Odyssée cinématographique 2024
Comme d'habitude, liste richement annotée, et les films sont vus en full HD (si possible) et VOSTFR. Quand je ne regarde pas en VO, je le précise.
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2023 : https://www.senscritique.com/liste/odyssee_cinematographique_2023/3393302
2022 ...
14 films
créée il y a environ 1 an · modifiée il y a environ 1 moisLes Révoltés du Bounty (1962)
Mutiny on the Bounty
2 h 58 min. Sortie : 21 décembre 1962 (France). Aventure
Film de Lewis Milestone
VGM a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Vu pour la première fois.
Je voulais découvrir l’histoire du Bounty, mais je ne savais pas trop à quoi m’attendre en lançant le film. Et, dès le début, j’ai adoré les Révoltés du Bounty.
C’est tout d’abord une histoire hyper intéressante de par son contexte historique : l’Angleterre de l’époque et ses colonies du Pacifique, la manière dont fonctionnait la marine, et la volonté de se rendre à Tahiti afin d’y trouver un équivalent de la pomme de terre pour nourrir les esclaves des Antilles (l’Arbre à Pain). Nos hommes embarquent donc pour une mission à la fois scientifique et commerciale de plusieurs mois, où le bateau se transforme rapidement en huis clos.
Et c’est là que se dévoile l’autre aspect passionnant, à savoir l’aventure en elle-même. Voir les conditions dans lesquelles ces hommes traversent la Terre de part en part est fascinant, et les tensions naturelles qui naissent ne sont que trop crédibles. Le jeu d’acteur des différents personnages, incluant évidemment Marlon Brando, est également très bon, et permet d’y croire.
J’avais un peu peur du traitement des locaux lors de l’arrivée sur les îles, étant donné l’âge du film, mais je trouve qu’il s’en sort plutôt bien, en évitant certains aspects qui étaient à craindre. C’est aussi car nous avons ici droit à une version très romantisée de la mutinerie du Bounty, avec des marins relativement respectueux. Pour avoir lu la véritable histoire ensuite, tout n’était en réalité et sans surprise pas si simple dans les relations entre les anglais et les Tahitiens, et notamment les Tahitiennes. De même, Christian Fletcher était à priori plus un escroc qu’un héros. Mais c’est honnêtement mieux ainsi, car cette prise de position sert véritablement l’histoire du film. Je regrette juste que tout soit si rapide après la mutinerie : une course qui a duré des mois et des années, qui est ici racontée assez brièvement. Il faut dire que, même sans ça, le film dure déjà 3h.
En somme, un vrai bon film, très intéressant, et qui m’a bien plus passionné que je ne l’aurais cru de prime abord.
Vu en deux fois, les 07 et 08 janvier.
Le Roi Lion (1994)
The Lion King
1 h 29 min. Sortie : 9 novembre 1994 (France). Animation, Aventure, Drame
Long-métrage d'animation de Roger Allers et Rob Minkoff
VGM a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Revu pour la xième fois, avec 5 < x < 20. Revu pour la première fois depuis plus de 10 ans, possiblement pour la première fois en VO.
Contrairement à beaucoup de monde, le Roi Lion n’a jamais été mon Disney préféré. Il ne m’évoque pas spécialement de nostalgie (du moins le pensais-je), et lorsque je l’avais revu il y a une douzaine d’années je l’avais bien aimé, sans plus. C’est néanmoins avec plaisir que je me suis lancé dans un nouveau visionnage, et j’ai cette fois été vraiment charmé.
Dès le début, force est d’admettre que l’introduction fonctionne à merveille, et qu’il y a quand même un peu de nostalgie. L’occasion de signaler que j’ai été complètement soufflé par l’OST. Minute après minute, elle n’a fait que me mettre des claques. Quant au film en lui-même, je l’ai trouvé attachant, une fois mis de côté le fait que c’est toujours une sacrée ode à la monarchie - et que c’est toujours un petit peu dérangeant. Il est bien rythmé et comporte de nombreuses belles scènes qui, sublimées encore une fois par la musique, sont porteuses d’émotion. Définitivement un très chouette moment.
Vu le 21 janvier.
Forrest Gump (1994)
2 h 22 min. Sortie : 5 octobre 1994 (France). Drame, Romance
Film de Robert Zemeckis
VGM a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Vu pour la première fois (eh oui).
Grand classique manquant à ma culture personnelle, j’ai enfin découvert Forrest Gump ! Et j’ai adoré. Aussi fou que cela puisse paraître, je ne connaissais rien du film, et la découverte n’en a été que plus savoureuse. Pendant plus de 2h, on va de surprise en surprise, suivant la vie de Forrest dont la simplicité d’esprit est tour à tour drôle et véritablement touchante. J’adore le fait qu’il fasse des trucs hallucinants le plus simplement du monde, comme rencontrer tous les présidents des Etats-Unis un par un ou encore aller combattre au Vietnam. Mais aussi qu’il soit un super être humain, un véritable ami, fidèle, l’amenant vers des décisions absurdes mais qui finissent par tourner de manière totalement improbable et pourtant géniale, comme toute l’histoire autour du crevettier.
Malgré une fin un tout petit peu facile, Forrest Gump a donc été un gros coup de cœur. Sur un sujet difficile à traiter, ce film très créatif réussit à nous laisser avec le sourire aux lèvres, et ça c’est beau. Pas étonnant qu’il soit culte.
Vu en deux fois, les 17 et 18 février.
Barbie (2023)
1 h 54 min. Sortie : 19 juillet 2023 (France). Aventure, Comédie, Fantastique
Film de Greta Gerwig
VGM a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Vu pour la première fois.
J'ai vraiment kiffé Barbie, j’ai même pour ainsi dire longtemps hésité avec un 8. Je pensais que je savais à quoi m’attendre, mais en fait je ne savais pas vraiment : Barbie est un film hyper créatif et rafraîchissant, qui passe des messages importants tout en ne se prenant jamais vraiment au sérieux, n’hésitant pas à partir dans des délires psychédéliques toujours inattendus et géniaux, tout se permettant souvent d’aller assez loin dans la satire. Le rythme est très bon, et j’ai beaucoup rigolé, beaucoup plus que ce que j’aurais cru.
Alors certes, les messages sont passés sans aucune subtilité, mais c’est ce qui fait selon moi toute la force du film, au-delà de son délire créatif et de son aspect comique : on ne peut pas mal comprendre Barbie, c’est un film qui parlera à tout le monde. Conservateurs comme progressistes ne pourront se méprendre face à la clarté de ce qui est énoncé. Et si je n’ai personnellement rien appris en voyant ce film, son rayonnement international, y compris dans des pays coercitifs comme la Chine, est selon moi à mettre au crédit de sa limpidité. Bref, en un mot comme en cent, j’ai adoré et je le recommande sans hésiter.
Vu en deux fois, les 3 et 4 mars.
Heat (1995)
2 h 50 min. Sortie : 21 février 1996 (France). Policier, Drame, Thriller
Film de Michael Mann
VGM a mis 6/10.
Annotation :
Vu pour la première fois.
Je suis plus mitigé que je ne l’aurais voulu sur Heat. D’un côté, c’est un film que j’ai aimé suivre, avec un duel au sommet entre deux acteurs fantastiques. On s’attache ainsi à ces deux anti-héros, le gangster classe et le flic ingénieux n’hésitant pas à se salir les mains pour obtenir ce qu’il souhaite. C’est d’ailleurs la principale force du film, ça et quelques scènes assez savoureuses, comme la partie du braquage qui se passe bien. C’est si propre et bien huilé qu’il en ressort un vrai côté satisfaisant. J’aime également bien le fait que le groupe de gangsters soit aussi hétéroclite, et propose donc une galerie de personnalités assez variées. Ainsi que le fait qu’il prenne le temps de poser son univers et ses héros, il a un vrai côté western qui fonctionne bien.
Mais malgré tout cela, je trouve Heat assez convenu. S’il en contourne certains et s’en approprient d’autres, il n’en va pas moins chercher tous les poncifs du genre, avec de nombreux clichés un peu simples et une écriture parfois simpliste. Et quelques jours après l’avoir vu, force est de constater qu’il ne comporte que peu de moments m’ayant marqué. Reste un bon film et un bon moment, mais force est de constater que j’en attendais un peu plus, surtout en 2h50.
Vu en deux fois, les 16 et 17 mars.
Eyes Wide Shut (1999)
2 h 39 min. Sortie : 15 septembre 1999 (France). Drame, Thriller
Film de Stanley Kubrick
VGM a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Vu pour la première fois.
Grosse claque que Eyes Wide Shut, thriller culte dont je ne connaissais à vrai dire rien du tout avant de le lancer. Et, dès le début, Tom Cruise et Nicole Kidman m’ont plongé dans une spirale folle, dont je ne suis sorti qu’au bout de 2h30. Eyes Wide Shut, c’est un mélange d’amour, de quotidien, de tension sexuelle, de drame, d’aventure nocturne fantasmagorique et de secte, le tout porté par une musique extraordinaire. L’histoire de personnages classiques qui touchent le rêve et le cauchemar en même temps, emmêlant les 2 jusqu’à ce qu’on n’arrive plus à les distinguer. J’ai adoré du début à la fin.
Regardé en deux fois, les 28 et 29 avril.
Resident Evil : Degeneration (2008)
Biohazard : Degeneration
1 h 37 min. Sortie : 2008 (France). Animation, Épouvante-Horreur, Science-fiction
film de Makoto Kamiya
VGM a mis 5/10.
Annotation :
Vu pour la première fois.
Un film qui a comme une odeur de CGI PS3, ce n’est pas désagréable. Peut-être un brin nostalgique, même. Je l’ai d’ailleurs trouvé globalement plutôt beau, malgré une synchronisation labiale absolument catastrophique. J’ai bien aimé le setting de l’aéroport, bien qu’il soit un peu sous-exploité. La deuxième partie, le complexe, est très classique Resident Evil dans l’esprit, moins réaliste et bien plus perchée. D’ailleurs, l’histoire est vraiment random nanar Resident Evil, mais j’ai bien aimé Léon et Claire (même si Claire est tour à tour badass et un peu cruche, c’est dommage). Le plan du frère de Claire n’a aucun sens, mais bon il ne faut pas trop se poser de questions. Et, bien que je n’en puisse plus qu’on boucle autour des mêmes persos et des événements de Racoon City, j’ai relativement bien aimé les nouveaux personnages et le fait qu’il y ait de nouvelles compagnies impliquées. Bref, RE Degeneration n’est clairement pas un bon film, mais je n’ai pas passé un mauvais moment pour autant. Et ce n’est déjà pas si mal.
Vu dans la nuit du 18 au 19 mai.
Chute libre (1993)
Falling Down
1 h 55 min. Sortie : 26 mai 1993 (France). Policier, Drame, Thriller
Film de Joel Schumacher
VGM a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Vu pour la première fois.
J’aime beaucoup le postulat de base de Falling Down : un mec lambda qui, poussé à bout par les petites contrariétés de la vie, finit par péter un câble, mais vraiment péter un câble. Le film n’y va pas à moitié, et n’hésite pas à pousser le héros dans ses derniers retranchements via des situations qui sont souvent très drôles, la critique d’une société qui part également en vrille n’étant jamais loin. La scène du fast food est à ce niveau-là vraiment magique. Au final, le seul reproche que je peux faire est que Michael Douglas n’est pas vraiment un mec lambda… on se rend vite compte que c’est un mec qui a en fait déjà perdu pied depuis longtemps, et qui est hyper creapy avec sa femme et sa fille. Cela fait un peu perdre en force à ce que je pensais être le postulat original, mais Falling Down n’en reste pas moins un très bon divertissement, que j’ai beaucoup aimé.
Vu le 8 septembre.
Little Miss Sunshine (2006)
1 h 41 min. Sortie : 6 septembre 2006 (France). Comédie dramatique, Road movie
Film de Jonathan Dayton et Valerie Faris
VGM a mis 7/10.
Annotation :
Vu pour la première fois.
J’ai vraiment aimé voir Little Miss Sunshine. Déjà, je n’avais aucune idée du sujet du film, et c’était agréable de le découvrir au fur et à mesure. Et puis surtout, je l’ai trouvé vraiment très drôle, avec des passages où j’ai rigolé de bon cœur. Derrière une histoire somme toute classique, il y a de la satire partout, et ça donne à l’ensemble une vraie saveur. Tout allait bien jusqu’au concours final, durant lequel je suis mort de cringe. Je sais, c’est fait exprès. Et ça fonctionne à 300%. Mais le savoir n’est pas suffisant, je suis vraiment sorti du film avec une sensation de malaise : “dire que ces trucs existent vraiment, quel enfer”. Je ne pense pas que le film me marquera, mais je suis content de l’avoir vu et - excepté la fin - c’était un vrai bon moment.
Vu le 5 octobre.
Papy fait de la résistance (1983)
1 h 42 min. Sortie : 26 octobre 1983. Comédie, Guerre
Film de Jean-Marie Poiré
VGM a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Vu pour la première fois.
Film français culte qui manquait à ma culture, j’ai enfin vu Papy fait de la résistance. Et j’ai beaucoup aimé ! Un peu surpris, car je ne savais pas de quoi il en retournait et, au final, le papy en question n’a quasiment aucun rôle dans le film. C’est donc une comédie au casting 5 étoiles, qui met en avant comme d’autres le potentiel étonnamment comiques des SS, dans une période qui n’a pourtant historiquement rien de drôle. Bien que certains aspects aient un peu vieilli (comprendre qu’on ne pourrait jamais sortir ça de nos jours), ils ne me dérangent personnellement pas, et j’ai régulièrement rigolé de bon cœur devant certaines absurdités ou situations particulièrement savoureuses. Il n’y a que la dernière scène que j’ai trouvée mal écrite et tout à fait dispensable. Papy fait de la résistance vient donc directement se loger dans le cercle très restreint de mes comédies françaises préférées.
Vu le 20 octobre
Kirikou et la Sorcière (1998)
1 h 14 min. Sortie : 9 décembre 1998 (France). Animation, Aventure
Long-métrage d'animation de Michel Ocelot
VGM a mis 7/10.
Annotation :
Vu pour la xième fois, avec x > 5, mais pour la première fois adulte.
Cela faisait un bout de temps maintenant que je souhaitais redécouvrir Kirikou avec un regard adulte. Si je ne me souvenais de quasiment rien (hormis la chanson culte), chacune des scènes resurgissait de ma mémoire dès ses premiers instants : je pensais ne me rappeler de rien, mais je me rappelais en fait de tout. Signe d’une aventure finalement marquante. Et qu’en ai-je pensé alors ? Eh bien, j’ai beaucoup aimé. C’est un dessin animé court et condensé, qui enchaîne ses idées avec une mise en scène tour à tour drôle et touchante. J’aime beaucoup les visuels et la musique. Les chansons sont également très chouettes et prenantes. L’histoire est simple mais atypique, et comporte quelques moments inattendus. Certains personnages du village sont un poil forceur à force de trop en faire dans le cliché de leur rôle, mais rien de très embêtant. Et puis le voir adulte, c’est en plus comprendre la seconde grille de lecture du conte, qui est (heureusement) inaccessible enfant. Un bon moment.
Vu le 18 novembre.
Resident Evil : Damnation (2012)
Biohazard: Damnation
1 h 40 min. Sortie : 24 septembre 2012 (France). Animation, Action, Épouvante-Horreur
film de Makoto Kamiya
VGM a mis 6/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Vu pour la première fois.
Une bonne surprise que ce Resident Evil Damnation. Pour être clair, je n’en attendais strictement rien, plutôt le contraire même. Et, au final, il s’agit probablement du meilleur film de la saga à date. Léon est badass, et l’histoire est centrée autour de lui et de sa mission. L’ambiance est travaillée, les personnages plutôt cool et l’histoire assez classique mais efficace. J’ai beaucoup aimé la présidente, et le fait qu’elle mette une misère à Ada : ça fait du bien de voir les sempiternels mêmes personnages invincibles se prendre une raclée par une inconnue. Je pensais donc que j’allais m’endormir en deux minutes devant ce nouvel épisode, eh bien pas du tout : il m’a très vite accroché, et ce jusqu’à la fin. Dommage que ladite fin parte un peu en vrille et renoue avec certains poncifs de la saga, mais à ce stade là on est habitués.
Vu dans la nuit du 8 au 9 décembre.
Maman, j'ai raté l'avion ! (1990)
Home Alone
1 h 43 min. Sortie : 19 décembre 1990 (France). Comédie
Film de Chris Columbus
VGM a mis 6/10.
Annotation :
Vu pour la première fois.
Aussi dingue que cela puisse paraître, je suis assez sûr que je n’avais encore jamais vu Maman, j’ai raté l’avion. Pas vraiment intéressé, j’étais néanmoins curieux. Et Noël était la bonne période pour assouvir cette curiosité.
Si j’ai eu un peu de mal avec le début - j’ai pensé que j’allais en avoir très vite marre du gosse - Kévin se calme finalement assez rapidement et se révèle alors un gamin plus attachant que prévu. Idem pour ses parents, la mère est notamment assez touchante. Les autres membres de la famille sont des clichés à jeter à la poubelle, mais on ne les voit presque pas, donc ce n’est pas un problème. La deuxième partie du film est globalement assez chouette, et j’ai passé un bon moment. La scène dans l’église et la fin sont notamment simples mais très touchantes. Il y a aussi plusieurs passages vraiment drôles. Bref, un bon divertissement de Noël pour les adultes, et probablement bien plus encore pour les enfants.
Vu le 25 décembre.
La Ligne verte (1999)
The Green Mile
3 h 09 min. Sortie : 1 mars 2000 (France). Drame, Fantastique
Film de Frank Darabont
VGM a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Vu pour la première fois.
Quelle claque. Une des plus grosses que je me sois jamais prise devant un film. La ligne verte m’a scotché du début à la fin. J’ai été emporté comme rarement, plus rien d’autre n’existait que le drame qui se déroulait devant mes yeux. Je n’en savais presque rien - si ce n’est son statut de film culte - et j’ai donc été de surprise en surprise. Jusqu’à la fin, je n’avais aucune idée réelle de la conclusion vers laquelle il se dirigeait. Je n’avais pas le temps d’y réfléchir de toute façon, j’étais bien trop occupé à récupérer mon souffle entre chaque scène. J’ai trouvé l’histoire terrifiante et passionnante, les acteurs incroyables, le côté historique glaçant et le côté fantastique parfaitement amené. Il y a tellement de choses que je trouve intéressantes dans ce film. Dans la trame principale autant que dans les détails. On pourra toujours argumenter que l’antagoniste principal est un peu trop caricatural, ou noter une facilité sur la fin, mais cela n’a aucune importance. Une claque monumentale.
Vu le 28 décembre.