Pépites cinématographiques

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Paris sans Parisiens. Le rêve !

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Non, Gary Cooper n'a pas fait que des westerns !
Il a notamment joué dans ce splendide film onirique et poétique qui, à l'époque, enthousiasma Cocteau ainsi que les surréalistes.

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Une merveille de film SF qui a 20 ans d'avance (voire 30) sur son temps.
Lire aussi SOUVENIRS DE L'EMPIRE DE L'ATOME de Clérisse et Smolderen.

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Film d'espionnage original bourré de charme, avec en plus la jolie Vivien Leigh à ses débuts.

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Pour tout le monde, Gabin-Morgan c'est LE QUAI DES BRUMES et REMORQUES. Mais il y a aussi ce surprenant RECIF DE CORAIL, un brin magique.

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Très drôle.

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Il y a des symptômes qui ne trompent pas : on a des étoiles dans les yeux et la banane du début à la fin en regardant cette merveille de vieux film féérique (en couleur de 1940).
On se demande juste ce que Powell (entre autres) aurait pu nous faire s'il avait eu les moyens d'un Peter Jackson. Techniquement, c'est très en avance sur son temps (première utilisation du fond vert) et le film inspira nombre de générations suivantes (on pense aussi bien au IZNOGOUD de Goscinny et Tabary qu'au ALADDIN de Disney ou à INDIANA JONES). Et Charles Crichton est chef monteur.

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Une référence pour bon nombre de burlesques par la suite.

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Un très beau film dans la neige. Avec l'excellent Conrad Veidt (le Jaffar du VOLEUR DE BAGDAD) dans le rôle du méchant.

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Comme dans LA VALSE DANS L'OMBRE (1940), Mervyn LeRoy propose un mélo sans mièvrerie, sans effets superflus, se payant même le luxe de jouer du suspense de certaines situations. Et pour une fois, ça se termine bien.

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Evidemment méprisé pour sa nationalité en période d'Occupation, ce film est pourtant une merveille d'inventivité et un festival de couleurs dignes de Powell & Pressburger.
La meilleure version cinématographique de cette histoire.

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Lorsqu'une passion dévorante prend le pas sur tout le reste.

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Une comédie policière et bucolique pleine de charme et de poésie, une nouvelle fois magnifiée par un splendide noir et blanc qui trouve son apothéose dans les plans de la cathédrale de Canterbury.

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cf. critique ci-dessus.

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Magnifique et envoûtant noir et blanc.

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(c) 1946

La Belle Epoque dans toute sa splendeur.

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Crawford n'aurait peut-être pas dû avoir l'Oscar pour MILDRED PIERCE, ainsi elle l'aurait eu pour LA POSSÉDÉE dans lequel elle est bien meilleure.
Seul défaut du film : Van Heflin, toujours aussi insipide. On a du mal à considérer ce gars-là comme un tombeur qui fait chavirer toutes les têtes. C'est un peu le Victor Lanoux étasunien. Et Raymond Massey est parfait, comme d'habitude.

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Ça commence comme un film kitsch et ultra-coloré avec des bonnes sœurs et un benêt en short. Puis, sans prévenir, ça bascule dans l'angoisse (cf. l'image d'illustration de cette liste).

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Après HANTISE, le couple Bergman-Boyer se retrouve dans ce film touchant, et bien meilleur.

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Une ambiance à la Tardi. Un vrai-faux film noir. Une photo splendide et un casting parfait.

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Film noir au cadre réaliste filmé en extérieurs à New-York.
Une ambiance unique quasi documentaire.

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Film curieusement jamais cité dans les anthologies du polar et du film noir.

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Esthétiquement splendide.

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Un film très malicieux et jubilatoire.

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On retrouve beaucoup d'éléments de ce film dans les TINTIN lunaires de Hergé.

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Surprenant Fernandel et première apparition de Jeanne Moreau.

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C'est coloré, c'est divertissant, c'est rigolo, c'est sans prétention...
Bref, c'est bien.
Un bon moment de détente pure.

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Vrai faux documentaire sur le Paris du début des années 1950.
Surprenant à voir aujourd'hui.