Ongoings

Annotation :

Numéros #1 à #100 ; #105 à #110 de Stan Lee :

Numéros #500 à #545 de J.M. Straczynski : 10/10

L'arc anniversaire quel banger. L'affrontement Peter/Ezekiel dans mes veines. Le changement graphique avec le passage de Deodato est perturbant, mais est accompagné d'un changement narratif puisque fin de saga d'Ezekiel.
Et il faut en parler : Sins Past, c'est vraiment trop bien.
Ron Garney je l'aime d'amour ici.
Back in Black ? Banger. Civil War ? Banger. L'autre ? Giga banger. One More Day ? PUTAIN DE BANGER.
Je suis désolé, le passage de JMS c'est peak Spider-Man du début jusqu'à la fin.

Numéros #546 à #611, période 'Brand New Day' :

Numéros #612 à #637, période 'The Gauntlet'/'Grim Hunt' : 9/10

C'est bien sûr ultra inégal, mais du coup très intéressant à lire. Beaucoup de récits ressortent, bien sûr, comme les deux numéros sur le Rhino, qui sont des classiques, les arcs de Slott qui sont bien sûr excellents (preuve qu'il avait définitivement pris le coup avec le perso), ou encore ce fabuleux arc sur le Lézard, où Wells et Bachalo proposent un récit sanglant, très porté sur l'horreur, renouant avec l'aspect dramatique inhérent au personnage de Spider-Man.
Rien que pour ces récits-là (et puisque la majorité des autres récits restent quand même super cools) c'est une période que je chéris énormément.
Concernant sa conclusion, 'Grim Hunt', j'en garde également d'excellents souvenirs, tant pour la noirceur du récit que sa violence, parachevant cette période des plus troublées pour le personnage. Sans être au niveau de la Dernière Chasse, ça reste une suite plus que honorable, et vraiment bien écrite. Une petite référence perso du Spider-Man contemporain.

Numéros #638 à #641 de Joe Quesada :

Numéros #642 à 646 de Mark Waid; #647 de Fred Van Lente :

Numéros #648 à #700 de Dan Slott :

Annotation :

Numéros #30 à #58 de J.M. Straczynski : 10/10

JMS, on lui a demandé de revenir pour revitaliser Spider-Man et il t'a pondu le run ultime sur le personnage quelle turbo dingz.
D'entrée on te sort l'histoire du totem araignée qui est l'un des ajouts les plus audacieux au lore arachnéen, introduction d'Ezekiel qui est un des persos les plus fascinants de ce même univers, mais aussi de Morlun, effrayant et surpuissant.
Et c'est que le premier arc, la suite en devient encore meilleure :')
Ce focus sur Peter/MJ/May c'est incroyable et dans mes veines, et c'est un retour au côté soap opéra des comics Spidey. Peter est d'ailleurs traité avec un soin très appréciable, quelle idée de fou furieux d'en avoir fait un prof sérieux.

Annotation :

Turbo pas objectif vu que c'est un de mes comics d'enfance, qui m'avait laissé une giga trace et m'avait fait plonger tête la première dans le côté plus adulte et mâture des comics.
J'ai une certaine tendresse à son égard, en dépit de ce qu'on peut lui reprocher.

Annotation :

Is it top 3 de mes runs Spidey préférés ? Peut être bien, oui, on sait pas ^^
Dan Slott on peut lui reprocher ce qu'on veut mais il s'est clairement pas empêche d'être radical quand il le voulait, et j'aime BEAUCOUP.

Annotation :

Une période transitoire surtout marquée par ce petit truc appelé SPIDER-VERSE je sais pas si vous connaissez.
Je peux rien dire, c'est du Spider-Man de mon enfance, celui que j'achetais en kiosque tous les mois et que je suivais avec une attente non dissimulée.
Pas forcément le run le plus intéressant de par sa (très) courte durée et sa fin un peu abrupte à cause de Secret Wars, mais demeure que j'aime beaucoup.

Annotation :

Dans le haut de ce qui s'est fait durant Secret Wars, ce fantasme pas si impossible si ce n'est pour des raisons éditoriales.
Quel plaisir de voir Peter avoir une famille, et juste faire des trucs d'adulte.

Annotation :

Période finale pour un Slott qui s'en va en grande pompe : entre l'intrigue de Parker Industries qui est l'une des évolutions les plus surprenantes en terme de statut quo, la Conspiration des Clones qui est un de mes récits préférés all time, le retour de Norman Osborn présenté comme cette menace absolue et totale pour un Peter perdu à tous les niveaux, et cette relation avec Mockingbird qui n'aura été que de trop courte durée, c'est à l'image de tout ce qui précède : un peu bordélique, mais suffisamment généreux pour y trouver son compte au final.
Très hâte de m'y replonger.

Annotation :

Numéro #1 à #74 de Nick Spencer : 4/10

C'était vraiment éclaté, beaucoup de bonnes idées au début qui finissent par lamentablement se casser la gueule dans des derniers numéros vides, mal écrits, pas très beaux et surtout très très très inutiles.
Des retcons gratuites, sans aucune réflexion ni volonté de raconter quoi que ce soit, associées à une paresse dans le traitement de Peter.
Je mets 4 parce que j'ai bien aimé les 3/4 des numéros mais le final me fait rétroactivement détester l'ensemble.

Numéro #75 à #93, période 'Beyond' : 7/10

Rien de fou dans l'ensemble mais assez agréable à lire. Y a des numéros vraiment cools, des idées assez bien trouvées, mais c'est assez long pour pas grand chose et aurait mérité d'être mené avec plus de stabilité (comme une seule équipe créative attitrée). Néanmoins ça reste un gros prologue au run de Wells, qui place méticuleusement ses pions et idées avant de, j'imagine, pleinement les exploiter dans le futur.
Meilleur que Spencer nonobstant, donc fatalement c'est pas profondément mauvais.

Annotation :

C'est un run qui existe et on le félicite pour ça.
Après des premiers numéros vraiment engageants, Ahmed tombe peu à peu dans l'automatisme et le manque d'ambition, ressassant des idées déjà explorées ailleurs en moins bien.
Passée la volonté première de créer un environnement propre à Miles, l'ensemble est inconséquent au possible, et n'est vraiment pas aidé par les visuels, très inégaux, des dessinateurs qui s'enchaînent sans se ressembler.
Y avait des idées, pas forcément bonnes ou mauvaises, mais qui restent malheureusement au stade d'idées.
Très dommage.

Annotation :

Même pas que ce soit mauvais, c'est juste terriblement et insipidement triste, une histoire qui ne semble pas avoir de véritable ambition, et qui commence aussi vite qu'elle se termine.
Le concept d'une nation mutante en pleine reconstruction est intéressant pourtant (preuve en est Hickman) mais l'exécution est vraiment paresseuse.

Annotation :

Bah déjà c'est Greg Land qui dessine ça dégoûte de fou putain.
Et pis c'est une de ces nombreuses prolongations de Jean Grey/Dark Phoenix qui sont pas nécessaires et relativement anecdotiques.
Et encore je vous parle pas de Warsong.

Annotation :

C'est basiquement un de mes comics préférés de l'histoire en fait, Hickman trop fort comme d'habitude, la paire de balls qu'il faut avoir pour balancer ce genre de récits, surtout dans un univers aussi complexe et riche que celui des Mutants.
Heureux qu'après autant d'années d'errance les Mutants aient enfin du respect sur leur nom.

Annotation :

C'est basiquement un de mes comics préférés de l'histoire en fait, Hickman trop fort comme d'habitude, la paire de balls qu'il faut avoir pour balancer ce genre de récits, surtout dans un univers aussi complexe et riche que celui des Mutants.
Heureux qu'après autant d'années d'errance les Mutants aient enfin du respect sur leur nom.