Mes séries en 2018

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Saison 4 (terminée)
Très moyen sur l'ensemble. Juste un coup de génie lors du moment avec Tété.

Saison 5 (terminée)
Ce saison s'est voulue peut-être plus ambitieuse, aller plus loin, mais au final, elle reste assez décevante. La série a essayé, mais n'a pas réussi à se renouveler. Dommage.

Avis général sur la série 6/10
Une bonne idée de départ, mais beaucoup de maladresses, qui ont finalement laissé place à plus de maîtrise et de financements. Malheureusement, la série donne l'impression de beaucoup d'imprécisions, presque que les personnages sont construits au fur et à mesure. Ces derniers restent toutefois très attachants, ma principale motivation pour aller au bout de la série.
Outre les maladresses qui persistent, je pense que la principale faiblesse de la série réside dans son personnage principal. Non pas qu'il soit mal interprété, mais je n'ai aucun attachement pour lui, aucune empathie. Son parcours est peut-être le moins intéressant. Difficile de bâtir une série sur un pivot aussi faible.

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La saison qu'on regarde en famille.

Saisons 4 (terminée)
La saison qui manquait. On avait regardé les 5 et 6 sans avoir vu celle-ci. Du coup, un peu moins intéressante, mais toujours sympathique.

Critique écrite après les trois premières saisons, mais toujours valable.
https://www.senscritique.com/serie/Dragons_Cavaliers_de_Beurk/critique/45523746

Saison 7 (terminée)

Saison 8 (en cours)

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Saison 1 (en cours)

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Saison 1 (terminée)

Un début époustouflant, combinant une virtuosité visuelle à un fond original et captivant. Mais la série continue sur des tics narratifs propres à de nombreuses séries, malgré la présence d'excellentes idées, d'un univers solide et de personnages intéressants (Poe en premier).
Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu une aussi bonne série SF (mise à part Westworld), mais je ne peux pas m'empêcher d'avoir l'enthousiasme tiède, sans en avoir la réelle explication. Un bon moment (si on peut passer de bons moments devant des scènes de torture) qui vaut la peine d'être regardé quand on aime une SF bien pensée, peut-être à défaut d'être bien racontée.

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Saison 2 (Terminée)

7/10
Pour cette saison 2, certes, l’effet de surprise est passé. Mais il restait limité chez moi vu que je connaissais le personnage des romans.
Le monde de Wendimore est vraiment incroyable, car il représente assez bien comment un effet « traumatisé » construirait son propre monde de conte de fée. Cet univers fourmille de détails excellents.
Je suis mitigé sur l’évolution des personnages. Farah Black est inintéressante, Todd Brotzman est quasi inutile (à croire qu’Elijah Wood est moins dans son personnage), Amanda Brotzman se la pète un peu trop et Dirk Gently passe la moitié de son temps à geindre (heureusement, il reste excellent sur l’autre moitié).
J’ai bien apprécié dans les nouveaux personnages Tina (à la limite des frères Cohen), Mr. Priest est tordu à souhait (bien que surjoué) et surtout Suzie Boreton, qui est une excellente méchante (j’ai particulièrement adoré le moment où Todd lui demande ce qu’elle peut bien foutre dans cette histoire ; ce que je me suis aussi demandé).
Par contre, les trois (quatre) brigands sont toujours aussi classe, le superviseur Hugo m’a presque fait de la peine à la fois et l’évolution de Ken est particulièrement intéressante.
Mais j’ai été assez frustré de ne pas avoir plus de Bart.

Cette saison essaie de développer l’univers autour de ces personnes extraordinaires et c’est assez intéressant. La fin est clairement une ouverture dans ce sens. C’est d’autant plus énervant d’apprendre que BBC America ait annoncé laisser tomber la série. Pourvu que Netflix reprenne le flambeau.

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Saison 2 (terminée)

Une impression en demie-teinte sur cette deuxième saison. J’adore toujours le personnage de Jessica Jones, sa relation avec sa mère est plus intéressante que je ne l’aurais cru au début (je trouvais le rebondissement éculé), mais il y a quelques éléments qui me déplaisent.
En premier lieu, l’histoire de l’avocate. Elle se fait totalement en parallèle de l’histoire principale et n’apporte pas grande chose. Comme si la réalisatrice s’est dit, j’ai la chance d’avoir Carrie-Anne Moss, autant en profiter à fond. Du gras en trop.
Ensuite, le personnage de Trish m’a agacé au plus haut point. Mais, c’est peut-être en soi une réussite si c’était le but de la rendre antipathique.
Je ne sais pas trop quoi penser non plus de l’évolution du personnage de Malcom.
Au final, le moment que j’ai préféré, c’est quand Killgrave réapparaît. Effectivement, la série réussit à éviter des personnages non manichéen, mais au final, je me suis parfois ennuyé.

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Saison 1 (Terminée)
France 4 fait d'excellentes webséries. il peut y avoir quelques ratés. Le bien chasser fait partie des ratés. Des blagues déjà vues, déjà entendues, assez grossier. On s'en passe aisément.

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Saison 5 (terminée)

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Saison 1 (en cours)

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Grâce à Netflix, je peux enfin voir la suite et dans l'ordre !

Saison 2 (terminée)
Saison 3 (terminée)
Saison 4 (en cours)

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Saison 1 (terminée)

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Saison 1 (en cours)

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Saison 1 (terminée)

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Saison 1 (terminée)

Cette série, pour le fan de Stephen King, c'est comme oublier une nuit entière un diabétique dans une confiserie.
Or, je l'ai regardé avec une fan de Stephen King.
Ne l'étant pas moi-même, je suis tout de même étourdi par la profondeur de cette série. Peu d'auteurs possèdent une bibliographie et une filmographie capable de générer un tel univers. C'est impressionnant.
Heureusement, la série n'est pas que du fan service. Elle tisse une intrigue intéressante, tordue et digne d'une historie de King. Le personnage principal manque clairement de charisme, mais je trouve intéressant que la série ne tombe pas dans le manichéisme et offre des personnages fouillés et contrastés.
Je trouve particulièrement intéressant l'épisode autour de la maladie d'Alzheimer, qui offre une vision différente et originale de la maladie.

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Saison 1 (terminée)

La nouvelle version a tout d’abord été une agréable surprise. Un côté sombre assumé, parfois gore, parfois trop dark. Car, quand on est une sorcière et qu’on ne veut pas que ça se sache, on évite de vivre dans un manoir sombre avec une girouette sorcière. C’est ce que j’aimais bien dans la première série, qui était certes très naïve et parfois gnangnan, ce côté très american way of life des sorcières. Le contraste était plus saisissant.
La « refonte » des personnages est intéressante. Tout d’abord les deux sœurs Spellman avec leur côté Abel et Caïn (très proche de la version Sandman), ainsi que l’actrice choisie pour Sabrina, Kiernan Shipka, pas du tout la petite fiancée de l’Amérique comme Melissa Joan Hart. Le nouveau personnage d’Ambrose est intéressant, même s’il a un côté très quota (un afroaméricain gay, un vrai package).
Cela ne révolutionne rien, mais, visuellement c’est parfois excellent et l’idée générale marche bien.
Mais… La série finit par tourner en rond. La trame principale est délaissée pour laisser place à une histoire/enquête par épisode. Le même principe qui m’avait fait décrocher d’Altered carbon.

Et je ne parle même pas de ma déception que Salem soit à ce point mineur, alors qu’il était la véritable star de la première série

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Saison 3 (en cours)

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Saison 2 (finie)
Nanaroscope, saison 2, encore un plaisir à voir.
Cette mini-série documentaire n'est pas une simple collection de nanars ridicules. Elle parle de l'histoire du cinéma, de courants méconnus ou mineurs, mais aussi de tendances inquiétantes, notamment dans le dernier épisode.

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Saison 1 (en cours)

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Saison 1 (en cours)