse sur un canevas narratif extrêmement proche.
Statut: à suivre!

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La Nazi'xploitation aux accents pulp (voire série Z) de Tsutomu Takahashi, au bout de 4 tomes, n'est guère convaincante et peine vraiment à décoller...Reste un dessin toujours aussi expressif.

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Soyons d'accord, si cette rom-com fait le job en nous donnant notre shot de romantisme, elle n'a pour autant rien de particulièrement génial ni d'original. Les situation sont franchement vues et revues, même si le personnage principal et sa relation avec sa senpai parviennent tout de même à nous arracher quelques sourires (c'est déjà ça). Le dessin est élégant sans être en rien spectaculaire.

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Une conclusion tout à fait honnête à une série qui aura su m'accrocher tout du long. Après, ça reste du Léo, donc on est resté en territoire connu (voire balisé) pour qui est familier des travaux de l'auteur.

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Un Taniguchi sympathique, avec un dessin solide, mais une histoire qui, bien qu'efficacement menée, manque tout de même cruellement d'originalité avec cette "montagne magique" et ses habitants qu'on a l'impression désormais d'avoir croisés 100 fois ces dernières fois dans la pop-culture japonaise (merci Miyazaki!)

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Toujours très fun, avec un dessin pour ce tome vraiment très appliqué.

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Un grand classique qui ne faillit clairement pas à sa réputation! Le dessin est juste hallucinant de détail, et, que dire, c'est juste du super western! Hâte de lire la suite!

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Débute comme une enquête en (très) haute montagne avant de dériver sur un long flash-back qui prend des allures de manga "nekketsu" plus classique. Le dessin de Taniguchi est de très haute volée.
Statut: à suivre bien sûr!

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"K" a été publié une dizaine d'années avant "Le sommet des dieux", et c'est assez perturbant à (re)lire après ce dernier. Ce "Black Jack des montagnes", avec ses aspects kitchounet et over-the-top (à tel point que le manga vous arrachera certainement quelques éclats de rire!), tranche clairement avec le réalisme de son successeur...

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Une vraie bonne surprise! Un univers post-apo vraiment sympa, un vrai sens de la narration avec bcp de dynamisme et un petit côté léger ("pulp") très sympa. Seul le dessin parfois un peu sommaire peut constituer un bémol même s'il n'y a rien d'honteux.

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Un Taniguchi "dernière période", agréable mais aussi très lent et contemplatif. Structuré autour de courts chapitres comme autant de pastilles poétiques. Rien d'inoubliable toutefois.

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Ce manga et ses personnages semblent flotter comme en un rêve, sans que rien ne puisse vraiment avoir prise sur eux, comme s'ils étaient définitivement parasités et intégrés par ce "flow" qu'ils traquent (avec leur chat) à longueurs de chapitres.
Le manga et son ambiance feutrée, ou rien ne semble jamais vraiment porté longtemps à conséquences et tout semble pouvoir être sujet à rembobinage/détricotage (cf. notamment cet étonnant chapitre où l'héroïne a de nouveau 20 ans...qui ne fera contre toute attente pas avancer la narration d'un pouce), semblerait ainsi pouvoir continuer à l'infini, avec le risque de répétition que cela induit. Du coup, j'en suis presque content que l'œuvre s'achève finalement en 3 tomes, avant qu'elle ne puisse se perdre dans son propre dédale narratif...

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Ce manga romantico-comique du tout début des années 80 est une bonne surprise dans son style: dessin simple, loin d'être magnifique, mais extrêmement dynamique et efficace (qui n'est pas sans évoquer Dr Slump, publié exactement à la même période), personnages bien distincts et reconnaissables, humour qui fait très souvent mouche, son sujet qui semblait annoncé une œuvre comme "family-compo", etc.
Bien entendu, certains éléments font daté (humour tellement omniprésent et parfois 1er degré qu'il en vient à écraser un peu l'intérêt pour l'histoire sous-jacente, représentation des personnes de couleurs, le dessin totalement dans les codes de son époque, etc.) et on se demande si le manga parviendra à tenir sur la distance.