Penguin Cafe Orchestra (commenté)

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Album incroyable et foisonnant que ce premier album, chef-d'oeuvre instantané. On est d'abord frappé par l'inspiration folle qui émane de cette musique à nulle autre pareille. Mille influences se bousculent (World, néo-classique, contemporain, pop, minimalisme...) et se télescopent pour former un fabuleux patchwork sans frontière... Ce disque parfait de bout en bout restera le chef-d'oeuvre définitif du Penguin Café Orchestra.

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Retour en force, après le moins ambitieux "Broadcasting From Home". Ce "Signs Of Life" est tout simplement le meilleur album du groupe, après le tout premier (et indépassable) "Music From the PCO". Ici, on sent une inspiration nouvelle, et toujours cette liberté folle dans les compositions, une liberté qui permet au PCO d'emmener sa musique aux confins de l'ambient (avec le délicat et aérien "Wildlife" qui clôt majestueusement cet album obsédant.)

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Le premier album jetait les bases (et quelles bases !) d'une musique à la fois accessible et singulière. Ce deuxième album poursuit cette passionnante aventure. La dimension expérimentale du premier album est moins prégnante ici, mais peu importe : au vu de la richesse des compositions et de leur inspiration foisonnante, on a maintenant l'assurance, avec le Penguin Cafe Orchestra, de faire un beau voyage sans fin.

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La disparition brutale et prématurée de Simon Jeffes (fondateur du PCO) quatre ans après la sortie de ce merveilleux "Union Café" fera de ce disque le dernier album du groupe, concluant ainsi une carrière sans fausse note. La magie opère ici comme au premier jour, dans un délicieux élixir où se mêlent gaieté et mélancolie.

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Peut-être l'album le moins inspiré du Penguin Cafe Orchestra (ce qui est à relativiser : le "moins inspiré" chez un tel groupe signifie "chef-d'oeuvre" chez bien d'autres !). C'est pourtant dans ce troisième album qu'on trouve leur morceau le plus connu : "Music For A Found Harmonium". Il y a d'autres grands moments ("Air", "Isle of View", "White Mischief"...), mais le reste, honnêtement, est en deçà de ce que le groupe a produit dans ses deux albums précédents... Pas grave : le PCO se rattrapera de manière grandiose avec l'album suivant (le fabuleux "Signs Of Life").

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Très joli live, qui arrive à point nommé après le grandiose "Signs of Life" (1987). Où l'on constate que la musique du Penguin Cafe Orchestra est bien évidemment taillé pour la scène. C'est solaire, léger, aérien... bref : essentiel !

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Double album impeccable, qui permet de revisiter (dans un ambiance live intimiste de très bon aloi) quelques uns des plus beaux moments de cette merveilleuse aventure que restera à jamais le Penguin Cafe Orchestra.

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4eme album de Jeffes junior, qui a repris courageusement le flambeau derrière son défunt paternel. "Handfuls of Night", avec sa volonté manifeste de s'affranchir un peu de l'imposant (autant qu'impressionnant) héritage qui pèse sur le groupe d'Arthur Jeffes, s'avère être l'album le plus abouti du Penguin Cafe.

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Le fondateur du Penguin Cafe Orchestra seul au piano. Un minimalisme qui sied bien à ces compositions, même si l'ensemble, un peu monotone, est réservé avant aux fans du groupe mythique.

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Arthur Jeffes, très courageusement (d'aucuns diront "inconsciemment"), reprend le flambeau de son défunt père (Simon Jeffes, fondateur du Penguin Cafe Orchestra). Le "nouveau" groupe s'appelle Penguin Cafe (tout court). Sur le papier, c'est très enthousiasmant. Mais l'inévitable comparaison entre les compositions du PCO et celles du PC tournent vite court. La musique qu'on entend ici est très agréable, raffinée, séduisante, oui... mais aussi assez convenue. Il manque indéniablement le grain de folie qui soufflait sur le PCO.