Mon Top 1955 des meilleurs films

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Un chef-d'oeuvre du cinéma français signé H-G Clouzot et un des rares thriller de ce temps-là pouvant rivaliser avec les films d'Hitchcock. L'histoire adaptée de Boileau et Narcejac (des références en la matière) est vraiment machiavélique surtout pour l'époque ou l'audace narrative n'était pas forcément de mise. La réalisation joue la sobriété mais avec plusieurs scènes filmées au cordeau et suspense. Enfin il y a des fameux numéros d'acteurs avec Meurisse vicieux comme jamais, Vera Clouzot maladive et Simone Signoret en maîtresse revêche. Le final est spécial avec l'excellente scène de la "résurrection" mais qui se termine de façon brutale.

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Un chef-d'oeuvre mais ça tout le monde le sait et le dit. Un souffle épique énorme, des séquences et scènes mémorables avec un graphisme impressionnant à l'écran. L'histoire narrée est extrêmement célèbre, plus de 3 heures sans temps-morts et remplies d'actions et d'intensité. Les acteurs sont des habitués du genre, T. Mifune complètement en roue-libre dans un rôle de bouffon vaillant.

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Un classique d'Alfred Hitchcock et par conséquent du cinéma en général. Le gros point fort de ce film, c'est qu'il est très participatif, le spectateur durant un majeure partie de la durée en sait plus que les personnages jusqu'à la résolution qui réussi à surprendre. Quasiment tout le récit se déroule dans un huis-clos et pourtant la mise en scène fait qu'on ne s'ennuie pas une seconde. Mais ce n'est pas dû qu'à la réalisation, car évidemment le scénario avec coups de théâtre, retournements de situations et autres nous fait penser aux plaisirs qu'on prend en lisant un roman policier.

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Un bijou de comédie italienne comme je les aime. Cette histoire d'un chauffeur de taxi bonne poire (M. Mastroianni) qu'une voleuse de charme (S. Loren) rend chèvre est carrément drôle. Les dialogues vifs comme l'éclair, les situations cocasses, le rythme est d'enfer et les comédiens géniaux, ils nous font un fameux numéro.

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Ce long-métrage est singulier dans la filmographie d'Ingmar Bergman, une comédie badine et ironique. Exit les réflexions et les crises existentielles quoique sous la couverture d'un vaudeville avec des personnages typés (la boniche allumeuse, le fils puritain et jaloux de son père, l'épouse femme-enfant, ...) on peut sentir des enjeux comme dans les plus légères pièces d'un Shakespeare, il y a toujours une deuxième lecture plus profonde possible. Un film qui lorgne du côté du cinéma de Lubitsch, sans grand éclat filmé mais surtout porté par son découpage. Enfin le goût très sur du maître suédois en matière d'actrice fait merveille à nouveau, elles sont toutes délicieusement coquines, en particulier Harriet Andersson.

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Très bon western, un des sommets de la filmographie de Anthony Mann. La qualité de ce film est essentiellement son scénario et l'histoire racontée, beaucoup de rebondissements et de péripéties. James Stewart égale à lui-même et A. Kennedy dans un rôle ambivalent, mi mauvais-mi gentil. La réalisation s'appuye sur les grands espaces.