Nos mangas chouchous de 2020

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Maxime : Un shônen sportif de stratégie sur les échecs super accessible. C’est certes pas dénué de défaut, c’est par moment classique… et c’est bien normal ! Les codes sont bien utilisés au point de nous accrocher suffisamment pour nous faire enchaîner les pages. Et il y a Kasparov dedans !

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Johnny : Un nouveau pilier de la science-fiction temporelle à mon sens. Scénario de ouf, seinen complexe et drôle. Tous les personnages sont attachants. J’adore !

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Julie : Une romance toute mignonne sur un premier amour... entre garçons. Ça change des histoires alambiquées (souvent pas très subtiles) et c'est loin des clichés sur le yaoi. Un dessin très doux aussi.

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Robin : La suite directe du shônen culte de Hiroyuki Takei, avec tous les ingrédients qu’on adore, qu’on a pu découvrir en même temps que la réédition de la série mère avec sa fin inédite. Une chouette manière de replonger dans cet univers et de retrouver le dessin mortel de l’auteur.

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Julie : Un regard croisé et honnête sur la vie de couple. Plus émouvant que ne le laisse penser le résumé, avec des thématiques très quotidiennes et réalistes.

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Robin : Du pur "manga d’auteur" fait par un proche d'Inio Asano, et ça se ressent. Très intéressant dans sa manière de dresser un portrait du Japon contemporain et de traiter des sujet très durs (la fugue, le deuil, la maltraitance infantile) avec délicatesse. La relation entre les deux personnages principaux est également très réussie.

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Johnny : Une remise à neuf pour le tout premier manga de mon auteur fétiche. Kouji Seo se fait plaisir et reprend ce one shot (qui a recu le 55e prix du meilleur premier shônen de Shônen Magazine excusez du peu !) pour le remettre au gout du jour en 2 tomes.

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Julie : Un "shônen historique" à la vie, à la mort ! Un récit sur une des dernières vraies aventures du monde moderne : la ruée vers l'or ! Un concentré de violence, et de beauté…

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Robin : Un seinen historico-social qui donne à voir une facette méconnue de l’histoire japonaise. Surtout un récit du côté des vaincus (c’est le genre de parti-pris que j’adore). Le quotidien de cette galerie de bidasses est imprégné par un spleen mêlé à un réalisme parfois assez cru. Une dimension sociale qui rappelle les débuts du chef-d'œuvre Ashita No Joe.

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Johnny : Un manga sur les sentiments humains comme toute la collection Moonlight. Une réflexion profonde et personnelle sur le sens de la vie à l'image de la série Sense 8. Chacun y trouvera ce qu’il veut.

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Maxime : Ça se lit vite, ça se prend comme une grosse dose d'adrénaline. Ce monde violent, ces personnages stylés, le sentiment d'oppression constant... En plus avec le tome 3, le récit prend une toute autre dimension, ça sent bon pour la suite !

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Maxime : Aaaaaaaah, ce manga m’a fait crier de dégoût plusieurs fois et j’ai adoré ça !! Il y a des dessins bien dégueus, sur une base d'enquête, de polar/thriller qui se révèle de plus en plus intéressante au fur et à mesure des pages. C’est un peu du Tsutsui qui aurait décidé de faire du trash, une vraie révélation.