Mon Top 1946 des meilleurs films

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Un grand classiques du cinéma britannique. J'aime bien l'univers de Charles Dickens, les histoires et l'ambiance. La réalisation de David Lean est un plaisir en soi, les décors superbes (surtout dans la première moitié). On retrouve les comédiens habituels chez l'auteur.

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Un grand classique de plus pour A. Hitchcock. Ce film d'espionnage mêle le Film noir au suspense et même la romance, sans jamais déraper. La mise en scène est impeccable, tout comme la direction artistique et que dire du casting de haut vol, Ingrid Bergman et Cary Grant forment un couple de légende.

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Le Grand sommeil est un chef-d'oeuvre et une référence du genre Noir. Tout est réuni pour faire un grand film, Adaptation de R. Chandler, Scénario par W. Faulkner, mise en scène H. Hawks et au casting le couple mythique H. Bogart/L. Bacall comment faire mieux ? L'intrigue est hyper complexe avec des ramifications, une multitude de personnages, des maîtres-chanteurs, des meurtres et disparitions. Les dialoguistes se font plaisirs notamment dans les scènes entre Bogart et Bacall.

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Un vrai classique du cinéma américain, et un chef-d'oeuvre du film noir. La mise en scène est caractéristique avec les multiples jeux d'ombres et des travelling bien placés. L'histoire est basique mais l'intrigue est menée très intelligemment, le couple R. Hayworth/G. Ford est fait de deux habitués du genre, les figures secondaires apportent quelque chose au récit.

Annotation :

L'académisme et le côté conventionnel de ce grand classique hollywoodien n'est pas du tout repoussant. Un mélodrame efficace sur le retour des soldats de la Seconde Guerre mondiale, le scénario suit énormément de protagonistes et ils sont complexes ce qui n'était pas toujours le cas. Les interprètes sont tous excellents malgré qu'ils ne sont pas de grandes vedettes. Les 2h42 de durée ne sont pas de trop pour raconter tout ça.

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Il ne faut pas voir cette évocation du règne de Ivan IV par Eisenstein comme une reconstitution historique stricte mais plutôt comme une tragédie slave aux intrigues quasi shakespearienne (surtout dans la seconde partie). Des trahisons, des assassinats, du double-jeu et des complots ainsi que la soif de pouvoir, la mégalomanie et la question de l'unité de la Russie bien sur à l'époque de la sortie, on pouvait y voir des références à l'actualité en Union Soviétique. Eisenstein dévoile une fois de plus son génie pour la composition des plans, des cadres à la fois baroque par la direction artistique et les costumes mais aussi basé sur l'architecture médiévale avec la masse de pierre pesante et enténébrant les protagonistes tout ça donne une rendu graphique performant.