Mindfuck des familles

Annotation :

Hail to the new flesh !

Vidéodrome use d'une technique qui m'a toujours fais beaucoup d'effet : le sur-abus de latex liquide. Le film ressort comme possédant une épaisse peau gluante et dégoulinante, émanation de singuliers appendices, vibrante et palpitante dans ta télé.

Annotation :

Inspirant nombreux d'oeuvre horrifique (Silent Hill) de par ses effets et son esthétique typique d'un mec qui a passé trop de temps enfermé dans une armoire, L'échelle de Jacob, dont le plot peut paraître un peu attendu, reste un classique du mindfuck.

Annotation :

Difficile à regarder, les scènes cheloue s'enchainent, donnant un sens que probablement seuls deux types sur terre ont dû saisir

Annotation :

"Vous n'allez pas tout comprendre sur ce film et il va vous falloir le regarder encore, et encore"

Schizopolis est drôle, parfois léger, parfois chiant, et souvent bizarre.

Big up au dératiseur cinglé, et au langage inventé dans le film pour l'occasion de certaines scène (je ne saurais que vous conseiller de le regarder en VO)

Annotation :

Déconseillé aux phobique des cafards !

Dans la même veine que vidéodrome (si je te le dis), mais à une époque et à travers un média différent (l'écriture, et plus particulièrement la machine à écrire).

Annotation :

Le mécano de la générale avec quelques kilos en moins, des mains blanchies par l'eau de Javel et un copain imaginaire pas franchement propre sur lui.

Annotation :

"Ris, tout le monde riras avec toi, pleure, tu seras seul"

Je le met un peu sans arrêt, mais c'est parce que Park Chan Wook est plutôt doué pour faire des films polymorphe qu'on peut classer un peu partout.

S'il est un monstre dans cette salle, c'est bien ce pauvre Oh Dae Su ("aujourd'hui débarrassons nous de nos soucis, si on contracte ça fais Oh Dae Su"), un des climax les plus surprenant (ou alors je suis juste trop naïf, ce qui est possible aussi) pour cette singulière quête de vengeance.

Annotation :

Le meilleur des David Lynch, le plus accessible, le plus simple et le plus efficace d'entre eux avant Twin Peaks.

Mention spéciale : le bébé le plus dégueu de la planète Terre

Annotation :

Je le met dans la liste pour faire semblant d'être cool, mais je ne l'ai pas franchement aimé.

L'écrivain s'endiablant dans son travail est un thème pris et repris (las vegas parano, le festin nu que tu as vu plus haut, shining dans un sens aussi), d'accord. Mais étais-ce obligé de le rendre aussi mou qu'un socialiste ? J'ai toujours du mal avec les personnages principaux qui semblent sans arrêt subir, sans être particulièrement malins, ni inspirés, j'aurais limite envie de venir le lui écrire, son scénar de film de boxe.

Annotation :

Ame sensible s'enfuir

Je t'ai déjà parler de mon amour pour le latex liquide ?

Inutile de chercher un autre sens qu'un défouloir graphique et violent dans ce film de massacre où chaque combattant ne semble pas même avoir une once de raison où de sens, certes, mais qui vous changera des défouloir blockbusterisants classiques.

Annotation :

Mindfuck, de par sa propension à vous faire rêver. Révision du mythe de Prométhée par Rintaro (le papa d'AstroBoy), plongeant son spectateur dans une métropole ou cohabitent humains et robots, sous fond de guerre et paix, le tout reposant délicatement sur une BO jazzy de velour.

Annotation :

A mes yeux l'un des meilleurs de Quentin Dupieux, bien que je le confonde sans arrêt avec Schizopolis, cité plus haut.

Jusqu'où irez vous pour retrouver votre toutou chéri ? (Moi, pas loin.)

Annotation :

Parce que le scénar est simplement génial, que Robin Williams s'en sort pas aussi mal qu'on le dit, et que ça fait plaisir à ma soeur.