Mon année 2016

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L'année commence par un excellent feelgood movie à l'ancienne avec un Bill Murray au top de sa forme.

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3 ans avant la mort de Franco, ce court metrage bourré de symboles présente plusieurs grilles de lectures possibles. Pour ma part, une fantasmagorie sur l'Espagne alienée du reste du monde.

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Dans la veine "Hanneke & Seidl", un premier film lourd, qui déroule sa feuille de route de l'insoutenable mais crée surtout l'ennui.

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Top nécrophilie + top perversion + top provocation + top plastique et latex = so what?

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La grande comedie italienne, un plaisir pour les yeux et les oreilles. C'est lèger, talentueux et ça donne un grand sourire.

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Une oeuvre éminemment complexe. Les parts sombres et lumineuses, très marquées, sont en liens étroits avec les saisons et la nature. Symboles et personnages mysterieux forment une sarabande magnétique

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Totalement régréssif. Film de zombis définitif: le zombi scato. Je ne conseille pas à tout le monde mais me suis bien amusé.

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Je continue mon tour d'horizon du cinema "transgressif". Celui-ci se montre particulièrement copieux en terme de perversité. A noter qu'il sort la même année que "Cannibal Holocaust", 1980, année faste pour Deodato. Les dialogues sont ineptes.

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J'ai adoré "Dangereuse sous tous rapports" qui etait frais, drôle et qui contenait un vrais fond, sous la couche comedie. Celui-ci est simplement gentillet, il se laisse regarder avec un vague ennui et se laisse oublier très vite.

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Soit: le pilote de course, le torero, la femme fatale, l'Espagne et... le hollandais volant. Beaucoup de choses donc, mais peut-être un peu trop de tout. Une petite impression de lourdeur au bout du compte. Un plutôt bon film mais un peu vain dans le fond.

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Il faut être patient avec ce film de 2h48, qui peu s'avérer être un puissant soporifique pour certains. Il faut entrer dans le rythme et accepter de partager du temps avec ces 2 personnages. Le film finit par générer "au fil du temps" des émotions, des sensations, pourvu qu'on se prête au jeu.

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Une curiosité, du fantastique polonais, scientifique et paranoïaque.

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Completement erratique, en totale roue libre.

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Le psychokiller américain : le nombre de films centrés autour du personnage, fait qu'en 2016, un film tel que celui ci, n'est rien de plus que prévisible hélas. Reste le beau B&W et les rues de San francisco qui vous filent le vertige.

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Drôle et gentiment dérangeant.

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Une mauvaise soupe, indigeste et très vaine. Les pauvres acteurs essayent de surnager là dedans, tentants de perdre le moins de plumes possible, hélas...

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Un joli film, très sensible, remarquablement interprété.

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Un film bien vénéneux, assez chabrolien dans sa facture et dans son sujet. Jeu froid et intense de Trintignant.

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Perkins dans des chaussons dans un rôle de déséquilibré. C'est une série B étrange, intéressante lorsque les rôles s'inversent mais souvent lassante tant les situations sont capillotractées, téléphonées, bancales.

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Rien de bien nouveau sous le "soleil" des truands-mafieux americain, mais un film honnête et plutôt efficace. Scott Cooper n'est pas un grand mais fait le travail correctement. Depp, grimé, avec ses yeux morts de poisson des profondeurs est irreprochable.

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Semi echec: il y a une ambiance, des idées, des paradoxes temporels mais l'ensemble est balourd et surtout nous laisse dans l'expectative tant Vigalondo semble s'être égaré dans les paradoxes.Inachevé

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Suivant le même canevas que "Pretty poison" vu quelques jours plus tôt, cette sorte de remake de "The honeymoon killers" prends le parti de surprendre quant à la profondeur de la folie des personnages en brouillant les pistes: qui est vraiment le plus fou des deux? Sombre, sale (grain de pellicule sursaturé), fétichiste (mais n'est ce pas un peu pour choquer le tout venant à peu de frais ?) ce film ne m'a pas totalement convaincu.

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La grande classe, rien n'a redire. Une distribution de tout ce que l'Italie compte de "grands", toutes générations confondues, un scénario et des situations aux petits oignons.

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Tourné en 1970 dans le désert de Negev en Israel, sorti en 72 sur les écrans Danois et Allemands uniquement. Une curiosité, atypique, fauchée et désespérée.

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Un groupe de freaks dans une maison de campagne des pays-bas. Meurtres et baise en tout genres, mais peu d'intérêt, selon moi.