Mon Top 1948 des meilleurs films
Voici la liste des meilleurs films de l'année.
Longs-métrages juste en dehors de ce top:
Né pour tuer (Robert Wise)
Appelez Nord 777 (Henry Hathaway)
Le mur invisible (Elia Kazan)
La corde (Alfred Hitchcock)
L'enfer de la corruption (Abraham ...
10 films
créee il y a plus de 11 ans · modifiée il y a plus de 5 ansOliver Twist (1948)
1 h 56 min. Sortie : 15 octobre 1948 (France). Drame
Film de David Lean
Ygor Parizel a mis 9/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Superbe adaptation de cette fabuleuse histoire (je trouve les oeuvres de C. Dickens très cinématographique). Les images en noir et blanc et avec des décors quasi expressionnistes sont sublimes. Les comédiens tous très bons, vraiment rien à jeter.
Key Largo (1948)
1 h 40 min. Sortie : 10 août 1949 (France). Film noir, Thriller, Drame
Film de John Huston
Ygor Parizel a mis 9/10.
Le Trésor de la Sierra Madre (1948)
The Treasure of the Sierra Madre
2 h 06 min. Sortie : 11 février 1949 (France). Aventure, Drame, Western
Film de John Huston
Ygor Parizel a mis 9/10 et a écrit une critique.
La terre tremble (1948)
La terra trema
2 h 32 min. Sortie : 15 janvier 1952 (France). Drame
Film de Luchino Visconti
Ygor Parizel a mis 9/10.
L'Ange ivre (1948)
Yoidore tenshi
1 h 38 min. Sortie : 6 février 1991 (France). Policier, Drame, Romance
Film de Akira Kurosawa
Ygor Parizel a mis 9/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Une fois de plus un grand film pour A. Kurosawa. Il pose sa caméra dans un bidonville de Tokyo comme souvent pour montré la vie de ces gens. Misère, alcoolisme, maladies et criminalités font le quotidien des personnages forts de cette histoire. La qualité de l'image et du montage a un peu vieillit mais n'enlève rien à la réalisation toujours formidable du cinéaste.
Macbeth (1948)
1 h 47 min. Sortie : 23 juin 1950 (France). Drame
Film de Orson Welles
Ygor Parizel a mis 10/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Une adaptation grandiose de Shakespeare. Une mise en scène vertigineuse, une esthétique expressionniste et irréelle, superbe travail sur les décors, costumes et lumières. Et bien évidemment, une histoire et un texte magistral, mais j'adore les oeuvre de Shakespeare au cinéma.
Allemagne année zéro (1948)
Germania anno zero
1 h 18 min. Sortie : 2 février 1949 (France). Drame, Guerre
Film de Roberto Rossellini
Ygor Parizel a mis 8/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Une oeuvre qui donne naissance au néoréalisme italien. R. Rossellini montre qu'après la Seconde Guerre mondiale la misère et l'inhumanité n'étaient pas terminées. Dans un Berlin en ruines, le banditisme, la cruauté et la prostitution étaient les seules règles pour survivre. Pessimiste et tellement vrai.
La Grande Horloge (1948)
The Big Clock
1 h 35 min. Sortie : 17 juin 1949 (France). Film noir
Film de John Farrow
Ygor Parizel a mis 8/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Un suspense qui démarre doucement mais la traque/enquête est assez palpitante. Le scénario comporte plusieurs coups de théâtre et est rythmé, on ne s'ennui pas une seconde. Côté mise en scène cela ressemble un peu à du Hitchcock de la même époque. Ray milland est impeccable pour ce type de rôle, par contre C. Laughton en rajoute inutilement.
Les Trois Mousquetaires (1948)
The Three Musketeers
2 h 05 min. Sortie : 20 septembre 1949 (France). Action, Aventure, Romance
Film de George Sidney
Ygor Parizel a mis 8/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Rien que le casting, Gene Kelly, Vincent Price, Lana Turner et Van Heflin, ça donne envie. En plus, le réalisateur est G. Sidney un spécialiste du film de capes et d'épées (et du divertissement en général) il apporte rythme à la narration, l'action est trépidante avec une bonne douzaine de bagarres, des poursuites et des acrobaties de G. Kelly digne d'Errol Flynn, les costumes piquent un peu aux yeux mais ce film est probablement la meilleure version du classique de Dumas.
Hamlet (1948)
2 h 34 min. Sortie : 14 octobre 1948 (France). Drame, Historique
Film de Laurence Olivier
Ygor Parizel a mis 10/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Le classicisme de cette production n'entache en rien le fait qu'il s'agisse d'un chef-d'oeuvre. Car la réalisation se déroulant dans un décors grandiose très théâtral n'est pas du tout statique, énormément de travellings, des cadres surprenants et des lumières, des éclairages, trucages emportant la mise en scène vers l'Expressionnisme. Bien entendu, le texte est respecté de près et est toujours aussi fabuleux, j'adore Shakespeare, sa force et sa fatalité. En plus lorsque la fine fleur des acteurs britanniques est à l'affiche comment pourrait-on se plaindre ?