Rétrospective 2023

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Janvier : 26/01
Grosse claque pour bien commencer l’année.

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Février : 01/02
Incroyable.

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Mars : 12/03
J’ai chialé ma race.

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Mars : 22/03
Le bon traumatisme.

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Avril : 16/04
Grosse grosse grosse claque visuelle pour des couvertures qui ne me faisaient pas du tout envie. Un récit maîtrisé dont on ne connaît pas le fin mot et qu’il ne faut pas chercher, à apprécier ainsi. J’aime ça.

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Avril : 18/04
Dessin et ambiance pour un personnage qui n’a pas fini de me hanter.
(Éditez les romans pitié)

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Mai : 20/05
Franchement bon avec une ambiance marquée réussie alors que ça ne paye pas de mine de prime abord.

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Mai : 28/05
Une très juste histoire sur la famille.

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Juin : 16/06
Au top, un propos saisissant, malgré une lecture un peu poussive de ma part.

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Juillet : 10/07
Je n’ai pas (encore) lu toute l’œuvre de l’auteur mais manga sous-côté : dessin, ambiance, histoire, je suis conquise.

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Juillet : 26/07
Un manga singulier dans lequel les idées prédominent - personnellement la fin m’a satisfaite.

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Juillet : 30/07 (non)
Troublée et émue par les premiers tomes, cette douceur, cette nostalgie, je suis devenue accroc et poursuis assidûment ma lecture.

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Août : 03/08
Beaucoup aimé, le dessin très contrasté, l’ambiance générale, Receivers d’Analogfish : un manga doux-amer qui m’a touchée.

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Août : 25/08
Gros coup de cœur depuis plusieurs années (arrêté au tome 8 puis suivi couci-couça les scans en anglais), j’ai relu et lu lors de la sortie du tome 12 : MA-GI-STRAL.

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Août : 28/08
Très bon. Un jeu subversif qui fonctionne.

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Août : 31/08
Un OS surprenant qui a su me captiver malgré sa brièveté : le quotidien d’une jeune femme joliment dessinée par une plume que j’affectionne. On ressent bien l’évolution de ton.

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Septembre : 06/09
Une petite merveille qui donne à rêver, sublimement mise en valeur par la couleur : j’ai commencé par là et maintenant c’est difficile, prenez mon argent mais continuez la couleur !!

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Septembre : 22/09
Gros coup de cœur de 2022, les tomes 7 et 8 lus ne font qu’intensifier mon amour pour ce titre, c’est époustouflant.

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// La fin du monde avec toi (de la même autrice) //
Septembre : 25/09
Malgré les scènes de uq typiques que je déplore, un très bon manga, une histoire qu’on a plaisir à suivre sublimée par un trait fin et gracieux à remarquer, notamment en ce qui concerne le visage des personnages.

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Septembre : 27/09
Un manga incroyable qui a fait écho en moi, aussi amer que solaire, un véritable bijou. Merci Asano.

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Octobre : 04/10
Qui a dit que c’était « léger » ? Une œuvre en réalité très dure qui m’a incroyablement serré le cœur : je ne voulais pas m’y confronter, je ne regrette pas.

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Octobre : 04/10
Un peu de rêve et de cruauté pour en prendre plein les mirettes.

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Octobre : 05/10
Un message fort pour un manga qui semble anecdotique.

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Octobre : 13/10
Style graphique et ambiance oniriques pour un voyage à la fois dur et doux, incroyablement juste, dont on ressort étrangement apaisé, une catharsis. C’est vraiment vraiment un bon manga.

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Octobre : 20/10
Malgré un premier abord un peu grossier, c’est un titre qui m’a particulièrement marquée par son angle d’attaque singulier et les messages qu’ils véhiculent : l’importance de se documenter, d’éduquer, de prendre du recul sur sa situation et de l’inscrire dans un problème plus global ; montrer des personnages qui prennent conscience et souhaitent s’extraire de leur situation, qui s’aident et par ailleurs aident les autres, on comprend les difficultés rencontrées par plusieurs parties… Plus militant (sans oublier de se préserver soi-même), prisme qui diffère de l’habituel (non pas moins bon) recit d’individu. Un propos non pas manichéen et bien plus subtil qu’il n’y paraît.

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Octobre : 23/10
Des adolescentes niaises qui gloussent et un scénario à coup de rebondissements et de liens filiaux cachés digne d’une telenovela, et pourtant ! Ça marche, c’est bien plus juste que ridicule et toute la réflexion sur la famille est en réalité intéressante. Dossier de fin fort agréable qui permet de réinscrire l’œuvre dans son contexte. La littérarité du manga ne m’a pas dérangée mais il est vrai que le dessin est parfois peu pertinent (illustration de la narration).

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Octobre : 28/10
Un manga bienveillant, des personnages attachants et surtout : j’ai beaucoup RI ! En somme un manga qui fait du bien.

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Novembre : 07/11
Découverte de cette autrice iconique, Pink est également un titre notable, incroyablement cynique, faussement fantaisiste et léger. River’s edge ne m’a pas laissée indemne : récit glaçant qui dégoûte de l’être humain, amoral, dans lequel tous les personnages sont les pires, mais humains. Les plus infâmes pensées de tous sont dites. L’autrice n’a pas froid aux yeux et pourtant, le traitement est d’une subtilité folle, c’est fou comme on comprend tout, on ressent, sans un surplus d’explication, sans tire-larme, sans justifier la violence. C’est vraiment montrer plutôt que dire. C’est le pire sans être le pire. Ça passe et c’est affreux. Affreusement vicieux. Chapeau.

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Novembre : 09/12
Je suis fatiguée d’écrire donc tentons la brièveté. Excellent manga que je souhaite faire découvrir, si bien écrit et développé en seulement deux tomes. Si je dois retenir une chose : une relation incroyablement et miraculeusement saine alors que tout est malsain, c’est un joli tour de force, déroutant. Sinon, ambiance épouvantable qui m’a mise mal à l’aise, dureté générale qui m’a quasi fait détester ma lecture. Pourtant incroyable. Et je veux un singe.

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Novembre : 15/11
//Ajout (oubli), commentaire à faire, ambiance, dessin (couleur), construction narrative, dossier de fin éclairant et instructif, dur//