Séries regardées en 2024

Annotation :

Intégrale – revu

J’ai commencé l’année en découvrant les dernières saisons (25,26) puis je me suis enfilé la totale en reprenant depuis le début. Matt Stone & Trey Parker demeurent de véritables maitres de la satire contemporaine. J'ai ri à gorge déployée sur la quasi-totalité des épisodes aussi bien les anciens, probablement par nostalgie, que le récent qui tacle avec une efficacité folle les travers du monde occidental.

Annotation :

Saison 1 - Vu

Cette série détruit en 6 épisodes tout ce que la série mère a construit en 11 saisons autour du héro éponyme. Daryl oubli les bases élémentaires de la discrétion en territoire hostile mais ce n'est pas grave, il est accompagné de personnages qui parlent tous la langue de Donald, même parfois lorsqu'ils échangent entre eux ... Au delà de cette incohérence flagrante et constante, on remarque un nombre incalculable de situations qui semblent se reposer sur une flemme scénaristique effroyable : Bim, on traverse des centaines de kilomètres en une élipse ; Bim, On fait en sorte que des personnages clés se croisent sans véritable explication ; Bim, nos héros sortent de situations périlleuse sans que l'on comprenne pourquoi ... M'enfin bon, on voit le Mont Saint Michel. Et je découvre donc que mon super plan anti-zombies est désormais dévoilé au monde entier sans que je ne sois mentionné dans les crédits de fin ! Quel scancale !

Annotation :

Saison 1 - Vu

Une série qui plonge dans l'univers de la bourgeoisie Anglaise tout en la reliant au trafic de narcotiques moderne. Très bien rythmée, souvent très drôle et impeccable visuellement, Théo James y incarne parfaitement cet homme d'affaire et d'action aux origines nobles. Qui plus est, bientôt 20 ans après la sortie de Skin, je suis heureux de retrouver une Kaya Scodelario (AKA Effie avant, Susie Glass ici) formidable.

Annotation :

Saison 1 - Vu

Les fans des épisodes repris par Bethesda en 2008 serons ravie de retrouver des références au jeu à travers des musiques, des objets, des thèmes évoqués. Tout es fidèle à l'ADN de la licence sauf à ses origines : A savoir la violence et l'immoralité. J'ai trouvé l'aventure divertissante et bien rythmée mais je n'ai plu m'empêcher de voir des décors factices bien trop propres et des antagonistes bien trop gentils. Et bordel, il y a trop de vitres non brisées. Ca ne va pas du tout !

Annotation :

Saison 1 - Vu

J'ai franchement rigolé sur l'ensemble des épisode. Le personnage de Jonathan Cohen (Marc) est irrésistiblement con et forme un magnifique duo avec son cliché présentateur parodié à la perfection (Vincent Dedienne). Le casting féminin est dingue et mériterais une pleine page pour rendre hommage à leurs prestations respectives tant elles campent des personnages aux potentiels cultes avérés. Bref, une pastiche de télé croché hilarante.

Annotation :

Saison 1 - Vu

Autant la première série m'a plié de rire, autant celle ci m'a gêné. L'humour ne prend pas.

Annotation :

Saison 1 (unique) - Vu

Une nouvelle histoire incroyable de secte, cette fois-ci naissant sur notre territoire Français. Le premier épisode vient habillement mettre en lumière un amour et une communion de façade pour dès le deuxième attaquer l'homme sur son égocentrisme, sa superficialité, son effroyable caractère libidineux. La scène où il semble banaliser la pédophilie sur un plateau télé et tout simplement terrifiante. Tout comme ce court extrait, semble-t-il avant le tournage officiel de l'interview du "prophète", où notre dingue parle à ses disciples comme un connard impérieux. La renaissance moderne du mouvement en Afrique, notamment en Côte d'Ivoir (Royaume des Brouteurs) et très inquiétante.

Annotation :

Saison 1 à 2 - Revu

J'aime beaucoup l'ambiance de cette série. Miami est à l'image de notre héro : Lumineuse, agréable, chaleureuse en apparence mais gangrenée par la violence. Michall C.Hall est formidable dans ce rôle d'homme à la double face. Beau père aimant, frère parfait, collègue irréprochable de jour mais meutrier embrassant ses pulsions noires la nuit.

Annotation :

Septembre - Vu

Je n'ai pas du tout adhéré à l'humour. A vrai dire, je n'ai peut être décroché qu'un ou deux sourires sur l'ensemble des épisodes. Au delà de cet aspect franchement raté c'est le récit complètement incohérent qui tache. A aucun moment on ne croit à l'action, que ce soit sur l'identité du héro qui n'est jamais dévoilé alors que sa femme se retrouve dans le pageot avec lui, ou quand le spectre du père semble ignorer l'identité du fils (bizarre, le fonctionnement de l'au-delà). Par dessus tout, la cabotinage de Dujardin avec ce personnage ne peut que me faire penser à une mauvaise copie d'OSS. Pourtant Don Diego demeure un personnage assez intéréssant dont le enveloppement propose quand même un certain intéret.

Annotation :

Saison 1 - Vu

Une superbe série qui m'a beaucoup rappelé l'ambiance de GTA San Andreas tant par ses musiques que ses environnements mafieux et délinquants des années 90. Une ascension intéressante pour un personnage sympathique et paradoxalement obnubilé par son rêve de succès. Une constellation d’intrigues et de personnages évoluent autour de notre héros pour un rythme vraiment captivant.

Annotation :

Saison 1 – Vu

Fantastique histoire qui dépeint une Gotham contemporaine écrasée par la pauvreté, terreau fertile des criminels en tout genre. C’est dans cette précarité qu’évolue le magnifique Penguin, super vilain détestable mais tellement profond. Le mensonge est l’arme favorite du bonhomme qui va tout faire pour gravir les marches de la criminalité de Gotham, laissant derrière lui une trainée de cadavres jusqu’à cette fin où l’homme révèle toute l’étendue de son cynisme. Colin Farrell est incroyable de justesse et Cristin Milioti se révèle être une actrice bien plus imposante que je ne l’avais anticipé.

Annotation :

Saison 1 – Vu

Une petite série qui se regarde sans déplaisir, principalement pour son héro Bjorn, incarné par un très bon Tom Schilling. Celui-ci vit une crise existentielle et aspire à suivre la discipline de la « pleine conscience » pour résoudre ses problèmes. Evidemment, cette révélation est entachée par un meurtre qui sera le fil rouge de toute l’intrigue. Une galerie de personnages de la pègre, souvent drôles et attachants, vient graviter autour de notre héro qui fera bien vite preuve de maitrise de sa nouvelle discipline pour prendre les rennes de son plan, voir peut-être plus.

Annotation :

Intégrale – revu

Cela fait bien 15 ans que je n'ai pas revu cette série qui pourtant m'avait fasciné à l'époque. Elle semble être tombé dans l'indifférence générale. Pourtant celle-ci à tout ce qui fait le succès de nos séries TV à gros budgets actuel, même plus : Un casting incroyable, une mise en scène et un travail certain quant à la fidélité historique, des jeux de pouvoir et des batailles spectaculaire, de la violence et de l'érotisme à profusion. Que c'est-il passé HBO ? Pourquoi les membres du casting ont-ils visiblement tous disparu ? Pourquoi avoir abandonné une histoire aussi riche ? Je garderai longtemps en mémoire les aventures de Lucius Vorenus et Titus Pullo.

Annotation :

Saison 1 - Vu

Une création vraiment unique tant pour les jeux d'acteurs criant de sincérité que pour les lignes de dialogues véritablement savoureuses et profondes. Une production qui met en avant une bande de pote trentenaire tout à fait crédible face à un évènement tragique. Les scènes font passer du rire aux larmes en quelques secondes, pour peu que nous soyons sensible au sujet du deuil, de la masculinité dite "virile" et plus globalement de l'amitié et de l'amour.