Science-fiction ! Voyage dans la modernité.

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On pourrait ajouter à cette liste bien des titres de Jules Verne, voire l'ensemble des ses Voyages extraordinaires qui constituent à n'en pas douter le socle littéraire fort de la science-fiction.

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Le roman de Jules Verne considéré aujourd’hui comme appartenant pleinement à la science-fiction selon Natacha Vas-Deyres.
Il en est de même pour sa suite "Autour de la Lune" (1869).

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On oublie la Guerre du feu et on se tourne plutôt vers : « Les Xipehuz » (1887), la rencontre préhistorique entre humains et êtres vivants issus du règne minéral ; « La Mort de la Terre » (1910) qui retrace le parcours d’un homme qui tente de survivre dans un futur où les dérèglements naturels condamnent son espèce à disparaître ; « La Force mystérieuse » (1913) qui expose les conséquences de l’altération de la lumière ; « Les Navigateurs de l’infini » (1925) où trois hommes rejoignent pour la première fois Mars à bord du vaisseau d’exploration le Stellarium.
Et enfin « La Légende sceptique » (1889) que Frédéric Jaccaud désigne comme le "grand œuvre" de Rosny aîné et une "hésitation entre fiction et traité esthétique".

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Parmi bien d'autres :
- Les habitants de l'autre monde (1862)
- Stella (1877)
- Lumen (1887)
- Uranie (1889)
...

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Pour n'en citer qu'un et "texte fondateur de la science-fiction moderne" selon S. Lehman.

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Admiratif de H.G Wells, Maurice Renard ne connait pas de réelle postérité pour ces œuvres pourtant en plus d'être romancier, il fut un important théoricien du genre que l'on définit aujourd'hui par "science-fiction".

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Francis Stevens pseudonyme de Gertrude Barrows Bennett qui, entre 1917 et 1923, publia dans les pulps américains une demi-douzaine de romans et une poignée de nouvelles.

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Pour Serge Lehman, il s'agit de l'une de ces lectures qui procurent la même émotion que de lire de la science-fiction ; l'émotion du "sense of wonder".

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Créateur de la première collection de science-fiction en France : les Hypermondes.
Auteur également de "Le Miroir flexible" (1933), "La Cité des asphyxiés" (1937) ou encore "Valcrétin" (1943)

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Mais aussi "l'Agonie du globe" (1936), "Les Évadés de l'an 4000 (1936) ou encore "l'Œil du purgatoire" (1945).

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Pour Serge Lehman, il s'agit de l'une de ces lectures qui procurent la même émotion que de lire de la science-fiction ; l'émotion du "sense of wonder".

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Un incontournable dans le paysage de la science-fiction française que Natacha Vas-Deyres explique en partie par la disparition de Messac et l'arrêt d'écriture de Spitz après 1945, ce qui fait de Barjavel un cas isolé de la littérature science fictionnelle à cette époque et avant la déferlante de la SF américaine dans les années 1950.
"Ravage" donc mais aussi dans la veine de ses romans "extraordinaires": "Le Voyageur imprudent" (1944) et "Le Diable l'emporte" (1948).
Puis après sa carrière de scénariste il revient à la science-fiction : "La Nuit des temps" (1968), "Le grand secret" (1973).

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Première traduction française en 1954 et premier titre de la célèbre collection "Présence du Futur" des éditions Denoël.

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Un grand cycle rédigé entre 1950 et 1963.
Et pour A.-F Ruaud c'est surtout :
- "En terre étrangère", c’est un bavard, séduisant et paradoxal roman d’éduction version science-fiction, qui deviendra une des Bibles du mouvement hippie.
- "Révolte sur la Lune" c’est le brillant portrait d’une décolonisation et de ses questions sociales – un roman si crucial dans la culture science-fictive que d’autres auteurs, presque à chaque décennie, en donneront en quelque sorte leur propre version : ce seront "Triton" de Samuel Delany en 1976 et la "Schismatrice" de Bruce Sterling en 1985.

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Privilégie les personnages et leur psychologie, plutôt que de décrire les sempiternelles innovations technologiques qui bouleversent la société.

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Premier lauréat du prix Hugo en 1953.

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Autrice du cycle" Le Grand Livre de Mars" (1953-1968), épouse d’Edmond Hamilton, grande amie de Ray Bradbury et son mentor pour l’écriture de ses "Chroniques Martiennes".

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Premier écrivain français publié dans la collection "Le Rayon Fantastique" des éditions Hachette / Gallimard.

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Comédie de science-fiction qui avec "Wasp" (1958) forme une bonne entame de l'humour grinçant de Russel.

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Un ouvrage à caractère expérimental puisque Drode calque son style sur l’évolution
future de la langue.

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Nouvelliste américaine dont l'écriture est emprunte d'humanisme, de tolérance et d'enchantement ainsi qu'un attrait pour les "perceptions extra-sensorielles".