(Saga JV) : Top Grand Theft Auto

Annotation :

Grand Theft Auto IV est mon épisode préféré.
L'épisode de la maturité à mon sens. Le plus noir de la saga aussi.
Celui qui a enfin pu m'offrir un protagoniste que j'ai su apprécier jusqu'au bout en la personne de Niko Bellic. Le premier GTA où j'ai adoré suivre la trame principale, qui est également celle que je préfère à ce jour.

Et c'est aussi le premier jeu open-world où j'ai pu ressentir de la vie dans la map. Là où elle est plus limitée que celle de San Andreas, elle y gagne plus en densité. Grâce aux PNJ plus nombreux et bien plus "vivants", les différents véhicules dont les très nombreuses voitures de taxi, la beauté des graphismes et de la direction artistique qui met bien en valeur chaque quartier. Jamais une réplique virtuelle de New York n'a été aussi bien retranscrite dans un jeu. J'avais pas ressenti une chose pareille depuis les jeux Shenmue sur Dreamcast qui ont su m'immerger dans un univers crédible à l'époque, où le personnage ne faisait plus qu'un avec le monde qui l'entoure.

Difficile pour moi d'oublier la ville de Liberty City rien que pour ça.

Là où l'épisode a rebuté pas mal de fans à cause du ton trop sérieux, son réalisme poussé, l'absence d'humour loufoque. Le fun que j'ai eu vient justement de ces raisons, j'ai adoré la direction qui a été prise. J'ai aimé l'humour plus fin et satirique des dialogues à la place du côté plus dingo que pouvait avoir San Andreas par moments. Puis Rockstar peut se vanter d'avoir offert un portrait assez grinçant de l'American Dream avec celui-ci.
Ce qui lui apporte une profondeur plus importante que celle de ses ainés.

Je pourrais lui reprocher un manque de variété évident comme tout le monde surtout en dernière partie de jeu mais ce n'est pas quelque chose qui a perturbé mon expérience. Un de mes jeux préférés de la gen PS360.

Annotation :

Peu de temps après avoir fini le jeu, je voyais Grand Theft Auto V comme mon volet préféré. Après réflexion, je préfère toujours GTA IV mais celui-ci est sans aucun doute le volet le plus abouti et le plus fun de la série à mes yeux.

N'en déplaise à certains, j'ai parfaitement adhéré à la volonté de Rockstar de former une sorte d'épisode "ultime" en regroupant toutes les qualités qu'on peut trouver dans leurs oeuvres précédentes mais également tous les GTA-Like qui lui ont précédé en essayant de sublimer du mieux possible chaque détail.

OST de folie (Vive Queen). Map énormissime et très variée.
Pas mal de missions d'anthologie. Quêtes annexes divertissantes.
Ecriture au top avec des dialogues drôles et percutants, ce qui permet de combler une histoire beaucoup plus faible que son prédécesseur.. et la présence du trio de gangsters (Michael, Franklin & Trevor) est la cerise sur le gâteau. J'apprécie également les personnages secondaires qui mettent bien en valeur chaque milieu appartenant au héros que l'on décide d'incarner et qui pour le coup donne une crédibilité plus élevée aux lieux où l'on se trouve. Que ce soit le ghetto, le milieu bourgeois/show-biz + la famille de Michael, ou en plein désert paumé chez les rednecks.

Pour finir, je suis pas très fan des jeux online d'habitude mais j'ai pris beaucoup de plaisir à faire celui-là avec quelques amis.

Annotation :

Normalement il devrait être premier avec GTA IV sous le nom de Grand Theft Auto IV : L'Edition Intégrale. La raison est toute simple.

Grand Theft Auto IV est une trilogie. La trilogie Liberty City.
C'est très subjectif mais pour moi, manquer de jouer à The Lost and Damned et The Ballad of Gay Tony c'est comme de dire qu'on apprécie pleinement le film Kill Bill sans avoir vu Kill Bill Volume 2. Ou se contenter d'avoir vu (et aimé) Le Parrain sans avoir vu Le Parrain : 2ème Partie.

Les trois jeux complètent très bien l'ensemble et on peut y voir les prémices du concept de GTA V en incluant trois personnages très différents dans leur personnalité et leur caractère tout en suivant leur parcours dans une seule et même map. Bon, contrairement à ce dernier volet, nos personnages ici se croisent rarement et n'ont pas de missions en commun étant donné qu'ils ne sont pas du même camp. En plus, il ne se connaissent pas, mais ils sont tous déclencheurs de quelques évènements bien trouvés dans l'histoire générale dont on retrouvera quelques moments clés qu'on a pu vivre a travers le personnage de Niko Bellic dans GTA IV.

J'adore TLAD qui se charge de montrer une version encore plus sombre, plus poisseuse de Liberty City tout en m'immergeant dans l'univers des gangs de Bikers. Chose qui comble bien le fan de Sons of Anarchy que je suis. Et ce volet peut également se vanter d'avoir la mission (finale) la plus épique de toute la série qui plaira énormément aux fans de cheat-codes.

TBOGT représente l'épisode de la démesure dans cette trilogie.
Je dirais que c'est GTA IV avec un parfum de GTA V et GTA : Vice City à la fois. Pour son ambiance chaude, haute en couleurs, beaucoup plus d'humour qu'à l'accoutumée et des missions vraiment spectaculaires de bout en bout. Il nous immerge dans le monde des boîtes de nuit, le côté sexy et Jet-Set teinté de violence toujours Made in Rockstar.

Les trames principales de ces deux volets sont vraiment plaisantes.
Vive Luis Lopez. Vive Johnny Klebitz et surtout vive le Liberty City 2.0.

Annotation :

Le sommet de la trilogie PS2 selon moi.
Une claque immense à l'époque grâce à sa map très variée qui comportait pour la première fois, des villes, un désert, la campagne. Sans compter la personnalisation totale du personnage principal qui était une nouveauté bienvenue.

Des activités à n'en plus finir (Casinos, sauts en parachute, guerre de gangs, tuning de voitures, permis de pilotage).

Et j'ai apprécié l'ambiance de films de ghettos tels que Boyz'N the Hood ou Menace II Society après deux épisodes qui nous mettaient dans l'univers des mafiosos et autres gangsters plus ou moins du même genre.

Oh, et puis j'adore la station radio K-Rose et Radio Los Santos.

Annotation :

Il n'est pas commun de ranger GTA Vice City Stories devant Vice City.
La raison est toute simple. J'ai préféré cette aventure, la trame principale et son protagoniste... certes moins charismatique en apparence que Tommy Vercetti mais je l'ai trouvé plus intéressant dans son parcours.

J'ai toujours du mal à m'attacher à la ville de Vice City malgré sa belle modélisation et ses jolies couleurs... Mais y revenir après avoir passé beaucoup de temps dans San Andreas m'a fait plutôt plaisir. Je retiens quelques missions très sympa comme la mission finale avec l'affrontement contre un hélicoptère dans un building en la compagnie de Lance Vance.

Le règlement de comptes sanglant en plein concert de Phil Collins (qui apparaît en guest bien évidemment) ou encore cette mission où il faut se dépêcher de détruire des paraboles dans toute la ville tout en étant poursuivi par les flics.

De mémoire, c'est le GTA le plus difficile que j'ai eu a faire.
Même avec les codes... Et c'est un des plus drôles aussi.

Annotation :

Si je devais mesurer en termes de claque pure...
GTA III serait le premier de la liste. Bien sûr comme beaucoup de joueurs il m'a beaucoup marqué car c'était la première fois qu'un jeu offrait un tel terrain de jeu où il était possible de faire ce qu'on voulait et quand on le désirait.

Bordel, c'était la révolution !

On reproche souvent à GTA IV de se prendre beaucoup trop au sérieux mais si l'on examine bien les choses. GTA III non plus n'a rien d'un jeu délirant. Tout le fun résidait surtout sur le fait de pouvoir piloter & voler les caisses qu'on veut, ou descendre foutre le boxon dans la ville puis enchaîner des missions plutôt cool.

Ce jeu c'est la liberté dont je rêvais tant après les jeux "prototypes" qu'ont été Driver 1 et 2 sur Playstation d'une certaine manière.

Le truc c'est qu'à l'époque je passais mon temps qu'à faire ça.
Entre deux ou trois missions que je me forçais de faire une fois passé la deuxième île (histoire d'avancer vu que l'histoire peinait à me captiver) ce qui me plaisait c'était de faire régner le chaos, avoir le plus grand nombre d'étoiles, puis survivre le plus longtemps possible.

Bon, j'étais jeune, c'était con mais voilà...

Je ne prends plus trop plaisir à faire ça aujourd'hui et ça n'écrase pas le fun que j'ai eu en jouant aux volets que j'ai rangé au-dessus. Bien entendu, j'ai terminé le jeu mais je ne retiens quasiment rien de l'intrigue. Dommage.

Et à noter que depuis que j'ai touché à Grand Theft Auto IV, je n'arrive plus à prendre plaisir en jouant aux anciens volets sur Playstation 2 & Xbox. Passé l'euphorie nostalgique au bout d'une heure, je m'ennuie un peu et je préfère les garder comme de très bons souvenirs.

Une claque d'antan... Mais extrêmement majeure.
http://www.youtube.com/watch?v=vjamwACI2MI

Annotation :

J'ai apprécié Grand Theft Auto : Vice City avant tout pour son OST.
Un vrai petit bonheur à lui tout seul. Le fait d'avoir développé le personnage principal pour lui donner une personnalité et une voix était la bienvenue. D'autant plus que les clin d'oeils au film Scarface m'avaient fait bien plaisir à l'époque.

Seulement encore une fois, je n'ai pas réussi a bien rentrer dans l'histoire principale (supérieure à celle de GTA III tout de même) et je n'ai pas réussi a me familiariser avec la ville de Vice City où j'avais beaucoup de mal à trouver mes repères. Ca m'a fait le même effet qu'un déménagement. J'ai passé tellement de temps à Liberty City et son ton grisâtre que je me sentais vraiment pas à ma place ici. Alors je me suis consolé en foutant le boxon comme d'habitude entre deux/trois missions, je le garde en mémoire pour ces bons moments avec les copains, puis c'était quand même le pied de jouer a un autre Grand Theft Auto, chaque sortie étant un gros évènement à lui tout seul.

Ah, oui et j'ai aussi apprécié l'inclusion des motos.
Une nouveauté que je trouvais déjà énorme à l'époque. Mais voilà...
La claque de GTA III a été trop violente pour que je le savoure pleinement.

Annotation :

Malgré la place et la note que je lui ai attribué.
J'ai de la tendresse pour ce GTA. J'avais prévu de ne pas le faire car je n'étais pas du tout fan des premiers jeux de la franchise avec la vue au dessus. Mais ce volet exploite très bien les capacités de la Nintendo DS et est bourré de très bonnes idées qui rendent l'expérience plaisante de bout en bout.

Je garde pas en mémoire une expérience qui marque au fer rouge et après un Vice City Stories qui m'avait fortement plu sur PSP et l'arrivée de GTA IV, la pilule avait quand même un peu du mal à passer avec celui-ci.

Disons que ce volet est un peu tombé au mauvais moment pour que je succombe totalement à son charme. Un jeu au gameplay efficace mais un des volets les moins passionnants que j'ai eu à faire, si je fais la comparaison.

Annotation :

J'y ai passé pas mal de temps étant donné que ça me faisait plaisir de revenir à Liberty City. Le Liberty City de GTA III, qui m'a rappelé que c'était bel et bien la map que je préfère comparé a celle de San Andreas et Vice City. Son scénario et son personnage principal sont bien meilleurs que celui de GTA III. Un volet sympathique.
Mais après ça, pas grand chose à dire, il fait juste bien le boulot.