Sériephagie : symptômes et traitements

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Vraiment pas facile à regarder, entre le rythme méticuleux et des situations sans la moindre concession, je reprends le fil après une coupure de plusieurs mois entre les épisodes 2 et 3, et je commence enfin, seulement, à me délecter de l'ensemble,sans effort.
Une mention toute particulière pour la prise de vue et la photographie, qui sentent toutes deux l'appareil photo, dans les réglages, comme dans les plans.
Du bonheur qui se paie cher, dur est un des moindres qualificatifs de la série ...
Saison 2 en cours, à petit pas, le mérite à la regarder reste entier, avec le plaisir supplémentaire de se voir expliciter un peu l'univers et ses causes.
...
Plus qu'à trouver la saison 3 ...

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Saison deux finie, les aventures de Ragnar Lothbrok le viking semblent si réalistes qu'on se fierait à la série comme un cours d'histoire.
La première saison mettait un peu de temps à prendre le spectateur au charisme des personnages, la seconde est plus efficace à mesure que l'action s'intensifie et que les héros déploient leur destin.

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De savoir qu'il y eut une version anglaise ne suffit pas à reconsidérer le plaisir pris au visionnage de cette série.
Kevin Spacey y est forcément pour beaucoup.

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Jeu en peau de chagrin, intrigue poussive, le vrai intérêt de cette série réside dans la lecture de l'actualité récente (tentative d'assassinat contre Reagan, entre autres).

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Et une troisième saison efficace, horrifique bien que drôle, originale bien que redistribuant les acteurs des saisons précédentes.
C'est toujours un plaisir à regarder, même si on ne sait jamais quelle forme sera prise.

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Intrigant, inattendu, historique, la plongée dans les années 70 d'un inspecteur des années 2000 et ses efforts pour comprendre.

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Toujours ce plaisir coupable à regarder un vaudeville horrifique, qui ne cesse de repousser les frontières de son univers. Curieux de voir comme ça se conclura.
Saison 7, plus que le Final regarder, et le fort sentiment que ce sera la dernière, à en juger par la purge en cours chez les personnages et la boucle avec la première saison.
Ce n'est pas plus mal, une série ne vaut vraiment que par sa conclusion, à point nommé ou (trop) tardive. Ici, si mon hypothèse se confirmait, nous serions plutôt dans le premier cas.
Ainsi soit-il.
Dernière saison débridée, en inversion de la première, la boucle du récit pour conclusion.
C'était encore un chouette moment avec Alan Ball.

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Premier épisode de la saison 1. Ca me plaît déjà, tout en sachant pertinemment que la série me demandera des efforts pour me plonger dedans à chaque fois, il n'est guère question de lavage de cerveau ici.
Des personnages intrigants, un Woody Harrelson passé de l'autre côté de la barrière depuis Tueurs-Nés, un surf entre plusieurs époques, un tueur insaisissable, une enquête qui ne cesse de s'élargir, bref, énormément de rouages qui préfigurent une grande série. Plus qu'à ...

Le passage à la suite se sera fait attendre, une certaine envie mâtinée d'ennui, puis finalement, le rythme pris, ne reste que cette enquête géante, à travers les années, malgré la facture classique de l'intrigue.
Puis des acteurs, métamorphes, sans qui le temps peinerait à se faire sentir, dans un jeu de réalisme des plus agréables.
Je regrette cependant que la fin de la première saison soit si ouverte qu'il semble inévitable qu'il y a ait une suite, alors que le concept a fait sa révolution.

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La déception attendue.
Le principe de série préquel est foireux en soi, et la nécessité de revenir à la jeunesse des personnages principaux de Gotham rend le tout particulièrement artificiel, du simple fait de l'improbabilité qu'une ville transforme autant de gens en criminels psychopathes ...
Il y a des limites à ma suspension consentie d'incrédulité ...

Annotation :

Je ne sais pas bien si j'aime ou non cette espèce de série fourre-tout, mélange de tellement de genres que ça en parvient à rendre assez curieux pour persévérer.

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A voir, le concept peut s'avérer prometteur.

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C'est drôle. Oui. Une fois admis qu'on est dans un soap plutôt qu'un policier, ça passe agréablement bien.

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Ca tire sur le Striptease, mais en soit c'est prometteur.
Confirmé au deuxième épisode.

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Un acteur principal tiré de Urgences qui sent plus l'icône d'accroche que le personnage pérenne, un trio stéréotypé, une bodyguard-blonde-à-forte-poitrine-ancienne-marines et une rencontre factice, posent un univers de série d'aventurier qui s'annonce bien médiocre ...

Annotation :

Ouch !

Traité de la dépendance aux écrans, une histoire différente par épisode.

S01E01 : pan dans les dents ! c'est simple, limite simpliste, pourtant ça marche et ça fait mal.
S01E02 : autre registre, autre chute, autre symptôme du désespoir.

Annotation :

Premier épisode plutôt raccord avec le comics, ce qui aurait dû être rassurant si le lancement de la saison, à la fin de l'épisode, n'annonçait un format d'une intrigue par épisode avec juste un fil rouge, soit une banalisation du personnage, de la magie et du rapport entre les deux.
J'espère me tromper ...

Annotation :

Sais pas encore trop qu'en penser.
Il y a du Oz,dans cette histoire de nouvelle BCBG qui se retrouve en prison pour une erreur de jeunesse.=, si, un peu, dans le fond ...
Pas mauvais, pas éblouissant, patience.

Plutôt bon finalement.
Les personnages sont à la hauteur des acteurs, les intrigues frôlent de moins en moins le culcul à mesure que le personnage principal mûri sa condition, de beaux instants se dessinent, bref, ça passe particulièrement bien malgré ce doublage français des plus navrants.
Nul doute que je me risquerai à la suite.

Annotation :

Eric et Ramzy ce n'était pas bien terrible depuis H, Eric tout court, bha ... Chais pas. Pas vraiment drôle, limite triste, on se demande un peu si on ne serait pas dans un pathétique auto-biopic ... Mais pour de vrai ...

Et ça ne va pas en s'arrangeant. Pourtant il se dessine quelque chose dans cette lose systématique de pauvre type sur le retour, à aller jusqu'au bout, avec une certaine surprise, reconnaissons-le.
De là à souhaiter y retourner, il y a tout de même un beau gouffre.

Annotation :

Des geeks en version pas soap.
Déjà trois épisodes vus, amusants, un autre univers;
A voir sur la durée.

Et sur la durée ça passe bien trop vite.
Ce qui est regrettable parce qu'on se fait vite à ces grands dadais gauches décidés à conquérir le monde à grand coup d'application.
Très agréable découverte.

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Tenté à reculons, l'idée de toucher au film me hérissait, pris au premier épisode de ce long film, de cet autre film.
Du long cours en perspective.

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Crénom que c'est beau quand on se prend de vous balader dans les recoins les plus inattendus de notre belle planète.
Deux DVD, déjà, huit thématiques, plus qu'à trouver les suivants.

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Sceptique, voire franchement hostile au premier visionnage, le lancement de Flash ainsi que la lecture concommitante du run de Lemire sur le comics m'auront finalement fait y revenir.
Certes ce damné acteur témoigne d'un charisme d'huître neurasthénique, certes les incohérences et autres raccourcis abondent, certes il finit par être saoulant le personnage qui a tout fait mais chut, les flashbacks sont là pour ça.
Néanmoins, ces travers acceptés, c'est le déploiement d'un certain DCverse, cohérent, architecturé, et surtout, surtout, visant à un certain réalisme, qui m'enthousiasme.
L'impression véritable que c'est à la télé que DC réussira ce que Marvel aura fait au cinéma.

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Comme précisé précédemment, la série m'aura fait reprendre pied dans cet univers en construction, et l'opposition entre les deux premiers opus de ce déploiement n'est pas pour déplaire : au sombre, torturé voire inquiétant Arrow s'oppose le lumineux, optimiste voir naïf Flash.
Chez l'un la nuit couvre les opérations, chez le second, on opère au grand jour, avec force blagues de geek.
Autre point positif, la distanciation aux slips. Flash adopte un costume, en offre un à Arrow, c'en est un poil ridicule des fois, mais le tout est autant désamorcé qu'intelligemment amené par la voix du collègue geek trouveur de surnoms superhéroïques.
Alors oui, pris en tant que tel ce ne sont pas le séries de l'année, y compris au sens superhéroïque, DD surclasse sans problème, mais elles ont ce côté jouissif qu'est la mise en place d'un univers.

Annotation :

Pfiouuuu.
Un peu de mal à saisir.
Donc oui, sur la foi d'un qui pro quo abracadabrant, un ancien détenu devient shériff d'un bled. Pas sûr qu'il y ait un lien de cause à effet, mais du coup ça se met à défourailler sévère, direct. Et toutes deux bastons il se fait une fille.
Mais bon, peut-être que ça finit par démarrer ...
Vérifierai pas ...

Annotation :

Petite pépite australienne sous forme de fiction plus réaliste que paranoïaque, donc d'autant plus paranoïaque, si vous me suivez.

Annotation :

Adaptation plutôt fidèle pour production à petit budget. Ca passe malgré tout honnêtement sans être définitivement inoubliable.

Annotation :

Brut, brutal, réaliste, à en trouver le démarrage un peu longuet.
Pourtant c'est là la quintessence de DD, cette double-vie qui ne peut que s'interpénétrer tant la chair marque.
Certes la lecture de certains seconds rôles peut heurter quand on est habité à une incarnation, mais finalement on s'y fait parce que ça ne chose grand chose au propos.

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A ce stade je n'en sais encore trop rien. On me souffle dans l'oreillette que c'est à partir du 4è que ça démarre. Plus qu'à.

Annotation :

Hacktivisme, paranoia et schizophrénie, un cocktail efficace et inquiétant à souhait.

Ouch ! Je ne croyais pas si bien dire.
Une série étonnante, ultracontemporaine dans son actualité, et riche en acteurs marquants.
Une vraie bonne claque.

Laquelle claque vire à la correction sur la Saison 2, et n'en suis encore qu'à a moitié ... Aïe ...

Annotation :

Tenté sur recommandation sans vraiment y croire, les préquels m'agacent souvent et le battage autour de Hannibal me semble bien éloigné de la fulgurance du Silence des Agneaux.
Pourtant emballé très rapidement, l'esthétique macabre qui se dégage me plaît forcément beaucoup.
Jusqu'à ces derniers épisodes, dont on se dit qu'ils vont conclure l'intrigue, ce serait logique, voire souhaitable. Hélas, c'est une série, à succès, il faudra l'étirer autant que faire se peut, y compris quand le spectateur n'a plus de surprise à attendre, du scénario ou de réalisation.
Bons moments, ceci dit, mais je doute passer à la saison 2.

Encore que.
Viens de lire que le projet visait les sept saisons, avec Dragon Rouge, Le Silence des Agneaux et Hannibal sur les trois dernières.
Du coup faut que je songe à l'opportunité de me fader le reste ...