Mes Plus Grandes Déceptions du Cinéma

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Après avoir vu Conan, je trouve un autre film d'heroic fantasy, associé au nom du créateur de Star Wars. J'étais très enthousiaste mais certainement déjà trop grand.

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Après deux énormes claques, une grosse deception. Jamais pu le revoir

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Après avoir vu ses trois premiers films, Ridley Scott est pour moi le dieu du cinéma. Un film d'heroic fantasy, en plus. J'ai tellement été déçu.

Le film que j'ai le plus revu à la hausse depuis de cette liste.

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Je venais de finir Le Messi de Dune et de voir Lost Highway. Autant dire que les attentes étaient très élevées.

Depuis je lui trouve énormément de charme.

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De très loin la plus grande déception.

Des années à regarder la trilogie en boucle, une attente à la limite du supportable, des centaines d'histoires dans ma tête tellement meilleure que celle qu'on m'inflige. Un gros coup de bambou

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Comment faire un film aussi mou du genou avec une des plus grosses claques esthetiques d'un medium. Le matériau de base était tellement genial que le film reste correct mais c'est une des pires adaptations que j'ai vues.

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Michael Mann, Johnny Depp, Christian Bale, le sujet, la promesse esthétique... Plus dure fut la chute.

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Il y a bien pire que Sin City. Une vraie trahison.
Parce qu'il ne conserve rien de la foisonnante experimentation de l'oeuvre pour n'en garder que la surface et trahir le message.

Quelques scènes à sauver mais une sacrée déception.

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Voir ce sujet traité par QT m'excitait énormément. Ça commence très très fort et puis au milieu du film, on comprend que la promesse du titre, de l'affiche et de cette mise en place ne sera pas tenue. On va surtout subir la très mauvaise direction d'acteurs de l'interminable segment à Paris.
Très étonnant de la part de Tarantino.

Ça reste du Tarantino, donc certaines scènes sont extraordinaires mais j'en attendais tellement plus.

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Un film interessant, certes. Mais pas celui que j'étais allé voir. Refn quand il n'est pas cadré finit toujours par sombrer dans l'onanisme.

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Ça devait être une merveille de Guillermo Del Toro. A la place, on assiste à la chute lucassienne d'un grand réalisateurs. C'est aussi une incroyable trahison de l'esprit délicieux du livre.

Pire, sans Del Toro, Jackson nous ressort exactement le même visuel et va figer l'œuvre de Tolkien dans une de ses interprétations.

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Après District 9, je pensais avoir rencontré mon nouveau réalisateur préféré.

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J'ai adoré le premier.

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Honnêtement, je redoutais ce film plus que je ne l'attendais. J'ai quand même était très déçu, surtout par sa fabrication: l'écriture et l'éprouvant montage.