Musiques singulières

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Experimental - Ambient - Classical sound art - Sound poetry

Au cours de la dernière décennie, qu’il s’agisse de lectures de poésie, de chansons, de performances d’orgue, de compositions sur bande, etc., chaque album de la riche discographie de Dora ressemble à la plume d’un oiseau différent. Une grande capacité à défier n’importe quel « son » singulier, en plongeant toujours à des profondeurs différentes.

"As Above, So Below" se concentre sur le piano mystique et les enregistrements vocaux. Dans un paysage gothique distinct, chacun des neuf morceaux flotte les uns dans les autres. Des œuvres pour piano verdoyantes qui tournent comme des miniatures magnifiquement étirées, s'étendant et se courbant comme des ombres sur le sol, aux arrangements vocaux brumeux planant au-dessus des lits d'enregistrements ruraux sur le terrain. Des synthétiseurs silencieux rampent dans les arrière-plans, sans jamais perturber l'esprit des mouvements du piano.

https://recitalprogram.bandcamp.com/album/as-above-so-below / Spotify

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Classical Contemporary

'Les signes passagers' est un album de sept pièces pour pianoforte seul écrit par Jürg Frey en 2021, commandé par la pianiste Keiko Shichijo, basée à Amsterdam.

«En tant qu'auditeur, je fais l'expérience de la musique jouée sur des instruments de piano anciens depuis de nombreuses années. Et il m'est apparu de plus en plus clairement à quel point l'influence du son de l'instrument est délicate sur l'inspiration du compositeur.

Si le piano moderne essaie d'obtenir un éclat constant sur l'ensemble du clavier, dans le pianoforte il y a des mondes entre le registre moyen, l'aigu et le grave. Toute la construction de l’instrument est si subtile, et chaque mouvement, le moindre changement de registres et de densité d’accords ouvre immédiatement une variété de couleurs, de nouvelles perspectives et d’émotions. – Jürg Frey

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World - Drone - Fourth world music

Des paysages musicaux qui oscillent entre sons traditionnels et expérimentaux avec des influences du Krautrock et de l'esthétique du « quart monde » de Jon Hassell.

Werner Durand s'est fait connaître avec divers projets avec la chanteuse Dhrupad Amelia CuniI, jouant avec e.a. avec Urban Sax. Ayant étudié le saxophone ainsi que les flûtes indiennes/persanes, basé à Berlin, il est un protagoniste très réputé de la scène des drones, célèbre pour ses instruments à vent qu'il a lui-même construits comme les clarinettes buzz ou ses neys et cors en PVC.

Son partenaire dans Flocks est Uli Hohmann dont les premières rencontres avec la musique d'Asie, d'Inde et d'Afrique l'ont conduit à étudier avec le maître batteur ghanéen Mustapha Tettey Addy et plus tard avec Nemad Darman (Iran). Il a joué dans quelques projets explorant le langage de la musique classique persane et a commencé à construire ses propres instruments à cordes (en tant que menuisier instruit).

Sur leur premier album éponyme, ils façonnent des paysages sonores drone basés sur leurs instruments à vent et à cordes qu'ils ont eux-mêmes construits, leurs percussions persanes et leur électronique subtile.

https://zehra.bandcamp.com/album/flocks

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Electronic - Ambient Drone - Field recording - Sound art

Dans la mythologie grecque, la légende de Thésée décrit comment le roi fondateur de l’Athènes antique sauva les enfants de sa ville du minotaure du roi Minos sur l’île de Crète. En commémoration, les Athéniens ont commencé un pèlerinage pour honorer sa victoire, en prenant le navire de Thésée et en le faisant naviguer d'Athènes à Délos. C'est avec cette tradition que s'est posé un paradoxe philosophique sur le navire historique : à mesure que le navire était réparé, pièce par pièce, jusqu'à ce qu'il ne soit plus composé d'aucune pièce d'origine, à quel moment le navire ne pouvait-il plus être considéré comme la même entité. ?

Le mythe du navire de Thésée m’a permis d’appréhender les nuances de la façon dont la réalité peut être observée, interprétée et modifiée d’un nombre indéterminé de façons ; il peut être démonté et reconstruit plusieurs fois. Et pourtant, en raison de ma situation intérieure, une insécurité perceptuelle demeure. Aussi flexible que puisse être la véritable nature d’un objet ou d’un moment, l’inexactitude menace. Il n’existe aucun moyen réel de savoir à quel point la disparité est grande entre mes expériences d’observation et celles d’autrui, et aucune limite claire quant au nombre d’éléments de notre réalité commune qui peuvent être modifiés – avant qu’elle ne cesse d’être simplement cela.

https://yannnovak.bandcamp.com/album/the-voice-of-theseus-2

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Electronic - Ambient - Drone - Micromusic - Minimal - Post-psychedelic

Avec la série Guitar Studies, je me suis uniquement intéressé aux bruits et aux sons produits par les guitares.

En partie, je jouais les guitares à la main de manière plus conventionnelle, mais le plus souvent je les préparais ou les activais en utilisant de petits moteurs à courant continu. J'ai utilisé différents microphones pour les enregistrements, ainsi que le contact lâche d'un micro et de nombreux amplis différents ; d'un petit ampli jouet partiellement défectueux à un bel ampli Magnatone avec trémolo analogique des années 60 et un vieil ampli Fender que j'ai acheté avec ma première guitare quand j'avais 10 ans.

J'ai également réécouté des sons enregistrés dans différents environnements, par exemple à l'intérieur d'un tube en carton ou dans différentes pièces de différentes tailles, puis je les ai réenregistrés. De cette façon, j’ai ajouté une résonance naturelle et une spatialité aux sons. J'ai également créé des sons déformés en envoyant le signal de la guitare à une membrane de haut-parleur nue posée sur la table, puis en mettant du sable sur la membrane elle-même. Les frottements entre la membrane et le sable créaient alors diverses formes de distorsion. J'essayais de tester différents processus d'itération pour découvrir à quel point la guitare pouvait se transformer.

Je n’ai travaillé avec des boucles dans aucune des compositions. Pour chaque couche de chaque morceau, j'ai enregistré tout ce que j'explorais pendant environ une heure. De cette façon, j’ai rassemblé d’innombrables heures de sons. Grâce aux superpositions presque infinies et aux longues prises d'enregistrement, j'ai essayé d'obtenir une sorte de vivacité, même si en même temps aucun changement majeur ne se produit dans la composition. Ce n’est jamais exactement la même chose, mais on ne va jamais ailleurs non plus. En ce sens, ces compositions ont également une forte composante sculpturale.

Après ce processus, j'ai commencé à travailler sur les microstructures des enregistrements. Par exemple, j'ai enregistré des changements d'égaliseur lents sur certaines de ces pistes sur toute la période. Je les ai également joués en direct via divers contrôleurs et égaliseurs analogiques. Cette approche a permis aux fréquences individuelles de devenir plus présentes sur de longues périodes ou de se mélanger aux autres. Au sens figuré, cela revient à utiliser une lampe (ou plusieurs lampes) pour éclairer une sculpture

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Ambient

Sur Tobira, le duo composé de Corey Fuller et Tomoyoshi Date, sous le nom d'Illuha, devient un trio avec l'ajout du percussionniste Tatsuhisa Yamamoto dont la batterie texturée mène son travail solo sur Black Truffle ainsi que des collaborations avec Jim O'Rourke et Eiko Ishibashi, Keiji Haino, Ouf, Oren Ambarchi entre autres. Les environnements électro-acoustiques d’Illuha qui regorgent de détails magnifiquement enregistrés, précis et délicats, sont propulsés vers un nouvel endroit avec la présence du sens profond du groove de Yamamoto et de son approche unique de la batterie.

Tobira signifie « porte » ou « ouverture » en japonais et après des années de travail en duo, Fuller et Date cherchaient une voie vers de nouveaux territoires sonores qui les amenaient à explorer des structures rythmiques, un territoire inexploré pour le groupe qui ressentait également, passionnant, comme un faux pas dans la musique « ambiante ».

Tobira est constitué de matériel enregistré sur 2 sessions inspirées et quelques overdubs successifs. Yamamoto a ajouté une nouvelle palette sonore et a joué un rôle déterminant dans l’étendue de la structure musicale d’Illuha à la fois lors de l’improvisation live et en studio. Son style de batterie se caractérise par un toucher très léger avec des microphones proches de la batterie pour capturer les frappes douces et texturées tout en les amplifiant dans une voix présente.

Immédiatement au début de l’album, nous entendons la batterie de Yamamoot, signalant, à ceux qui connaissent la musique d’Illuha, que quelque chose de différent se passe ici. Les voix percussives continuent de se mêler au pool de rhodes, de piano, de synthés lointains et de murmures métalliques de Fuller et Date. Avec le quatrième morceau, « Nijiriguchi », le trio est entré dans une obscurité brumeuse de batterie palpitante, de jeu de guitare et de basse déformé qui transporte l'album dans un espace libre infusé de noir avant de se réinstaller dans des atmosphères inclinées. Illuha y parvient sans perdre son sens du mélodique, de la texture et de sa production délibérée et détaillée, créant une belle combinaison d'intentionnel et d'exploratoire.

Sur Tobira, l'auditeur a le choix entre plusieurs portes, chacune offrant un terrain différent et les sons pour accompagner et naviguer dans la brume de nouveaux paysages.

https://12kmusic.bandcamp.com/album/tobira

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Avantgarde - Experimental - Electronic

Lasse Marhaug joue avec enthousiasme avec les autres. Au cours des trois dernières décennies, le musicien noise norvégien, producteur d'avant-pop et graphiste provocateur a travaillé sur environ 1.000 albums. Certes, bon nombre de ces disques étaient des affaires à enjeux relativement faibles, des sets live directement sur bande qu'il maîtrisait ou des rendez-vous ponctuels réalisés en petites éditions. Son ancien groupe Jazzkamer a également réalisé certaines des recherches sur le métal les plus indispensables du siècle, poussant le minimalisme à son intensité maximale. Malgré ce torrent de matériel, Marhaug publie rarement de véritables albums solo - un seul, l'exploration punitive de 2010 All Music at Once, au cours des douze dernières années.

Mais deux nouveaux albums fascinants - le travail solo scrupuleux et désorientant Context et un disque en duo captivant avec la chanteuse de métal ultra-dynamique Runhild Gammelsæter, Higgs Boson - offrent un nouvel aperçu de l'esprit de l'une des forces les plus actives de la musique expérimentale, capturant un mélange fascinant d'intimité et pouvoir. Ce sont des enregistrements très différents. Marhaug est enfermé dans une sorte de bras de fer cosmique avec Gammelsæter, son électronique ravissante la tirant vers la terre alors qu'elle explore la physique des particules et l'inconnu avec une voix qui exalte même si elle dérange. En comparaison, Context est calme et posé, même lorsqu'il siffle, s'agite ou secoue; il s'agit d'un soliloque minutieux concernant la nature du son.

Au cours du dernier quart de siècle, Gammelsæter a souvent été injustement réduit à une curieuse note de bas de page dans l'histoire du doom américain, devenant même un indice "Jeopardy !". En tant qu'adolescente étudiante en échange dans l'État de Washington, elle a formé l'éphémère et génial Thorr's Hammer avec Stephen O'Malley et Greg Anderson des années avant qu'ils ne deviennent Sunn O))); sa voix des profondeurs de l'enfer a donné à leur EP, Dommedagsnatt, l'impression qu'un abîme s'ouvrait à vos pieds. (Sérieusement, si vous ne l'avez jamais entendu, faites-le.) C'est devenu un favori culte très réédité; le fait que Gammelsæter ait ensuite étudié à Harvard, obtenu un doctorat en biologie et dirigé une série de sociétés de biotechnologie scandinaves n'a fait qu'encourager l'intrigue plus tard.

-Grayson Haver Currin/Pitchfork

https://ideologicorgan.bandcamp.com/album/higgs-boson

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Ambient - Drone - Electronic- Minimal techno - Click'n'cuts - Minimal dub techno

Radboud Mens est un artiste sonore, compositeur et concepteur sonore. Il a commencé à créer des machines bruitistes en 1988. Au début des années 90, il a attaché des micros de contact aux brosses de chien qu'il utilisait pour détruire des disques vinyles en les grattant, en amplifiant le signal à travers des platines à cassettes cassées et en enregistrant les résultats. Il a également fait du bruit rythmique en utilisant une platine cassée. En 1994, ces expériences ont été publiées sous la forme d'un ensemble de deux CD par le label britannique i sous les noms de Hyware et Technoise. Pour obtenir le plein effet, les auditeurs devaient mélanger eux-mêmes les deux disques ensemble.

A partir de 1997, il sort également de la musique sous son propre nom, une musique plus minimale et conceptuelle. Pour son CD Radboud Mens - Cl;ck, qui a été réalisé en 1997/1998, mais sorti deux ans plus tard, il a utilisé des clics et des erreurs numériques qu'il a collectés lors du nettoyage d'enregistrements numériques pendant son passage en tant qu'ingénieur du son au Centre de musique électronique. à Amsterdam.

https://radboudmens.bandcamp.com/album/continuous

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Il s'agit d'un double CD intitulé : Continuous Movement.
16 pistes au total réparties sur deux CD séparés.

https://radboudmens.bandcamp.com/album/movement

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Electronic - Ambient - Deep listening - Just intonation - Meditation - Minimalism - New age - Raga

Michael Harrison est un compositeur et pianiste qui est un praticien dévoué de l'intonation juste et de la musique classique de l'Inde du Nord. Il était le protégé et accordeur de piano de La Monte Young pendant les années The Well-Tuned Piano et un disciple de Pandit Pran Nath, et a depuis développé ses propres systèmes d'accordage personnalisés. Guidées par des conversations avec Christina Vantzou, qui a fourni des cadres structurels pour chaque pièce et dirigé les sessions, les compositions se sont inspirées de la pratique quotidienne du raga de Harrison, utilisant ses formes anciennes comme points de départ à partir desquels les compositions pourraient s'épanouir et se transformer. Une toile de fond résonnante de synthétiseurs modulaires joués par John Also Bennett, qui a également contribué à des improvisations au piano jouées sur le piano de concert Steinway personnalisé de Harrison, a élargi les sessions en une véritable pratique collective.

https://vantzou-harrison-bennett.bandcamp.com/

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Ambient - Electronic

Madeleine Cocolas est une compositrice et productrice australienne qui crée de la musique instrumentale post-classique et ambiante. Son travail oscille entre des paysages sonores luxuriants, de l'électronique expérimentale, des enregistrements sur le terrain et du piano solo.

https://madeleinecocolas.bandcamp.com/album/spectral

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Electronic - Post-rock

La musique de Paul Régimbeau transcende les genres. Son parcours débute comme bien d'autres à la fin des années 90, alors qu'il vit à Toulouse, et est profondément ému par les premiers disques de Vangelis et Aphex Twin. Il commence par conséquent à expérimenter des logiciels de production musicale. Pour retrouver le sens profond et les émotions de la musique, il embrasse la musique métal extrême, où il retrouve des sensations et des sentiments plus proches des siens.

Alors que sa musique était d'abord une affaire d'introspection, il s'est rapidement intéressé à collaborer, travaillant avec Charlemagne Palestine - un autre artiste obsédé par le potentiel transcendantal du son -, le guitariste Gregory Buffier de Saaad (comme Autrenoir), avec le groupe noise-rock Oiseaux Tempêtes (Sub Rosa), entre autres. Sur "Spring Stories", il développe d'étranges fleurs électroniques nourries de guitares électriques saturées et de boursouflures de drones.

https://mondkopf.bandcamp.com/album/spring-stories

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Loner folk - Art song - Deep listening - Poetry and Music

Le nouvel album de Clara Engel a été enregistré et mixé à la maison en 2021, avec toutes les chansons et instrumentaux écrits et joués par Clara, à l'exception des paroles de "O Human Child" dont les notes de Clara sont tirées de "L'Enfant volé" de W.B. Yeats. Clara joue une gamme intrigante d'instruments sur l'album, notamment la guitare boîte à cigares, la talharpa, la boîte shruti, le mélodica, des percussions trouvées, le tambour à langue et la chromonica.

Cet album est une écoute enrichissante et immersive, et la marque de fabrique d'une artiste qui offre une vision musicale authentique et convaincante.

https://claraengel.bandcamp.com/album/their-invisible-hands

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Ambient - Drone - Electronic - Experimental - Neo classical

Avec cette première compilation thématique autour de l’Epiphanie, le label helvétique Hallow Ground a fait appel aux artistes maison, FUJI​|​|​|​|​|​|​|​|​|​|​TA, Lawrence English, Maria W Horn, Siavash Amini, ainsi qu’à d’autres venus d’horizons différents, Amosphère, Magda Drozd, Valentina Magaletti, Reinier van Houdt, Norman Westberg…, pour aborder le phénomène des émotions ressenties par les auditeurs à travers le son.

Chaque artiste brouille les pistes entre matières organiques et électroniques, formant des espaces aux textures entremêlées, où l’abstraction se fait viscérale et la physique se mue en émanation spirituelle.

Le voyage proposé est poussé par une force collective qui offre à l’ensemble une cohésion surprenante, le tout formant un magma de mélodies suspendues aux effets apaisants, espaces drone et ambient se donnant la main pour traverser des paysages nus à la beauté enveloppante.

https://hallowground.bandcamp.com/album/hallow-ground-presents-epiphanies

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Experimental - Contemporary classical - Dark folk - Minimal - Electronics - Neoclassical

Compositeur minimaliste et joueur de luth néerlandais vivant à Brooklyn, Jozef van Wissem a appris à jouer de la guitare à Maastricht. Au début des années 90, il tient un bar à Groningen où il mène une vie agitée. Las de ce mode de vie, il vend son bar en 1994 et part vivre à New York où un label de Williamsburg l'avait invité. C'est à New York qu'il découvre et étudie le luth avec Patrick O'Brien, un ancien guitariste ; c'est alors qu'il se donne pour mission de « sortir le luth du musée et de l'intégrer à la musique d'aujourd'hui ».

https://jozefvanwissem.bandcamp.com/album/behold-i-make-all-things-new

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Ambient - Electronic - Classical piano - Experimental - Minimal - Neo-classical - Piano

Robert Haigh est un musicien électronique, ambiant et expérimental britannique. Né dans le Yorkshire, il s'installe à Londres à la fin des années 70 pour étudier l'art. Là, il a produit de la musique ambiante et industrielle sous le nom de Sema et a travaillé avec Nurse with Wound. Dans les années 90, il s'est fait connaître pour un style unique de batterie et de basse ambiante sous le nom d'Omni Trio. Sa musique ultérieure est un retour à l'ambiance introspective du piano.

Pour cet album, il propose une floraison miraculeuse de petites pièces à la grâce élégiaque et prenante, à l'opposé absolu d'une époque de plus en plus plombée par un matérialisme épais.

https://roberthaigh.bandcamp.com/album/human-remains

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Jazz fusion - Prog jazz

Krokofant joue une sorte de fusion improvisée énergique et explosive de jazz et de rock, à la fois libre et structurée, et aussi lourde, sonnant parfois presque comme du math métal. Recommandé aux fans de Mahavishnu Orchestra, King Crimson, Henry Cow et Terje Rypdal. Il sont ici accompagnés par deux musiciens eux aussi norvégiens et réputés dans leur pays pour leurs performances jazz, l'un est aux claviers (Ståle Storløkken), l'autre est contrebassiste (Ingebrigt Håker Flaten).

Album disponible sur Spotify