Périple cinématographique en 2019

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Ben si on met de côté le fait que ce soit un épilogue de la série assez dispensable, c'est un bon petit polar très bien réalisé. Moi, ça me suffit largement! :)

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j'avais plus vu une propogande pro-occidental aussi grillée depuis les machins post 11/09 style "le royaume". Les références à peine voilées à Kadhafi et à Assad, mdr!
Sinon, comme d'hab: actionner sympatoche, quelques scènes ouf mais je rêve toujours que Bay arrive une fois de sa carrière à faire des films de moins de 2h. Ca arrivera jamais je crois! ^^

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22/12

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Quelques grands moments de cinéma noyés dans un polar social un peu trop convenu.
A voir tout de même donc.

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15/12

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Wow, très beau western, Lee Jones et Swank y campant d'assez superbes personnages. Surtout Lee Jones, qui est à la hilarant et super touchant! Juste dommage que les 3 folles, alimentant pourtant une excellente idée de départ, ne soient pas développées plus que ça et plus prétexte au road movie.

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8/12

Un énième "la peine de mort c pas bien" complètement osef...
Sérieux, si on s'imaginait à quoi ressemblerait un film cliché de l'Europe de l'Est, ça serait direct un machin aussi sinistre et austère que ça. Puis esthétiquement, le monochrome jaune et les grands angles à la Jeunet, la partie de l'objectif de la caméra obscurcie...crari ça se la joue arty mais c'est moche de ouf.

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A la Cinematek

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1/12

C'est "banlieusards" de kery james avec (un peu) moins de manichéisme et (beaucoup) plus de cinéma! :D

Ouais bon, la citation finale de Hugo genre "tout est la faute de l'Etat" ou encore les Frères Musulmans présentés comme de grands pacificateurs dans la cité font un peu soupirer quand même. :/
Mais y a une telle maîtrise formelle pour un premier film (cette gestion de la tension purée, jusqu'à cet incroyable climax où on se dit que Ladj Ly pourrait faire de bons films d'action à l'avenir) et de brillantes idées (tout le jeu diégétique avec le drone, c'est mortel)!

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24/11

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17/11

C'est dommage de faire pendant plus de 2h du sous "les affranchis" (purée, les persos secondaires inexistants comme pas permis) pour enfin se décider à en proposer une variation intéressante (comme l'avait brillamment fait "casino") lors de l'excellente dernière partie, où les thématiques de la vieillesse et de la solitude dans ce milieu sont joliment traitées. Voilà le film testamentaire que j'attendais! Et j'ai eu beaucoup de mal avec le lifting numérique assez foireux, j'aurai préféré le même procédé que "gemini man" (une doublure où on y implante une reproduction faciale du De Niro plus jeune).
Malgré tout, les 3h30 filent à toute vitesse, on s'ennuie pas grâce à la gestion du rythme typique de Scorsese et le réel plaisir (limite nostalgique) de voir De Niro, Pesci et Pacino magouiller et se foutre sur la gueule comme il y à 30 ans.

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10/11

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Dans le cinéma "choc" grec actuel, c'est clairement le plus regardable (du peu que j'ai vu).
C'est bien réalisé, y a de l'idée. Mais comme d'hab, ça tourne très vite en rond.

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3/11

C'est la honte de bout en bout ce navet mdr, alors que ça avait tout pour me plaire à la base (film italien fin 60's, comédie d'espionnage, musique à tomber de Morrricone: https://www.youtube.com/watch?v=B7xelyUOID4 etc...)! :o

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27/10

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Alors, la HFR, c'est comment? ça dépend sur quelle type de scènes en fait. Les passages "calmes", c'est supra laid: on se croirait vraiment dans une telenovela (comme "billy lynn", le précédent Ang Lee), avec la photo la plus fade du monde (mais j'imagine que ça doit être compliqué de la travailler un peu avec un tel dispositif). Toute la texture, le grain qui fait la magie du cinéma disparaît totalement ici! Et au vu de l’extrême netteté de l'image, le moindre défaut/effet numérique saute GRAVE aux yeux comme par exemple les décors en fond vert, leur artificialité se ressent de ouf!
Ce sont lors des scènes d'action où on réalise tout l'intérêt d'une telle technologie: en soi, certes, l'action est bien découpée par Ang Lee mais super classique. Par contre, grâce à le HFR, leur aspect immersif et réaliste est décuplé (profondeur de champ et lignes de fuite plus poussés, absence d'effets de saccade/ralentis etc...)! La HFR parvient même à dépoussiérer la 3D en lui faisant gagner de la luminosité par exemple (même si elle est reste un peu gadget, on est pas dans la 3D totalement immersif d'un Avatar).
Au final, le HFR c'est mi figue-mi raisin sur une série B de luxe avec Will Smith, on est vraiment au stade embryonnaire. Mais on attend de le voir exploiter dans des projets plus ambitieux menés par un Cameron par exemple, et bien plus tard surtout, quand il sera amélioré!

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20/10

J'ai appris l'existence de ce film, par hasard, grâce à ce fanclip d'un morceau de M83: https://www.youtube.com/watch?v=kjWj2EJRAaA
Sinon, c'est un polar qui pète la classe, avec ses petites touches de kitsh 80's et d'expérimentation visuelle qui font tout son charme et sa personnalité!
Et puis cette façon de respecter les codes du film noir à la lettre, jusqu'à la caricature (la musique smooth jazz super cliché <3), haha!

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Vu dans le cadre d'une conférence sur la jeunesse belgo-rwandaise, en présence du réal.

Ouais, je surnote de ouf (manque de diversité des protagonistes, traitement assez superficiel du sujet etc...) mais en tant que belge d'origine rwandaise, ça me parle énormément la thématique de la crise identitaire que peuvent traverser les jeunes "afropéens", tiraillés entre leurs origines ethniques et le pays où ils vivent.
En plus, le docu est très drôle, y a des scènes vraiment hilarantes (genre quand Jeffrey tente de promouvoir son système de recyclage à une ghanéenne)! ^^

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Woaw, bienvenue à Clichés-sous-bois quoi!
Ce dégueulis de lieux communs, de victimisation, de manichéisme...j'en pouvais plus! :o
Ajoutez à cela que ça joue super mal bien évidemment, et que c'est mis en scène en mode téléfilm F2.
Le discours moralisateur de KJ en musique, c'est relou de ouf mais au moins, c'est contrebalancé par son talent d'écriture, son flow, ses punchlines etc... Mais pour ce film, comme le gars c'est pas Spike Lee quoi, c'est une catastrophe, on a rien sur quoi se raccrocher pour supporter l'homélie de Père Alix -___- Allez, y a quand même le concours d'éloquence à la fin qui sauve un peu le film du naufrage absolu, on entraperçoit enfin (un tout petit peu) du cinéma...

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13/10

♫♫♫ Pa Ra Na Uéééééééé
Pa Ra Na Ué
Pa Ra Na ♫♫♫

Mdr, à partir de la scène du capoeira, j'ai kéblo sur le refrain de la chanson et je l'ai entonné dans ma tête jusqu'à la fin du film tellement je m'ennuyais.
C'est évidemment beaucoup plus regardable qu'"aquarius" car du néo-western me parle plus qu'un drame sur une bonne dame mais c'est tout, c'est laid et interminable. L'approche série B est ultra maladroite et forcée en plus!
Dans le même délire, "les oiseaux de passage" (que j'aimerai bien revoir d'ailleurs) c'est 2,3 coudées au dessus hein.

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6/10

Miskine les 2/3 de la salle qui s'attendaient à un Deadpool ou autre Suicide Squad alors que c'est en fait un drame psychologique super bresson, doublé d'un bel hommage à "the king of comedy" et "taxi driver".
Phoenix y est évidemment phénoménal et le réalisateur de "very bad trip" réussit haut la main son changement de registre (même si j'aurai aimé que le film soit justement plus drôle que ça, tout le métrage devait être à l'image de la scène à la fois effroyable et hilarante avec le nain ^^) !

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Un moment donné, petit roupillage pour ensuite me réveiller devant un macaque cherchant des embrouilles à Brad dans un vaiseau spatial, j'ai pas compris mdr.
Sinon, les soucis avec papounet, la voix off qui dégueule des réflexions existentielles tout nazes, la toute fin qui ressemble à une pub pour un stage de développement personnel etc...c'est tellement neuneu! -_____-
Comme je le redoutais, du Interstellar pur porc (en moins insupportable quand même).