Plus qu'un film, une expérience.

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Des australopithèques trouvant un monolithe extraterrestre, un vaisseau voyageant dans l'espace et atterrissant dans une base spatiale sur fond de musique classique, et un cosmonaute transcendant la barrière du temps.

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Le film adopte uniquement le point de vue subjectif du personnage principal et propose un gros trip post-mortem.

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Où l'on découvre que le lapin est l'espèce la plus dangereuse sur Terre et où l'on révolutionne le concept de fin pour un film.

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Des réflexions théologiques accompagnés d'images de l'univers et des dinosaures squattant l'écran durant une dizaine de minutes.

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Un héros qui subit le film au lieu d'agir dedans.

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Des sketchs qui ont non seulement un lien, mais aussi une cohérence entre eux.

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Un film de zombies présentant non pas des vivants parmi les morts, mais l'inverse.

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Un papy à poil et une maison dont on ne sait pas si elle symbolise l'esprit du héros, ses rêves, son imagination ou les trois à la fois.

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Une mise en scène magnifique, mais si quelqu'un a deviné de quoi parle l'histoire, je suis preneur.

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Un type se battant contre une société caricaturant 1984, mais tout aussi implacable et invincible.
*Remerciements à BlackLemmy*

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Une femme rencontre sa mauvaise conscience et fait l'amour avec.

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Un western philosophico-theologico-comique.

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Première moitié de film très classique, mais Anno oblige, ça part vite en sucette.

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Un film mêlant les genres de la comédie, sf, thriller, aventure, drame et buddy-movie, tout en étant cohérent dans son propos.

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Aucune phrase intelligible prononcé de tout ce documentaire, et un tour du monde en fast-foward.

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Rien que les 20 premières minutes et les 10 dernières permettent à ce film de rentrer dans cette liste. On a l'impression de regarder un rêve.

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Dans l'espace, personne ne vous verra faire tourner la caméra dans tout les sens.

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Une apologie du ninja nanar avec une scène d'ouverture mémorable, et que dire de ce fabuleux doublage français?

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Oui, la violence peut être esthétique.

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(spoiler?) Une célèbre actrice vend son corps numérique à une compagnie de film, puis va à un congrès sur les technologies révolutionnant le monde. Et... http://www.youtube.com/watch?v=9ETFPdNIeYg

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Inception n'a rien inventé. Au contraire, il propose une version très soft de ce film d'animation où le rêve fusionne avec la réalité pour donner lieu à des courses-poursuites contre soi-même, une parade de jouets omniprésente et une héroïne souffrant d'un trouble de la personnalité.

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Un film dans un rêve qui est lui-même le film d'un cauchemar qui s'avère en fait être un film, à moins que ce ne soit juste un délire onirique. Et le pauvre Chabat qui doit passer le film à trouver le gémissement parfait.

Annotation :

Une rencontre avec Dieu qui est pas tellement comme on le se figure et un séjour dans une baleine qui oscille entre bon gros trip psychédélique et réflexions philosophiques.
*Remerciements à Feedbacker*

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Quant l'absurde à la japonaise rencontre le genre du film d'horreur et le montage psychédélique, ça donne House. Protip : Méfiez-vous du chat et du piano.

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Où Gaspar fait un porno mais de façon esthétique, avec des plans un minimum travaillés et des personnages qui ont soit disant une personnalité. Et puis on va profiter de la 3D pour donner au spectateur une éjaculation en pleine face, car le sperme c'est la vie m'voyez.

Annotation :

Où le protagoniste fait une fixation sur les hélicoptères et où M. Mallick déconstruit totalement le principe de narration.

Annotation :

Une comédie musicale au fort arrière-goût nanar où un numéro musical inclut un biker qui fait de la moto dans un labo.