Séries 2024

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Quelle purge ! Je suis même pas arrivée à aller jusqu'à la fin...

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Un classique ! (Enfin jusqu’à la saison 8)

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Prévoir une bonne dizaine de paquets de mouchoirs. Même si le scénario dans son ensemble est un peu cousu de fil blanc avec une fin évidente, c'est bien écrit, touchant avec une histoire qui arrive à surprendre et un point de vue pas si souvent abordé.

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Rien à redire...

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Ça aurait pu être une série un peu banale si ça n'avait pas été une histoire vraie et qui plus est, racontée par la personne qui l'a vécue qui a écrit et joue son propre rôle. La manière dont son vécu est raconté, de manière honnête, en acceptant ses erreurs, ses contradictions, rend la série vraiment intéressante. Aucune empathie pour le personnage principal malgré son calvaire qui remonte bien avant Martha.

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Sympa, d'autant plus que c'est une histoire vraie. Aussi un peu jubilatoire de voir la chute de cette malade.

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On peut dire la même chose que The Dropout même si c'est un autre genre de malades.

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Lourd de chez lourd, pas intéressant, pas drôle... J'ai vraiment pas accroché

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Un plaisir de retrouver les desperado housewives quasiment quinze ans après le premier visionnage... Même si la série vire très tradi a énormément de moments (coucou l'avortement?!) et que les intrigues sont souvent lourdes (coucou Paul Young), on se laisse embarquer à Wisteria Lane et on s'y sent bien.

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Vraiment géniale même si au bout de quatre saisons on a un peu compris la chanson et on commence à tourner en rond : qui va reprendre la boite ?

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Le plus sympa dans le visionnage de cette série c'était les débriefs après les épisodes et les vidéos du Chef.

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Saison 3 : j’ai eu énormément de mal à entrer dedans malgré le fait que j’ai revu les deux premières juste avant. Ça reste beau, absolument rien à dire sur l’esthétique mais c’est lent, parfois désordonné. Le long épisode sur Tina suivi de l’épisode de l’accouchement de Sugar consacre quasi entièrement à la conversation qu’elle a avec sa mère étaient très longs pour ce qu’ils ont apporté au récit et au rythme. Et puis forcément on reste sur notre fin avec ce « to be continued », au final il ne s’est pas passé grand chose dans cette saison, si ce n’est Carmy qui s’auto sabote dans son travail, ses amitiés et ses amours.

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J'avais déjà apprécié le livre que j'ai lu il y a un ou deux ans et la série m'a aussi plu même si tout n'est pas parfait. Je suis moyennement fan du jeu de Dora Tillier qui en fait trop par moments, même si elle joue un personnage qui est a fond dans le too much, pas fan non plus de Sara qui est quand même le cliché de la fille un peu garçonne qui vit seule avec ses chats et qui aime les filles... C'est lourd et c'est dommage.

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Découverte par curiosité après qu'elle ait gagné un bon nombre de prix je ne suis pas déçue pas la série. Les personnages sont tellement attachants, les intrigues sont géniales même si je ne suis pas toujours sure d'avoir tout saisi (surtout saison 4 ou ça part un peu dans tous les sens). Petite préférence pour la saison 3 avec la comédie musicale. Et puis que de guests !!! Déjà hâte de retrouver la team dans l'ambiance feutrée de l'Arconia.

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Vraie valeur sûre feel good anti déprime, jamais déçue par Friends, par contre toujours déçue de terminer cette série ❤️

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J'ai commencé à regarder par curiosité, motivée par les bons retours que j'entendais. Au début, le côté télé réalité m'a complètement refroidie, il a fallu s'accrocher pour passer les 2/3 premiers épisodes et puis à partir d'un moment, on se laisse porter par le suspens. Cette curiosité est aidée par un format concis mais efficace, qui n'en fait pas des caisses et notamment pour le final : on ne tourne pas autour du pot 1000 ans et ça fait du bien.
Après c'était sympa pour une saison, c'était original et plaisant à regarder mais j'espère que ce n'est pas le début d'une suite interminable, un genre de machine à fric pour faire de l'audience.

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Saison 2: 6,5/10

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C'est rare d'éprouver une telle aversion devant une oeuvre mais j'ai vraiment détesté the Rehearsal que j'ai eu pourtant eu envie de découvrir, encouragée par les très bons retours sur cette série. Mais le concept me hérisse : c'est vraiment le contraire du courage, organiser des répétitions pour surtout ne pas prendre de risque, ni de décision, au point d'espionner la personne visée, de s'imiscer dans sa vie de la manière la plus malsaine possible. Donc chaque moment que l'on peut appréhender va nécessiter une préparation millimétrée digne d'un psychopathe pour aller jusqu'à recréer les lieux à l'identique dans un hangar ? Et les personnages (fictifs ou réels ?) sont antipathiques au possible. Entre Nathan (qui ressemble beaucoup à son personnage dans The Curse) a qui on a envie de foutre des baffes pour sa mollesse, son inaction et sa manière de se laisser porter et de surtout ne jamais s'imposer ni donner son avis, quant à la future mère -dont j'ai déjà oublié le nom- dont les curseurs de la psychopathe/complotiste/catholique intégriste ont tant été poussés aux extrêmes et qu'on aurait envie de la décourager par tous les moyens d'aller au bout de son projet et d'avoir un enfant. Par contre c'est vrai, la fin m'a émue, et fait encore plus enrager contre ce concept débile, lorsque l'on comprend que le petit Remy va avoir à gérer un immense trauma suite à cette expérience puisqu'il ne connait pas son vrai père et a vu en Nathan un père de substitution.
Bref, en voyant les notes très élevées et les avis positifs je pense que je suis passée à côté de quelque chose avec The Rehearsal, mais de la même manière de The Curse (qui ressemble beaucoup à cette série, outre son personnage principal).