Personnages secondaires d'animes

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Fuyutsuki. Mais si, vous savez, ce type qui passe toute l'anime debout derrière le commandant Ikari à ne rien faire d'autre que répéter un peu plus fort ce que ce dernier vient de dire. Oui, je parle bien de celui dont, malgré un flashback d'un épisode dédié entièrement à lui, on n'a toujours pas compris l'utilité.

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Rider : ce personnage est fantastique d'inutilité. C'est d'ailleurs le seul servant de ubw à mourir hors-champ après un combat hors-champ. Au final, si on a juste vu cette route, on ne connait ni son nom, ni son noble phantasm, et on ne comprend pas trop non plus pourquoi elle est là.

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L'escouade Livaï : Ayons une pensée émue pour ce groupe de quatre personnes dont les spectateurs ne retiendront jamais le nom (à part Petra), tant ils n'arrivent pas à être charismatiques. Ils essayent tant bien que mal, mais le résultat est là : ils n'y arrivent pas et restent irrémédiablement des personnages secondaires. Et nous savons ce qui arrive aux personnages secondaires dans Shingeki no Kyojin...

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Shouto Todoroki : tout le monde sait bien que l'adolescent moyen aime ce qui est sombre et ténébreux, avec si possible une petite pointe émo. Quoi de plus normal alors que de rajouter un personnage edgy pour appater le shonen. Et n'allez pas me dire que Todoroki n'est pas edgy.

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Sunohara : c'est un comic relief, apparemment. En même temps, vu son rôle dans l'histoire, il peut difficilement être autre chose. Ah si, un obsédé sexuel.

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Suguru Koshigaya : Est-il muet ? Ne serait-il qu'une illusion dont on voit l'image sans entendre la voix ? Y a-t-il un raison à ce mutisme obstiné dans chacune de ses rares scènes ? Toujours est-il qu'il est très drôle.

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Platelet : Créant un sentiment d'émerveillement béat chez certains ou faisant remonter chez d'autres des pulsions peu avouables, disons le tout net, ces plaquettes n'ont laissé personne indifférent. Et puis, des dizaines de milliers de lolis évoluant en toute innocence dans notre corps, voilà qui a du en faire fantasmer certains.

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L'infirmière : elle a des boobs. Comment ? Autre chose pour mieux la visualiser ? Non, désolé, elle n'a pas de personnalité, juste des boobs.

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Honey : Tiens, encore un personnage qui ne se distingue que par une grosse poitrine. Ah non, elle a aussi un joli cul, au temps pour moi.

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Un peu tous les persos : entre "Tuturu", "trap", "gros geek cliché", personnage random numéro 1 et personnage random numéro 2, je crois que je n'ai retenu le nom d'aucun personnage à part Mayushi. En même temps, après 24 épisodes de "Mayushi desu", tu m'étonnes qu'on le retienne.

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Lia de Baumont : théoriquement, elle ne devrait même pas être dans l'histoire, vu que le premier épisode commence avec la découverte de son cadavre. Mais si on peut échanger l'âme du personnage principal avec celui de sa défunte soeur, histoire d'avoir une excuse pour ajouter du gender bender dans l'anime, pourquoi se priver ?

Citons aussi les personnages historiques réels connus, chacun trahissant plus ou moins le japonais derrière qui les connaissait juste vite fait de nom. De la Russie à l'Angleterre, de la reine Marie à Madame de Pompadour, tous ont droit à leur moment gênant. Et puis, avouons-le, voir l'impératrice Catherine de Russie tuée par des ministres zombies manipulés par Robespierre, c'était marrant.

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Deus : Qui aurait cru que Dieu serait un acarien géant ne quittant jamais son siège et choisissant son successeur lors d'un concours complètement rincé à base de journal intime ? En tout cas, c'est ce que suggère Mirai Nikki.

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Yoki : Le comic relief qui accompagne Scar. Mais si, ce personnage si inutile que les producteurs n'ont même pas adapté les premiers chapitres du manga où il apparaît. Faîtes un petit effort, quoi ; il a même eu droit à un développement lors d'un flashback d'au moins, pfouh, trente secondes.

Annotation :

Ishizaki Ryou : certes, il a fait quelques trucs dans le premier épisode, certes, il dégage quelques ballons par-ci par-là, certes, on l'a vu réaliser deux-trois belles actions, mais il se fait quand même voler la vedette par une pléthore de personnages. En même temps, il est désespérément normal, et être normal, ça ne pardonne quand tu joues face à des mecs qui sautent à trois mètres de haut où qui frappent si fort que leur ballon s'encastre dans des murs en béton.

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Kaho Mizuki : Pendant un bon tiers de la série, soit plus d'une vingtaine d'épisodes, chaque épisode comprenait son petit plan de Mizuki dans un décor sombre sur fond de musique inquiétante déclarant, menaçante : "c'est pour bientôt". Je dois avouer que j'ai été déçu quand, finalement, son rôle s'est limité à sonner deux coups cloche et à montrer que Toya est à voile et à vapeur.

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Jasminka Antonenko : Vous ne voyez pas qui c'est ? C'est normal ! Moi aussi, j'ai été obligé de rechercher son nom.
Retenez juste que c'est le quota gros de l'anime.

Annotation :

Sakamoto Tatsuma : En voilà un personnage qu'il est drôle... quand il apparaît. Après avoir eu plus de temps d'écran dans les openings que dans le reste de l'anime, sur 201 épisodes, il est devenu un meme plus qu'un réel personnage de la série.