(re)Joués en 2018 (+ commentaires)

Annotation :

Beaucoup d'autres personnes ont déjà dit ce qu'il fallait sur le jeu, je ne vais donc pas me répéter, mais en gros :
DA d'enfer
OST d'enfer
Difficulté certaine mais pas insurmontable
Niveaux run & guns nuls

J'ajouterai juste ma patte final pour dire que je trouve dommage que les derniers boss jouent quasi tous la carte de la RNG, ce qui rend le jeu beaucoup plus injuste par moment alors que les 3/4 du début étaient parfaits.

Annotation :

Pas vraiment étonné d'avoir aimé ce jeu plus que de raison. Il regroupe pas mal de critères qui font mouche chez moi, à savoir une OST de qualité, une DA psychédélique et une difficulté basée sur les réflexes et le rythme.

Ceci dit au delà de son potentiel aspect plaisir coupable que ce jeu peut avoir chez moi, c'est réellement un excellent jeu. Court, certes, mais suffisamment difficile pour qu'il ne soit pas torché trop rapidement.
La difficulté par ailleurs est bien présente, mais est largement comblée par le système de checkpoint quand même assez gentil par moment, ce qui permet de gérer les phases les plus difficile à l'usure, en apprenant par coeur les patterns.
Le jeu est donc loin d'être infaisable pour quiconque a la patience nécessaire de forcer un peu. Et son boss final en vaut largement la chandelle.

Sincèrement, j'ai vraiment pas grand chose à reprocher à ce jeu. Il remplit parfaitement sa fonction de Die & Retry rythmique en apportant la patte de ses développeurs pour le rendre unique. Ouais en fait c'est ça, la seule chose que j'aurais a reprocher à ce jeu, c'est qu'il m'ai duré à peine 10h. J'en voulais plus !

Annotation :

Scénario fini en un peu plus d'un soixantaine d'heures, forcément quand on supprime toutes les quêtes fedex de la trame principale ça va beaucoup plus vite (et encore il y en a très peu en annexe par rapport à avant) et c'est pas forcément un mal du coup.

Le jeu remplit son rôle de premier MH sur console de salon depuis la Wii (les jeux WiiU et Switch n'étant que des portages 3DS), à savoir faire quelque chose de très beau, très grand, dans les standards d'open world actuel. C'est assez satisfaisant à ce niveau là d'autant plus que le jeu se voulant très spectaculaire c'était dommage de s'être limité à la 3DS jusqu'ici.
Le gameplay a aussi bien évolué, en fait il s'est plus fluidifié qu'autre chose. Le perso reste lourd, mais les animations sont beaucoup moins restrictives qu'avant (on peut désormais bouger en buvant une potion, maintenir rond pour droper des ressources jusqu'à épuisement des stocks, changer de trajectoire en saut et en plein combo,...). Certaines armes profitent également d'un beau lifting, l'arc par exemple est désormais une vraie arme TPS pour les joueurs débutants, ce qui la rajoute à la petite liste d'armes beginners avec le katana ou encore la volto hache, parfait pour les joueurs qui n'auraient du coup jamais eu l'occasion de tester la série puisqu'elle avait délaissée Sony au profit de Nintendo depuis le 3 (du moins en occident).

Qui dit nouvelle console dit aussi repartir sur de nouvelles bases, c'est ce que propose le jeu avec son "nouveau monde". Au final nous avons droit à une 30aine de grands monstres pour tout juste 9 anciens. Tout le reste du casting est neuf. Ce n'est pas un mal, mais ça reste très peu quand on considère qu'il faut y inclure les swap color et les cousins (Radobaan et Uragaan par exemple), qui pourrait avoir tendance à un peu gacher le end game d'ailleurs qui propose de la vraie nouveauté intéressante uniquement sur la toute fin. Bref on est très loin de la centaine de grands monstres de XX, mais j'imagine que le tout nouveau moteur demande du temps pour modéliser chaque bestiole, et que donc les DLCs gratuits annoncés proposeront beaucoup d'anciens monstres (je veux y croire svp).

Bref au final je suis plutôt satisfait bien qu'un peu sur ma faim puisque le post game ne consiste qu'à du farm de mobs déjà vus en version "Alpha", le nouvel Apex de ce MHW. Mais ça a toujours été le cas pour les versions vanilla des MH au final. Nous n'avons plus qu'à attendre un MHWG ou chose similaire.

Annotation :

J'ai peut être fait l'erreur de lancer ce jeu ultra confiant à la vue de toutes les éloges qui lui sont fait. Grossière erreur.

Malgré des moments de gloires que je ne peux pas nier, certains colosses filent des frissons à partir du moment où on grimpe dessus, les musiques entraînent très bien l'action, et globalement c'est très facile de comprendre le message que le jeu essaye de nous faire passer, notamment avec le gigantisme des lieux.
Cependant, le contrôle du cheval, les bugs en tout genre qui ont accompagnés mon aventure, la frustration énorme que j'ai ressenti sur pas mal de géants... Tout ceci a participé à détruire mon expérience de jeu, et les bons moments ne parvenaient pas à apaiser la colère que je pouvais ressentir . Certains diront que si le gameplay et le cheval sont si approximatif c'est pour faire comprendre la souffrance du personnage qui effectue une quête qui dépasse ses capacités, mais non, je pense vraiment que c'est camoufler de vrais problèmes de développement.

Si on rentre suffisamment dans l'univers c'est surement possible de passer outre tout ça, mais comme ça m'a impacté dès le début du jeu, je n'ai pas réussi à faire abstraction, et j'ai passé 5 heures très désagréables.
Le jeu n'est pas mauvais, si il est autant acclamé c'est bien pour une raison, mais malheureusement ce n'est pas pour moi.

Annotation :

Pour l'instant mis en pause plus par lassitude qu'autre chose, mais j'en ai largement compris les grandes lignes.

Ce genre de jeu m'attire énormément bizarrement, alors que c'est très rare que j'en vienne à bout en général. Xenoblade 2 ne va sûrement pas déroger à la règle. Pourtant malgré ses nombreux défauts, il possède des qualités qui le rende agréable voir très sympa à jouer.

Evidemment, le jeu est déjà pas très beau dans le sens large du thème, si les environnements sont sublime, le chara design lui est franchement douteux et incohérent (pas étonnant quand on voit le nombre de designer sur le jeu), les textures ultra lisses qui ont une gen de retard, même sur Wii U ça aurait pas été considéré comme joli.
L'histoire est catastrophique, ridicule, nanardesque même, impossible de prendre quoi que ce soit au sérieux dans cette avalanche de japanimation de bas étage. Mais je pense que le jeu est au courant de ça, et en joue bien (trop ?) souvent pour cacher le fait qu'il n'ai pas grand chose à dire. Ou du moins pas autant de chose à dire que ses ambitions de durée de vie. C'est finalement l'équivalent de ces shonen à rallonge rempli d'épisodes fillers pour combler le vide. Ici si un chapitre voudrait aller à l'essentiel, il durerait 5h de moins qu'actuellement.

En dehors de ça, les combats sont assez dur à appréhender, il y a un milliard de données à prendre en compte, mais à partir du moment ou on a déjà une petite moitié en tête, ça devient étonnamment très agréable et on se laisse prendre au jeu. Bien que les combats ne soient pas très adaptés aux petits mobs ou aux assauts contre un trop grand nombre d'entre eux, les combats contre les monstres alpha ou les boss sont jouissifs et on se prend rapidement au jeu.

Du coup ce jeu est constamment en train de faire du yoyo entre le très bon (les phases d'explo) et le chiant (les moments scénario). Il faut être près à littéralement perdre du temps pour pouvoir apprécier ce jeu, que je ne regrette pas du tout au final, mais il aurait mérité de se prendre un peu plus au sérieux quand même, dommage.

Ah et le système d'obtention des lames c'est une vaste blague, plus jamais ça Monolith.

Annotation :

J'étais particulièrement fan de Dissidia sur PSP, mais j'avoue que j'étais extrêmement mauvais, du coup, scénario jamais terminé, et je me contentais de spam le mode arcade en normal.

Du coup, j'étais content de pouvoir espérer prendre ma revanche sur ce jeu. Je dois avouer que j'étais peut être un peu trop optimiste. Par contre ça m'a également servi de thérapie puisque je n'étais peut être pas si nul que ça, le jeu était juste extrêmement violent.

La raison est simple, les IA progresse volontairement plus vite que le joueur, du coup on se fait rapidement défoncer si on force pas les bas rangs en mode arcade, ou si on essaye d'avancer un peu trop vite dans le scénario. Il n'y a pas de doute la dessus c'est totalement volontaire des développeurs pour augmenter artificiellement la durée de vie qui m'a l'air bien faible en dehors du online.
Pour ça, quoi de mieux que de donner un système de niveaux aux persos qui leur permet d'augmenter leurs dégâts et leurs PV. C'est totalement une hérésie de faire ça quand on parle d'un jeu de combat, qui devrait récompenser le skill. Hors ce n'est pas le cas, du moins on ne peut pas parler de skill tant qu'on a pas farm son perso niveau 10 et le rang des IA qui nous accompagnent puisque si ce n'est pas nous qui sommes two shot, ce sont bien elle qui n'essayent même pas de se défendre, et la mort des IA, hors combat de boss, nous décompte un point de vie évidemment.

Alors si le jeu avait été offline je ne me serais pas plaint, c'est un FF, donc il y a des mécaniques RPG, OK. Sauf que essayer d'aller en online sans avoir monté son perso est assez expéditif, même en bas rang (de toute façon il y a pas assez de gens en online pour penser que le matchmaking sera équilibré).

Le jeu est pas mauvais, il est même sympa quand on commence comprendre tout ce foutoir. Et le farming intensif ne m'a même pas spécialement dérangé outre mesure (de toute façon un jeu de combat c'est un jeu ou on enchaine... les combats, alors arcade ou scénario...). Cependant je doute que ce soit la meilleure manière de l'avoir conçu. D'autant plus que d'autres petits défauts viennent se greffer à l'équilibrage, je pense aux invocations beaucoup trop rapidement sorties, et beaucoup trop cheatées qui expédient un combat dès que la première équipe qui l'a la sort.

Mais bon, c'est rigolo, pas du tout stratégique même si ça le prétend, du coup ça me parait posséder pas mal de qualités pour être un plutôt bon brawler.

Annotation :

J'avoue j'ai pris ce jeu parce qu'une ou deux chansons m'avaient tapés dans l'oeil dans la démo. Mais en fait c'est plutôt un regret intense.

Loin de moi de juger mais j'ai du mal à comprendre la fanbase de Rayark Games, tous leurs jeux se ressemblent (de Cytus Lambda à Voez), et entre temps aucune amélioration n'a été fait sur la précision des touches et la sensation de jeu. Je ne parlerai pas de la playlist qui est totalement subjective. Pour moi c'est beaucoup trop de meh pour peu de yay mais je ne suis pas forcément client de la JPOP donc ça n'aide pas.

La prochaine fois Kahn, retiens tes pulsions quand tu as un besoin urgent de jeu de rythme. Et Nintendo, sortez en vite un sur Switch que je puisse avoir de quoi les calmer quand elles arrivent si j'ai que cette console sous la main.

Annotation :

J'ai acheté ce jeu à l'époque uniquement pour l'amiibo (pourquoi j'achetais des amiibos déjà ?)

La facilité et la durée de vie du jeu est proportionnel à son prix, du coup pas besoin d'être étonné ni s'enrager.
Cela n'empêche d'ailleurs pas le jeu d'être mignon comme tout et plutôt inventif en level design. Pour des enfants ça passe crème.

Annotation :

Avoir fini ce jeu me rend triste, parce que c'est beaucoup trop tard pour essayer d'envoyer des gens sur celui ci, 13 ans après sa sortie. Pourtant il a vraiment tout pour lui, et même malgré la tentative de la version PS3 pour casser le jeu avec ses bugs en tout genre et ses cinématiques qui hurlent de douleur, c'est impossible de rester frustré plus de 5 minutes.

Evidemment c'est la suite directe de DDS1, évidemment il faut d'abord le faire puisqu'on est littéralement jetés dans la fosse aux lions dans ce deuxième épisode. Une intro d'à peine 15 minutes suffira à se remettre dans le bain.
Si DDS1 laissait bieeeen sur sa faim au niveau de l'intrigue, finissant sur un cliffhanger complètement abusé. Le 2 implore le pardon tout de suite en expliquant les grandes lignes de ce qu'il s'est passé et ce qu'on attend de nous dans ce jeu.

On retrouve rapidement le même gameplay, des musiques beaucoup plus punchy, les rencontres aléatoires parfois trop présentes parfois quasi inexistantes sans explication logique. On est pas vraiment dépaysés dans ce jeu après le 1. Le système de Mantra qui est grosso modo un sphérier à sorts a été peu modifié en bien, il est moins tableau-excellesque que le 1, un peu plus dur à appréhender du coup mais bien plus agréable à terme.
La difficulté est un poil plus présente que dans le 1 qui était relativement facile tout le long, même si le grind permet de passer sur à peu près tout sans soucis. D'autant plus que l'xp généreuse évite la frustration de la perte de temps.

L'histoire du coup est très bonne. Elle met les deux pieds dans la case méta mais ça s'insère très bien avec le plot initial de fin du monde donc pourquoi pas. Les persos sont toujours aussi attachants. Mention spéciale à Argilla toujours, Gale, le petit nouveau Roland et même Cielo réussit à attraper les spotlights cette fois.

Bref. Excellent jeu, dommage qu'Atlus s'en fiche un peu de ses spins off PS2 depuis que Persona a tout emporté dans son passage.

Annotation :

Toujours le meilleur jeu multi qui sait allier skill et fun. 400h passés dessus et j'y retourne encore régulièrement.
(voir mon avis sur la liste 2017)

Annotation :

Comme pour P4D, on parle de Persona, on parle de jeu de rythme, le plan de sortie de P3D et P5D a beau être des plus honteux et milkesque qu'Atlus ai jamais fait, je ne pouvais pas passer à côté. Je n'ai même pas pensé à résister une seconde.

P3D donc, je ne suis pas très proche de P3, je ne l'ai jamais fini, je n'aime pas vraiment son cast de ce que j'en ai vu... En revanche son OST est pour moi dans le panthéon des OST, son côté un peu street, hip hop, rap, pop assez mélancolique m'a vendu et me vend encore du rêve. Donc forcément je n'allais pas passer à côté d'un jeu qui met celle ci en avant.

Le jeu qui suit donc la logique de P4D a réussi a comprendre et corriger les défauts de ce dernier, sorti 3 ans plus tôt. Exit donc le mode histoire complètement osef, exit le shop, bienvenue aux Commus. Une sorte de SLink ultra simplifié avec des petits défis à remplir en jouant les chansons pour débloquer la suite des événements avec chaque persos. C'est simple, c'est rapide (entre 5 et 10h grand maximum), cela permet de débloquer les tenues et accessoires. Les musiques, elles, se débloquent instantanément en jouant au jeu, le mode de difficulté extrême en finissant chaque chanson, c'est simple, c'est efficace. Pas de chichi.

Bon les chansons en elles même, je suis vraiment très agréablement surpris de P3D. Dans P4D les remixs étaient très inégaux, ici je dirais que les 3/4 des musiques sont bonnes, voir excellentes, et rien de mieux que de s'acharner à perfect des chansons si on ne s'en lasse jamais (je pense à Want to be Close (ATOLS), Deep Mentality (Lotus Juice), When the Moon's Reaching out Stars (Naganuma),...). Il n'y a quasi rien à jeter, j'en attendais pas autant.

Bon ceci dit le bémol c'est la difficulté assez limité du jeu, il reste plus dur que P4D qui était beaucoup trop simple, mais tout de même ils auraient pu faire un petit effort, surtout en comptant la playlist relativement petite (25 thèmes en tout dont des cinématiques un peu useless). La durée de vie du jeu en pâtit malheureusement.

Ceci dit ça reste un très bon jeu, meilleur que son prédécesseur, les modèles 3D sont ultra smooth, les mocaps sont parfaites, j'attendais rien de mieux donc je suis ravi.

Annotation :

Pas besoin de C/C ce que j'ai écrit sur P3D donc je vais me contenter de parler de ce qui fait la différence entre les deux jeux : les musiques.

Alors pourquoi 6 à P5D alors que j'ai mis 8 à P3D (et 7 à P4D). Eh bien la réponse est simple, la playlist est abominablement répétitive et inégale.
Déjà, très peu de thèmes sont remixés dans P5D, pourquoi c'est gênant ? Eh bien P5 est un jeu à l'OST très blues, très jazzy. Elle est très bonne, j'ai même tendance à l'écouter en boucle, sauf que dans un jeu de rythme ça passe très mal (surtout vu les thèmes qu'ils ont sortis) car c'est lent, c'est mou.
Le pompon c'est que sur les remixs présents, la plupart sont en double voir triple (Rivers in the Desert est présent 3 fois, Wake up Get Up 2 fois, Will Power 2 fois...), ce qui ne fait qu'amplifier la sensation de répétitivité du jeu. On s'ennuie vite et on a pas envie de refaire certaines musiques vu que tel remix est meilleur. Sur Une tracklist de 25 thèmes encore une fois c'est assez gênant.

Sinon petit point bonus pas forcément important mais quand même : Les danses des persos de P5D sont quasi toutes super ridicules. Ils ont voulus reproduire la personnalité de chaque perso dans sa danse mais du coup ça donne Yusuke qui fait des jojo poses pendant 4 minutes, Makoto qui fait de la air bike, et Futaba qui fait... Du Futaba.
A côté les danses super smooth des persos de P3 sont d'autant plus appréciés dans le décor.

Annotation :

20€ pour une extension solo à un jeu qui propose des majs multi depuis déjà un an sans cesse, et qui continuera encore au moins jusqu'à la fin de l'année d'après les devs, je pense pas que ce soit cher payé.

D'autant plus que la campagne est vraiment très originale pour le coup, le solo du jeu de base était bien mais faisait un peu redite par rapport au premier Splatoon. Ici les niveaux sont présentés comme des défis indépendants où un objectif doit être rempli avec certaines conditions, et certaines armes au choix. Certains sont plutôt corsés, et globalement il s'agit d'un excellent tuto pour toutes les armes du jeu puisque les situations sont assez intéressantes.

Le seul regret que j'aurais est sa durée de vie assez courte (5h pour tout finir environ y compris le 100%) et l'absence de nouveau boss à part pour le boss secret (bien dur comme il faut d'ailleurs).
Ceci dit l'ambiance est excellente, l'OST toujours parfaite et il suffit d'être attaché à cet univers pour tout de suite accrocher.

Annotation :

Je reprends ma tentative de me taper tous les KH d'ici la sortie du 3 que j'avais commencé l'an dernier avec le 1, CoM et 358.
Alors autant le 1 m'avait totalement emmerdé sur tous les points CoM avait l'avantage d'avoir une intrigue mieux construite, et 358 bien qu'un one shot assez écarté des autres est celui que j'ai préféré des 3. Mais qu'en est il de KH2, finalement le réel successeur.

Dès le départ je sentais le sapin arriver et je retrouvais ce gameplay faussement fluide, plus rigide qu'autre chose qui m'avait fait ragequit le 1 il y a des années. Il s'est cependant amélioré par la suite en débloquant de nouveaux mouvements, le jeu est très répétitif dans ses combats mais ils ne sont pas mauvais en soit surtout les combats contre les persos humains qui demandent de connaitre les systèmes de contre et autres, qui n'ont aucune utilité contre le reste du bestiaire ou masher le bouton d'attaque entrecoupé de quelques QTE déguisés suffit a se défaire de tout le monde.
Les mondes Disney sont globalement assez ennuyeux, encore une fois j'ai du mal avec l'idée de résumer hyper grossièrement l'histoire du Disney concerné dans chaque monde, c'est mal réalisé et bien trop bref pour y ressentir un quelconque intérêt. Du coup on avance sans plus de volonté que ça jusqu'à la deuxième moitié du jeu qui se réveille enfin.

Et la exit Disney, le lore KH commence enfin à nous baffer à chaque cinématique. Chacun décidera de la qualité des dites baffes mais pour KH2 cela reste relativement cohérent j'imagine puisqu'à l'époque Nomura n'avait pas encore la prétention de perdre la série dans tous ses spins off. L'histoire a même l'audace de se terminer sur une fin semi ouverte qui aurait très bien pu permettre à nos développeurs de s'arrêter ici. On connait tous la suite malheureusement.

L'histoire donc, n'est pas mauvaise, elle demande une certaine concentration par contre puisqu'il y a finalement très peu de cut scenes importante pour énormément d'informations en quelques minutes égarées parmi des heures de Disney/FF insipide. C'est d'ailleurs le premier reproche que je fais à la série et que je lui ferai toujours je pense : pourquoi ne pas avoir développé une IP complètement neuve pour tous les délires de Nomura, Disney ne s'y prête absolument pas (le seul monde concerné par le plot principal est celui de Tron, et à part Mickey personne n'a l'air de s'inquiéter de quoi que ce soit dans l'univers Disney). FF passe encore mais sert surtout de fanservice gratuit.

Annotation :

Ce serait mentir de dire que je ne m'amuse pas sur Mario Tennis Aces, mais finalement à l'image du contenu du jeu, j'ai pas grand chose à en dire. Le solo se boucle en 2h montre en main, solo qui est d'ailleurs le seul contenu offline avec un mode tournoi inutile puisque l'IA est d'une nullité atroce sauf pour le dernier match du dernier tournoi.

Tout le reste se passe en online. Alors oui c'est ce qu'on attends aujourd'hui d'un jeu compétitif, mais justement je suis bien placé pour parler de déception puisqu'après 500h sur Splatoon je n'ai jamais ressenti un tel déséquilibre et une telle injustice que ce que j'ai pu ressentir sur Mario Tennis. 2/3 persos sont actuellement surpuissants et rien n'est toujours corrigé donc on doit supporter ça, ou dans le pire des cas les jouer si on veut rééquilibrer la balance, ce qui n'a pas vraiment de sens ni d'intérêt.
Du coup voila, le jeu est fun, entre amis c'est très très cool, par contre dès qu'on joue seul en offline ou online ça casse tout de suite le truc, et finalement on range le jeu bien trop rapidement.

Annotation :

Autant j'ai eu assez peur pour ma patience quand j'ai terminé la campagne de Ventus, qui était assez frustrante tant le perso fait tout et rien à la fois dans son entre deux magie/corps à corps (en plus d'être un abruti fini), autant celles de Terra et Aqua m'ont rassurées et réconciliés avec le jeu.

En terme de gameplay, il n'y a pas à dire, le jeu est beaucoup plus flexible et varié que KH2, c'est triste à dire qu'un spin off soit meilleur sur ce point que le dernier opus mainline mais c'est clairement le cas. On peut reprocher par contre le trop peu de besoin d'optimisation vu que chaque campagne est courte, un trop gros grinding rend le jeu d'une facilité déconcertante (sauf en difficulté extrême j'imagine mais l'osef est total). Les esquives sont fluide, le bouclier est "ok", par contre il y a toujours cette foutue impossibilité de casser les combos ennemis même si il y a clairement une latence entre deux coup, ce qui rend certains combats pas forcément dur d'une frustration immense car le moindre coup pris en début de combo peut finir par nous tuer sans rien qu'on puisse faire.

En terme scénario le jeu reste assez sensé même si je pense que c'est pas une idée de génie de mettre des événements aussi importants en secret ending. Surtout quand la série est connue pour son lore tordu.

Enfin, le jeu est bon, il est même étonnamment plaisant malgré ses 3 campagnes répétitives, ça me réconcilierait presque avec le gameplay KH. Par contre ils auraient pu faire un petit effort en terme d'OST. On commence à les connaitre un peu trop par coeur (même si le thème de Vanitas est plutôt excellent)

Annotation :

ZZzzzzzzzzZZZzz (juste vu les cinématiques de la version 2.5)

Annotation :

Jeux effectués dans leur ordre de sortie, Je retiens KH2 et BBS qui globalement sont bons même si le 2 n'est pas assez consistant et a trop de creux scénaristiques.

Tout le reste est plus ou moins à jeter, KH1 et Re:coded en particulier. CoM et 358/2 apportent suffisamment de lore pour ne pas être totalement inutiles.

Voir mes commentaires sur cette liste et "joués en 2017" pour plus de détails

Annotation :

Le design du jeu et le fameux DARK SOULS LIKE que tout le monde hurlait quand on le mentionnait m'intriguait un peu. Par contre j'avais un peu peur de son aspect Metroidvania qui est un genre que je peux très vite détester si c'est pas assez intuitif/agréable à traverser.

Je me suis quand même lancé, et je ne l'ai pas du tout regretté. Le jeu est beau, long, satisfaisant. La difficulté n'est pas aussi énorme que les joueurs voudraient bien nous faire croire. En dehors des annexes c'est largement faisable bien sur si on se donne la peine de fouiller les maps.

Le fouillage des maps d'ailleurs, le fer de lance de ce genre de jeu qui impose malgré lui des allers retours réguliers. Ce qui peut vite devenir imbuvable si mal géré. Ici ça va, du moins ça m'a convenu. La map n'est pas non plus immense donc on ne se perds pas trop, les voyages en coléoptères raccourcissent bien les déplacements et ont intelligemment placés pour toujours en avoir un à portée.

L'ost, la DA, rien à dire si ce n'est que la musique est un peu en retrait malgré sa qualité. Mais c'est un petit peu le jeu qui veut ça aussi, le sentiment de solitude qu'il cherche à nous faire ressentir.

Bref très bon jeu. Je pourrais trouver quelques défauts mais j'ai un peu la flemme. En tout cas je l'ai gobé et n'ai pas senti passé les 30h de jeu, j'aurais presque même préféré qu'il dure un peu plus longtemps puisque je me demande à quoi je vais jouer jusqu'à septembre maintenant.

Annotation :

Wario Ware est une série à ranger dans la catégorie plaisir coupable, du coup même si c'est dur de se l'avouer, l'annonce d'une compilation sur la 3DS cadavérique a attisé ma curiosité et me voila donc à dépenser 40 balles pour un jeu avec une durée de vie de techniquement 5h.

Je vois pas trop comment débattre sur ce jeu vu qu'il regroupe la quasi totalité de ce qui a été fait dans les Wario Ware depuis la GBA donc on va aller droit au but :

Les + :
-Beaucoup, beaucoup de minis jeux
-Beaucoup de mode de jeux, on y retrouve même le seul mode intéressant de la wiiU qui fut l'espèce de jeu discrétion avec la mère de 9-volt
-Une galerie avec l'ost des anciens jeux, d'autres mini jeux,...

Les - :
- Le doublage Français qui trigger assez violemment, fortement conseillé de passer la console en Anglais
- Le micro de la 3DS est catastrophique et donc par extension les mini jeux qui demandent de souffler sont injouable. A défaut de souffler il faut hurler sur la console pour qu'elle détecte un son (bon il y en a 5 a tout casser et ils sont classés dans un mode bien particulier)
- Certains mini jeux sont devenus très "politiquement correct" étrangement alors que globalement c'est toujours très axé pipi caca et humour débile, je n'ai pas trop compris l'intérêt du coup

Il manquera finalement juste un mode multi online pour donner de la plus value au jeu, et on est bon. Oh, et aussi un Wario Ware sur Switch parce que plus personne joue à la 3DS.

Annotation :

C'est tellement Kirby que les 4h de scénario deviennent finalement assez longue quand on a joué à pas mal d'autres épisodes. D'autant plus qu'il y a au final pas tant de transformations que ça.

Le mode permettant de refaire le jeu avec pas mal de vieux personnages est cependant un bon point pour la replay value vu que leur gameplay est assez sympa.

Bon, ça reste un Kirby finalement. Cette fameuse série qui n'évolue jamais d'un pouce mais qu'on aime quand même retoucher toutes les 3 4 sorties parce que ça reste mignon tout plein.

Annotation :

boarf/20
Aucun réel intérêt, le jeu se joue tout seul, littéralement, il n'y a rien besoin de toucher.
Si on passe pas un niveau, il faut relancer les anciens en boucle jusqu'à ce que ça passe.

Annotation :

*joué sur PS4*

El famoso jeu qui divise les fans pour ses choix scénaristiques et son importance malgré sa présence sur une console pas trop fait pour ce genre de gameplay. Je redoutais un peu l'expérience mais finalement le jeu n'est pas plus "divisant" que les autres épisodes. A l'inverse je dirais même que c'est l'épisode qui maitrise le mieux le gameplay qui pataugeait jusqu'ici, et qui apporte une souplesse bienvenue à Sora qui avait jusqu'ici un manche de balai coincé à l'arrière.

Cependant qui dit 3DS, dit constater dubitativement la tentative de Nintendogs/Pokémoniser les habituels Donald et Dingo en les remplaçant par des bestioles hideuses à crafter puis à caresser dans un menu dont la musique nous donnera de l'urticaire. Menu qui a bien trop d'importance pour les stats de nos héros pour être laissé de côté malheureusement. Il est aussi bien archaïque d'ailleurs et on ne maîtrisera que très tardivement le menu fusion qui est pourtant assez important si on veut finir le jeu sans casser sa console.
En dehors de ça le gameplay est basé sur celui de BBS (le meilleur donc, ouf), avec en bonus un mode fluidité qui était sans doute la pour contrer les potentiels problèmes de caméra de la 3DS, mais qui marche plutôt bien et permet de jouer à la grimpette ultra facilement. Ouais. DDD est le premier KH qui ne m'aura pas fait hurler sur ce point, bravo.

Alors par contre effectivement en terme de scénario c'est inutilement compliqué pour une explication qui aurait pu tenir sur 5 lignes. Au moins ça a le mérite de poser les bases de KH3 et on connait déjà le contenu de la futur quête de Sora.
Notons quand même que le jeu dure une vingtaine d'heure, mais que sa phase "finale" aka boss et cut scenes dureront pas moins de 4/5h en tout. C'est un peu le problème de ne pas avoir fait deux campagnes mais une seule avec Riku/Sora qui switch via un système de drop assez douteux.

les +
- Les 5 mondes disney + 2 mondes SE sont en majorité plaisant, voir très bons.
- Le gameplay qui sait enfin ce qu'il fait
- Le mode fluidité qui accélère les combats et évite les soucis de caméra (mais en créer d'autres)
- La campagne de Riku est assez cool
-L'OST

Les - :
- Le système d'esprit à collectionner un peu nul mais du coup obligatoire
- La partie "boss final" qui est d'une lourdeur
- Sora est un abruti fini dans ce jeu
- Un scénario qui retourne la tête pour pas grand chose
- Le système de drop qui switch entre chaque perso beaucoup trop frustrant

Annotation :

C'est joli tout plein, l'histoire un peu anecdotique malgré tout se passe pendant la fin de KH1, puis le post credit juste après DDD, donc juste avant le début de KH3 j'imagine.

Finissable en 2h, c'est finalement juste un aperçu de ce à quoi ressemblera KH3.

Annotation :

Les deux jeux jouables sont au dessus.

Pour le petit OAV d'Union X (le jeu mobile), c'est étonnamment plutôt sympa et fait plutôt bien le lien avec Xehanort si on ouvre les yeux. C'est juste dommage mais pas choquant venant de cette série qu'un free to play mobile soit canon.

Annotation :

Bon je cacherai pas que j'ai passé un plutôt bon moment sur ce jeu, même si je n'ai pas pu en venir à bout par lassitude de dernière minute (techniquement j'ai fini le jeu mais il me reste tout le post game qui conclut l'histoire).

Le jeu se laisse suivre, il est plutôt joli et représente bien les JRPGs de la fin 90/ début 2000 avec un enrobage PS4. Seulement, tous les défauts qu'on pourrait attribuer aux jeux de cette ère se retrouve aussi ici : Répétitivité, histoire d'élu qui n'existe que pour sauver le monde vue et revue...
A ça s'ajoute une OST catastrophique. Et je ne pense pas que le fait que ce soit en midi en soit la cause. Sugyiama est juste trop vieux, trop fermé pour faire des musiques de qualités aujourd'hui. Ses compos originales (oui parce que il y a aussi beaucoup d'anciens thèmes) sont finalement à l'image de ce qu'est l'homme aujourd'hui. Et c'est dommage qu'il soit autant associé à cette série, car ça la rabaisse clairement. Notamment quand on voit qu'elle fait de gros efforts au niveau du casting pour présenter un bon mixage de persos très différents et c'est finalement une bonne surprise de constater que même des persos qu'on pourrait voir très clichés de part leur physique sont bien développés avec le temps (je pense à Sylvando et Veronica notamment)

DQ XI est toujours une série coincée dans un espace temps qui n'évolue pas, mais malgré tout on a plaisir à y retourner le temps d'un jeu de temps en temps. Même si des choses feront toujours pester, les murs invisibles, l'impossibilité de sauter au dessus de petits obstacles si le jeu a décidé que ce ne serait pas possible MEME si nos pieds le dépasse très clairement, etc, etc.

Annotation :

Ca ne sert à rien de persévérer, je n'accroche pas, c'est comme ça.

Après un 5e épisode assez controversé, Project Soul a décidé de reboot la série pour ramener les anciens persos et ramener ainsi l'histoire la ou elle était en 2000.
C'est une bonne idée sur le papier, j'avais bien aimé Soulca V parce qu'il était ultra carré dans ses mécaniques et proposait à l'époque un online pas mal optimisé à côté de ses concurrents, mais effectivement le changement total de casting et les modes solo absents m'ont un peu irrités vu que la série est assez connue pour son solo monstrueux.

Bon, ici, certes il y a deux modes histoires comme dans SC3, un mode story basique se basant sur le vécu de chaque personnage, et un mode conquête assez ressemblant à celui existant à l'époque, même si très léger (pas de mode TRPG light, ça ressemble ici plus à ce que faisait SC 2 dans son mode chronique mais avec le système d'avatar du 3). Alors je n'ai rien contre ce mode qui même si je n'ai pas été au bout pour l'instant me parait correct, par contre le mode story des persos les ridiculise d'une force, c'est carrément décevant. Mais pas autant que ce qui suit.

Le développement du jeu a clairement été entamé histoire de contenter les fans qui attendaient désespérément une suite. Ce jeu n'a pas d'âme, pas de budget non plus d'ailleurs. J'ai clairement ressenti un osef total de la série de la part de Bamco en jouant à Soulca VI, le chara design fait de son mieux mais tout ce qui concerne le reste est à la ramasse techniquement, et on parle de Soulcalibur qui a toujours été une série démo technique. Ils auraient finalement mieux fait d'updater le moteur de SCV plutôt que de passer à l'UE4, mais bon c'est le standard des jeux de combats aujourd'hui. Pourtant Tekken 7 s'en sort pas trop mal avec.
Le reste des modes solos sont absent, pas de survie, pas de time trial, rien à part un mode arcade et entrainement. Si on veut du challenge c'est en online que ça se passe (que je n'ai pas testé vu que je n'ai pas pris de PS+) qui d'après les retours n'est pas trop mal.

La grosse nouveauté concernant l'espèce de technique qui déclenche un shifumi, je n'apprécie pas tellement, d'après les développeurs elle présente un espèce de jeu de ruse en compétition, mais le nombre de combinaisons est ridiculement énorme, dont certaines sont l'équivalent du fameux "puit" qui casse tout équilibrage. A mon avis ça empêchera le jeu de briller en compétition, déjà que le V s'est très vite éteint...

Annotation :

Quand j'ai lancé ce jeu je voulais juste me promener, je m'attendais pas à ce qu'il m'impose autant de contraintes artificielles. Du coup j'ai un peu la flemme pour l'instant, à voir plus tard.

Annotation :

Ce jeu aurait pu être un bon hommage aux premières générations avec toute la dose de nostalgie qu'elle mérite, sauf que c'est l'ambition de Game Freaks depuis XY de nous servir de la purée nostalgique à chaque épisode sous couvert d'hommage en implémentant une copie conforme de la forêt de Jade à l'un, les starters originaux à l'autre etc. Du coup au final ça ne fonctionne, pas et ça donne un épisode comme les autres.

Techniquement, le jeu peut passer pour un jeu Smartphone récent, tant il est lissé, aseptisé. On se moque des rip-offs de Pokémon sur mobile mais finalement l'original en fait presque aussi peu que les copies. Pire encore le jeu se permet de ramer quand il y a trop de monstres à l'écran, ou pour une raison que j'ignore dans Azuria qui n'est pourtant pas une ville plus chargée que les autres. Une honte quand on sait ce qui est capable de sortir sur Switch sans sourciller. GF à force de couver ses équipes et à les limiter au développement de jeux portables, n'a pas suivi la cadence en terme d'évolution technique, et si ça se voyait déjà sur 3DS mais était plus ou moins excusable aux vues des performances plutôt douteuses de la console, ici c'est impardonnable.

En dehors de ça le jeu reste un remake 1G, avec sa région plutôt agréable à parcourir, qui propose quand même de casser la linéarité des derniers opus avec son ouverture à 3 voies à partir de Céladopole comme à l'époque. Le nouveau système de capture pêche quand même par le manque de précision du joy con qui finit par rendre le truc très frustrant, mais le fait de voir les pokémon sur le terrain est un pas en avant... un peu tardif mais présent.
Le challenge est un poil présent aussi, malgré le boost aux hormones des deux starters le jeu augmente le niveau des adversaire de manière un peu plus accélérée que d'habitude ce qui compense la chose, même si avec une bonne équipe un minimum diversifiée le game over est absent.

La 8G a donc beaucoup de poids sur les épaules pour rattraper la douce descente à l'osef que la série entreprend pour moi.