Mon année 2024 en jeux vidéo

Annotation :

Réussite technique et artistique incontestable, Planet of Lana pêche par son gameplay et son rythme qui manquent de peps et de variété. Heureusement, le dernier quart du jeu évolue dans le bon sens et offre un super moment. Mention spéciale à l'ambiance et aux quelques personnages, dont le petit Moui qui me marquera durablement.

Annotation :

Si je devais le juger aujourd'hui, il n'aurait pas le 8 que je lui ai mis à l'époque. Parce qu'il a quand même sacrément vieilli, sur à peu près tous ses aspects !
Mais je l'ai relancé avec nostalgie et je l'ai terminé avec plaisir. Enfin terminé, je dirais même, car il faisait partie des nombreux jeux que dont je n'avais jamais vu la fin à l'époque.

Annotation :

Un petit coup de cœur inattendu ! S'il n'est pas bien beau et qu'il a d'évidents défauts liés essentiellement aux faibles moyens de l'équipe (10 personne environ, c'est tout) et à certains choix de gameplay osés, on sent qu'il y a un véritable amour du RPG dans ce jeu, et ça fait sacrément plaisir ! C'est un RPG/survie qui sort du lot, qui n'hésite pas à faire les chose différemment de la concurrence et il s'en sort avec les honneurs.
Je n'ai pas été au bout de l'aventure (il faut être maso, je pense...), mais j'ai beaucoup aimé cette expérience rafraîchissante !

Annotation :

La copie stricto sensu, mais bien exécutée, d'une recette déjà vue 100 fois. Certes, Kena n'est pas que cela et sait se démarquer, mais il n'en reste pas moins que je me suis ennuyé au bout d'un moment, sans jamais trouver de passion. Je comprends qu'on puisse l'aimer, il a de vraies qualités, mais je crois que ça manque d'originalité pour moi.

Annotation :

Une semi-déception, parce que je m'attendais à mieux tout de même. Un manque criant d'ambition dans la forme (les sprites tellement peu développés que des dialogues se déroulent avec un écran noir quand le perso fait autre chose que de simplement rester debout, une qualité graphique digne de 2008/2010) et une recette trop similaire aux autres pour m'intéresser plus que ça. Alors je sais que les japonais adooooorent reprendre une formule (et des dessins, des caractères, des mimiques, des postures, bref, tout) ad nauseam, et je suis sans doute de moins en moins client de leurs sempiternelles recettes qui se ressemblent. Je n'arrive plus à m'intéresser à des jeux qui manquent autant d'originalité.
Malgré cela, j'ai passé une bonne trentaine d'heures de jeu agréables avant de m'en éloigner. Dommage, mais la porte Fire Emblem se referme ici pour moi.

Annotation :

Une très agréable expérience qui mérite d'être connue rien que par le fait qu'elle prend à contre-pied toute la logique habituelle du jeu vidéo et, plus précisément, du jeu de gestion. Ici, on créé, on ne construit pas. Ici, on réussit véritablement lorsqu'il n'y a plus une seule trave de l'humanité. Et ça, c'est génial !
Sinon, c'est bien fichu, agréable. Court, mais c'est parfait, ça va avec l'esprit général du jeu.