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56 films

créée il y a environ 10 ans · modifiée il y a 4 mois
Les Frissons de l'angoisse
7.5

Les Frissons de l'angoisse (1975)

Profondo rosso

2 h 06 min. Sortie : 17 août 1977 (France). Épouvante-Horreur, Thriller

Film de Dario Argento

takeshi29 a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Suspiria
7.6

Suspiria (1977)

1 h 38 min. Sortie : 18 mai 1977 (France). Fantastique, Thriller, Épouvante-Horreur

Film de Dario Argento

takeshi29 a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

...Comme la lune
7.2

...Comme la lune (1977)

1 h 30 min. Sortie : 31 août 1977. Comédie dramatique

Film de Joël Séria

takeshi29 a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et l'a mis en envie.

L'Homme qui aimait les femmes
7.4

L'Homme qui aimait les femmes (1977)

2 h. Sortie : 27 avril 1977. Comédie dramatique

Film de François Truffaut

takeshi29 a mis 9/10, l'a mis dans ses coups de cœur et l'a mis en envie.

Carrie au bal du diable
7.3

Carrie au bal du diable (1976)

Carrie

1 h 38 min. Sortie : 22 avril 1977 (France). Épouvante-Horreur, Thriller, Fantastique

Film de Brian De Palma

takeshi29 a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Qui qui veut une leçon de mise en scène ? Époustouflant, fascinant, traumatisant...

https://youtu.be/DJcTG-VnLrI

Trois femmes
7.5

Trois femmes (1977)

3 Women

2 h 04 min. Sortie : 25 mai 1977 (France). Drame, Thriller

Film de Robert Altman

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

J'ai parfois, même assez souvent, été sévère avec Robert Altman mais il faut reconnaître que le bonhomme a eu le mérite de ne jamais rester les deux pieds dans le même sabot, et qu'il nous a servi quelques sacrés films. Et très clairement celui-ci fait partie de mes préférés, au même titre que "Le Privé" ou "The Player".

Et les trois ont d'ailleurs un point commun : leur ambiance étrange. Et ici, malgré le soleil et l'apparente cool attitude tout est inquiétant dès l'entame, on sent que quelque chose pèse et menace de s'abattre à tout moment. C'est là la force des grands réalisateurs, savoir créer une atmosphère sans les mots, uniquement par la mise en scène, par un mouvement de caméra. Et puis il y a les deux actrices principales, tout bonnement incroyables, qui baladent un physique qui correspond à leur jeu, singulier et fascinant : Sissy Spacek et Shelley Duvall.

Network - Main basse sur la TV
7.7

Network - Main basse sur la TV (1976)

Network

2 h 01 min. Sortie : 16 mars 1977 (France). Drame

Film de Sidney Lumet

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Quelle classe quand même Lumet ! Ça va à 300 à l'heure, les dialogues sont époustouflants, le mec t'accroche dès les deux premières minutes pour ne plus te laisser respirer durant les 120 qui suivent, les acteurs semblent prendre un pied pas possible, c'est politiquement féroce et visionnaire.

En résumé ce truc est un rouleau compresseur, à l'image du cinéma US de l'époque.

Orca
6.3

Orca (1977)

1 h 32 min. Sortie : 21 décembre 1977 (France). Aventure, Drame, Épouvante-Horreur

Film de Michael Anderson

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

La Dentellière
6.9

La Dentellière (1977)

1 h 47 min. Sortie : 25 mai 1977. Drame, Romance

Film de Claude Goretta

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

La Suisse fut durant les années 70 une terre de cinéma assez incroyable, avec des cinéastes souvent très singuliers. On cite très souvent Alain Tanner qui travaillait, au même titre que Michel Soutter, une filiation très claire avec Godard. Mais il serait dommage d'oublier Francis Reusser et ses grands mais malheureusement peu connus "Seuls" et "Derborence", ou encore Claude Goretta dont je parlais ici il y a peu à propos d'une formidable satire sociale, "L'Invitation".

Avec "La Dentellière", adaptation du Goncourt 74 de Pascal Lainé, il propose un drame qui débute comme un "Conte d'été" de Rohmer pour se diriger progressivement vers quelque chose qui rappelle le remarquable "Pas son genre" de Lucas Belvaux. Mais qui va plus loin que la simple critique du fossé social et intellectuel, montrant les dégâts du mépris de classe et des regrets, ce que cela a pu produire quand...

« Il est passé à côté d'elle sans la voir. »

Et je conseille de ne pas passer à côté de ce film d'une grande acuité sur le fond et splendide formellement. Et qui permet de se rappeler, car on en a parfois besoin vu le tour pris par sa carrière, à quel point Isabelle Huppert était une actrice immense dès ses débuts, qui pouvait vous faire basculer en un regard, vous émouvoir en un sourire, et pleurer quand dans un dernier plan elle regarde le spectateur qui instantanément comprend tout de son immense désespoir.

Obsession
6.8

Obsession (1976)

1 h 38 min. Sortie : 18 janvier 1977 (France). Drame, Thriller

Film de Brian De Palma

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Un moment d'égarement
6.3

Un moment d'égarement (1977)

1 h 21 min. Sortie : 21 décembre 1977 (France). Comédie dramatique, Romance

Film de Claude Berri

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Cet obscur objet du désir
7.1

Cet obscur objet du désir (1977)

1 h 43 min. Sortie : 17 août 1977. Comédie dramatique

Film de Luis Buñuel

takeshi29 a mis 8/10, l'a mis dans ses coups de cœur et l'a mis en envie.

Annie Hall
7.4

Annie Hall (1977)

1 h 33 min. Sortie : 7 septembre 1977 (France). Romance, Comédie dramatique

Film de Woody Allen

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

L'une chante, l'autre pas
7.5

L'une chante, l'autre pas (1977)

2 h. Sortie : 9 mars 1977 (France). Drame

Film de Agnès Varda

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Chez Agnès Varda, et sa si belle voix off, les sublimes Thérèse Liotard et Valérie Mairesse (il faut se rappeler qu'elle n'est pas qu'une actrice de comédies mineures, Noémie Lvovsky, Lucas Belvaux ou encore le génie Tarkovski ont su heureusement reconnaître son grand talent) étaient toutes les femmes, avec leurs envies, leurs doutes, leur courage.

Découvrir en salle, en 2018, cette œuvre universelle, à la Pialat, parfaitement restaurée grâce à Ciné Tamaris, provoque tout simplement une grande émotion.

MADAME Varda n'a pas fait que se dire féministe, elle a œuvré pour la cause à une époque, malheureusement pas encore totalement révolue, où la liberté du "sexe faible" était considérée comme une défiance inadmissible, une insulte aux hommes et à la société toute entière.

Opening Night
7.8

Opening Night (1977)

2 h 24 min. Sortie : 13 mai 1992 (France). Drame

Film de John Cassavetes

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

A peine sorti de ce "Mikey and Nicky" impossible de ne pas retourner voir Cassavetes, avec même une double dose (acteur et réalisateur) et d'enfin revoir cet "Opening Night".

Pour une fois mes souvenirs ne m'avaient pas trop trompé : je me rappelais de quelques longueurs, d'un scénario qui accroche parfois, mais surtout de cette mise en abyme qui fait mal au bide, de cette incroyable description de l'actrice en tant qu'objet de désir, et de non-désir, et donc en prolongement de l'émotion que procure la manière dont John filmait Gena, de cette impossibilité à faire de sa vie autre chose qu'un plateau de théâtre, et inversement.

Et ça je m'en souvenais moins, à quel point les captations de la pièce étaient longues, à quel point, et c'est là son génie, Cassavetes se servait de la durée pour épuiser ses acteurs et donc ses spectateurs, pour les (nous) amener à un état de quasi-transe.

Un flic sur le toit
6.6

Un flic sur le toit (1976)

Mannen på taket

1 h 50 min. Sortie : 6 juillet 1977 (France). Policier, Drame, Thriller

Film de Bo Widerberg

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Bo Widerberg était un drôle de réalisateur, capable de passer de "Joe Hill", très beau biopic historique, à "Tom Foot", chouette film pour enfants, en passant par ce polar qui commence du Derrick et se finit comme du Peckinpah.

Qui sera tué demain ?
6.2

Qui sera tué demain ? (1977)

Il mostro

1 h 36 min. Sortie : 1 octobre 1977 (Italie). Thriller, Comédie, Drame

Film de Luigi Zampa

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Luigi Zampa n'est pas le plus connu des cinéastes italiens et pourtant sa filmo est abondante et pour le moins éclectique. Il a même fait dans le giallo, mais pas dans l'esthétisé à la Argento. Ici s'il y a bien des meurtres sanglants c'est plus l'aspect raclure, avide des personnages qui est mis en avant. Cela donne un truc d'une cruauté sans borne, drôle à force d'être horrible.

Espérons qu'un distributeur de patrimoine s'intéresse prochainement à ce petit bijou noir car il est aberrant qu'un tel film reste encore inédit chez nous.

Omar Gatlato
7.3

Omar Gatlato (1976)

1 h 30 min. Sortie : 25 mai 1977 (France). Comédie dramatique

Film de Merzak Allouache

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Si le nom de Merzak Allouache n'est pas inconnu de tous c'est qu'il est souvent (et malheureusement) associé à "Chouchou" avec Gad Elmaleh, alors que le bonhomme a pourtant commis de vrais beaux films, à l'exemple de "Bab El Oued City" et de celui-ci, son tout premier en 1976, qui sous ses dehors enjoués et légers (La scène de beuverie est une des meilleures que j'ai jamais vues, à mourir de rire) travaille en creux un sujet bien plus sérieux et grave : la misère affective de la jeunesse algéroise, le poids des traditions et de la religion qui a rendu les relations hommes-femmes quasiment impossibles. Femmes (volontairement) très peu présentes dans le film, cachées au bord du cadre ou regardées par la caméra et les personnages masculins comme des être fantasmés, dont seule la voix parait atteignable.

Drôle, fort, indispensable...

De cierta manera
7

De cierta manera (1977)

1 h 17 min. Sortie : 7 avril 2023 (France). Drame, Romance, Société

film de Sara Gómez (Sara Gómez Yera)

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Ce film de 1977 inédit en France est une merveille, mélangeant documentaire et fiction sans qu'on perçoive vraiment ce qui est de l'ordre du réalisme du quotidien ou de l'imaginaire. La photo noir et blanc est splendide, la BO tout autant, et l'ensemble accouche d'un grand témoignage sur le Cuba post-révolution.

Rage !
6.5

Rage ! (1977)

Rabid

1 h 30 min. Sortie : 3 août 1977 (France). Épouvante-Horreur, Science-fiction

Film de David Cronenberg

takeshi29 a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Partition inachevée pour piano mécanique
7.3

Partition inachevée pour piano mécanique (1977)

Neokontchennaia pesa dlia Mekhanitcheskogo pianino

1 h 40 min. Sortie : 5 septembre 1977 (Union Soviétique). Comédie dramatique

Film de Nikita Mikhalkov

takeshi29 l'a mis dans ses coups de cœur et l'a mis en envie.

Le Désert des Tartares
7.2

Le Désert des Tartares (1976)

2 h 20 min. Sortie : 12 janvier 1977. Drame, Guerre

Film de Valerio Zurlini

takeshi29 a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

J'ai été impressionné par cette adaptation de Dino Buzzati, quasiment aspiré par cette manière de figurer en permanence l'étrangeté, le temps flottant et le danger qui rôde. Sous ses dehors de grosse coproduction franco-italienne qui offrait toujours des distributions surprenantes ce film est un objet loin d'être facile mais envoûtant. Autre chose qui ne tombait probablement pas sous le sens : offrir le premier rôle, ou du moins le rôle central, à Jacques Perrin. Et pourtant le choix s'avère plus que judicieux.

Une sale histoire
7.6

Une sale histoire (1977)

50 min. Sortie : 9 novembre 1977. Comédie dramatique, Société

Moyen-métrage de Jean Eustache

takeshi29 a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

En 1977 Eustache avait poussé sa réflexion sur le documentaire et la fiction très loin, la théorisant par l'objet film lui-même mais aussi par le contenu, la vraie histoire racontée par son protagoniste "réel" succédant à la même histoire contée par Michael Lonsdale. Deux films donc, mais qui n'en forment qu'un seul, la même installation qui pose donc la question de la mise en scène nulle part ou partout, de la vérité et du mensonge à la Orson Welles. C'est intellectuellement vertigineux, surtout quand en plus dans l'auditoire se glissent Françoise Lebrun ou Eustache lui-même. "Une sale histoire" oui, mais aussi une drôle d'histoire par un drôle de cinéaste.

Des enfants gâtés
6.7

Des enfants gâtés (1977)

1 h 49 min. Sortie : 7 septembre 1977 (France). Comédie dramatique

Film de Bertrand Tavernier

takeshi29 a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

C'est triste à dire mais le décès de Michel Piccoli aura eu (comme souvent) une vertu : forcer les chaînes cinéma à sortir de leurs tiroirs des films rares. Je me suis donc jeté dessus car ils risquent de disparaître aussi radicalement qu'ils sont apparus.

Quelle belle découverte que ce Tavernier méconnu avec un Piccoli comme à son habitude magistral et la lumineuse et regrettée Christine Pascal. À la fois politique et intime, léger, le film réunit par exemple la troupe du Splendid, mais malgré tout très profond, la fin étant même pour tout dire bouleversante.

« Et si je meurs un jour je veux que cela soit comme il m’est arrivé d’aimer » (Tristan Cabral)

NB : On peut entendre dans ces "Enfants gâtés" une curiosité, le morceau "Paris jadis", interprété par un duo de choc, Rochefort et Marielle.

Les Révoltés de l'an 2000
7.2

Les Révoltés de l'an 2000 (1976)

¿Quién puede matar a un niño?

1 h 47 min. Sortie : 2 février 1977 (France). Fantastique, Épouvante-Horreur

Film de Narciso Ibáñez Serrador

takeshi29 a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

La Communion solennelle
6.2

La Communion solennelle (1976)

1 h 45 min. Sortie : 27 avril 1977. Comédie dramatique

Film de René Féret

takeshi29 a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

René Féret était un drôle de réalisateur, qui tournait principalement des œuvres aux apparences téléfilmesques mais avec le talent du grand metteur en scène qu'il était.

Cette "Communion solennelle" en est une parfaite illustration avec ses airs de saga feuilletonesque populaire, celles qui connurent leur heure de gloire dans les années 70-80. La plus belle d'entre elles fut probablement "La Maison des bois" de Pialat, et ce que fait Féret est presque aussi beau. Seulement lui balaie plus de 80 ans de la vie de sa propre famille en tout juste 105 minutes, les ellipses sont illustrées par des chansons de baladin signées Serge Reggiani, c'est d'une vivacité folle, drôle, romantique autant qu'émouvant. On y croise aussi de sacrés seconds rôles comme Nathalie Baye, Ariane Ascaride, Philippe Nahon, Myriam Boyer...

Bref c'est un film rare et précieux, hors du temps, comme l'était le très beau "Baptême" du même René Féret.

L'Héritage
7.3

L'Héritage (1976)

L'Eredità Ferramonti

1 h 58 min. Sortie : 20 avril 1977 (France). Drame

Film de Mauro Bolognini

takeshi29 a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Sur le papier ce Mauro Boligni pourrait laisser craindre une "Grande Bourgeoise 2, le retour", mais ici très vite on sent poindre la tragédie shakespearienne (Lutte de pouvoir et vénalité, haine familiale), avec cette grandiloquence assumée et flamboyante.

Et la beauté vénéneuse de Dominique Sanda, mon Dieu c'est inhumain !

Une journée particulière
8.1

Une journée particulière (1977)

Una giornata particolare

1 h 46 min. Sortie : 7 septembre 1977 (France). Drame

Film de Ettore Scola

takeshi29 a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Même si d’Ettore Scola je préfère le chef-d’œuvre "Nous nous sommes tant aimés" cette "Journée particulière" est touchante par sa simplicité dans la forme et sa richesse dans le fond. Et puis il y a Sophia Loren - Marcello Mastroianni. Impossible de ne pas penser à "Sur la route de Madison".

L'Homme qui venait d'ailleurs
6.3

L'Homme qui venait d'ailleurs (1976)

The Man Who Fell to Earth

2 h 19 min. Sortie : 6 juillet 1977 (France). Science-fiction, Drame

Film de Nicolas Roeg

takeshi29 a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Plutôt que le manque de fluidité du scénario qui m'empêche de noter encore plus généreusement cet "Homme qui venait d'ailleurs" je préfère retenir l'expérience que représente un tel visionnage, le rapprochant en cela du "Walkabout" du même Nicolas Roeg, avec ces folies visuelles incessantes, ces scènes ou plans hallucinatoires eux aussi venus d'ailleurs. Et puis regarder Bowie jouer, le regarder tout court d'ailleurs, est quelque chose d'unique. De troublant et d'unique...

L'Île des adieux
6.7

L'Île des adieux (1977)

Islands In the Stream

1 h 44 min. Sortie : 16 novembre 1977 (France). Drame, Aventure

Film de Franklin J. Schaffner

takeshi29 a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Malgré quelques très grandes réussites et succès au box-office Franklin J. Schaffner n'a curieusement jamais été considéré comme un très grand réalisateur. Peut-être à tort si j'en crois cette splendide découverte.

Si cette "Île des adieux" s'affaisse un peu dans sa dernière partie le reste est tout simplement de l'ordre du bijou. Les thèmes s'entrecroisent avec fluidité, les personnages existent tous, et que dire de la mise en scène, superbement maîtrisée, que ce soit dans l'intime ou le spectaculaire.

Dépaysant, intense, et surtout très émouvant mais jamais larmoyant, bref cette adaptation peu connue d'Hemingway est à découvrir de toute urgence.

takeshi29

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