Napakompri

Annotation :

Déjà, rien qu'en ramenant les plans à une longueur suffisante, on aurait pu facilement gagner une heure de visionnage… pas de l'intelligibilité, mais un peu de rythme…

Annotation :

Ni nul ni bien, juste dans les limbes de la plus totale incompréhension : même du point de vue d'un trip contemplatif, reste la question essentielle «what's the point?»

Annotation :

On peut juste se laisser porter dans le récit du faux-docu-fiction, mais le discours symbolique n'est pas du tout évident.

Annotation :

Ce n'est pas que l'on comprend pas, mais en même temps, le fil narratif est suffisamment foutraque pour qu'on s'y perde abondamment.

Annotation :

Du rêve ou pas… ben du coup, on ne sait pas… parait que ce n’est important, mais quand même.

Annotation :

C’est très bien filmé, très intelligent, donc trop pour moi…

Annotation :

Qui est qui, qui fait quoi et surtout : pourquoi?
Les motivations des personnages sont complètement incompréhensibles.
On ne sait pas si c’est écrit avec le cul ou monté avec les pieds…

Annotation :

Obscur, voir abscons, mais très belle photo et bande son renversante : une certaine volonté d’être hermétique qui gâche un peu.

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Très, mais très ambitieux.

Annotation :

C’est sûrement génial, mais trop pour mon esprit hermétique à l’esthétisme du nombril…

Annotation :

J’avoue que le titre résume bien le sentiment général du spectateur.

Annotation :

Se retrouver avec un bel objet cinématographique où on se fait chier comme des fous.

Annotation :

Confus, comme toutes les affaires de famille.

Annotation :

Structure narrative trop hachée pour moi.

Annotation :

C’est beau, contemplatif, chuchoté, mais avec une certaine envie d’être cryptique qui gâche un peu.

Annotation :

Manière, c’était l’idée, énoncée depuis le début.

Annotation :

C’est volontaire, mais tout s’emmêle et quand tu penses avoir extrait un peu de cohérence, ben en fait, non ou peut-être pas… Mais en même temps, on se laisse trainer dans l’errance…

Annotation :

Légèrement abscon, mais en même temps fascinant.

Annotation :

… mais ce n’est pas la faute des dialogues.

Annotation :

Mais très littéralement, on se demande encore ce qu’on a regardé pendant plus de deux heures.

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Quand tu veux tellement faire du film d’auteur que ça transpire à chaque plan laborieux…

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Des fois, on se dit que si… puis en fait, non.

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Quand on ne sait pas trop où ça va… et le réal non plus.

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Pas beaucoup d’efforts de contextualisation.

Annotation :

C’est compliqué. On se fait beaucoup chier, le truc est souvent abscons et lent, des fois tu te dis qu’on se fout de ta gueule et puis… tu repenses aux films expérimentaux des années 70 où on rame aussi à accrocher un récit qui est au mieux inexistant et tu te dis qu’il faut peut-être juste se laisser porter dans la rêverie et y choper quelques éclats de bonne grosse colère bien ciblée.