Mon Top 1933 des meilleurs films

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Film de gangster et drame. La censure n'opérant encore que très peu à cette époque les personnages et leurs actions sont vraiment mauvais, il est question de viol, d'une fille aux moeurs légères et de malhonnêteté du pouvoir judiciaire. La fin est moyenne mais c'est un film à voir.

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Une comédie dramatique agréable et presque muette (seulement quelques séquences sont parlantes). Imparfait sur le plan technique (montage moyen, bande son fébrile, …) mais le couple Froehlich/Annabella est rafraîchissant l’alchimie entre les deux acteurs est parfaite. Un film plein de bons sentiments et une fin naïve mais qui fait plaisir.

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Un classique qui possède un charme fou et qui a arrêté de vieillir. En 1h20, il se passe plein de chose, des combats entre monstres, des poursuites et des scènes cultes. Il est vrai que certains éléments clochent un peu mais, c'est normal.

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Une biographie d'un personnage plutôt méconnu de l'Histoire mais qui se révèle être intéressant point de vue cinématographique. En effet, la Reine Christine est une femme de pouvoir en quête d'émancipation. Le style de réalisation très "classique", la direction artistique bien faite. Par contre, le récit est fortement axé sur une romance fictive et la véracité historique arrangée. Quant à Gredta Garbo elle regarde le ciel et appuye sur chaque mots des répliques importantes.

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C'est vrai que ce documentaire est une oeuvre de propagande socialiste/communiste mais c'est surtout un témoignage bouleversant sur la Condition ouvrière dans les années 30 en Belgique. Le constat fait par les auteurs est tout simplement sidérant, des milliers de gens vivant dans une misère qu'on ne peut imaginé, ce film nous en donne une infime idée. Techniquement parlant, ça a vieillit mais le propos pas du tout la force est toujours présente et laisse à réflechir pour ceux qui daignent le voir.

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Un classique des Monstres de chez Universal et probablement un des meilleurs films de la franchise. Le scénario est rédigé avec sérieux et l'intrigue s'avère agréable à suivre. La mise en scène de J. Whale est rythmée et il aime apporter de la profondeur de champ. C'est un peu dommage que certaines scènes tournent à la guignolades et sont hors du ton assez inquiètant du reste. À noter également la qualité des trucages qui sont novateurs et véritablement bluffants.

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Une comédie ayant reçu un plébiscite au temps de sa sortie, on ne peut pas vraiment la qualifiée de musicale dans le sens traditionnel du genre bien qu'il y ait beaucoup de scène de revue, de chant et de danse. Le film raconte une histoire avec ses jeunes danseuses qui galèrent pour joindre les deux bouts, celles-ci finiront pas mettre le grappin sur des riches banquiers. Des personnages naïfs, une certaine insouciance dans les moeurs amoureuses décrites, des scènes de music-hall rudement bien filmées et ne manquant pas de moyens pour les décors et costumes puis un défilé de mignonnes sans avoir une vedette voulant tirer la couverture à elle. Mervyn LeRoy met de l'entrain à réaliser ce film, outre la maestria des scènes musicales, on a des belles compositions de cadres et des séquences en gros-plans au montage vif.

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Prologues est un des premiers classiques de la comédie musicale avant sa déformation. Déformation car les numéros musicaux contrairement à l'orientation que prendra le genre durant les années 40 font parties de l'intrigue, l'action se déroulant dans le milieu du music-hall. D'ailleurs avant le dernier tiers du film, il n'y a que très peu de morceaux de musiques et de danses par contre la fin est une immense revue. C'est drôle, rythmé dans le montage et les comédiens à l'aise, dont James Cagney nerveux au possible et Joan Blondell avec son visage de dessin-animé.