Soundtrack of my life

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--Premières années--

Mes parents écoutaient (et écoutent encore) surtout Bruce Springsteen et Pink Floyd, du coup ces deux chansons sont mes deux premiers souvenirs musicaux.

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Premier concert, et je persiste à penser que cet album est bon malgré les années qui passent.

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Je me souviens que mon père me réveillait souvent en mettent cette musique, et je dois toujours avoir le single quelque part.

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--Les années collège-- (2003-2007)

On commence à attaquer les choses sérieuses. J'écoute toujours plus ou moins les mêmes artistes que mes parents, mais je découvre Placebo et surtout Linkin Park, qui aura une grosse influence sur mes goûts musicaux.

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--Les années lycée-- (2007-2010)

Rien ne va plus, je commence à écouter des trucs de mon propre gré, que mon pote JB me conseille.

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Je m'étais mis à écouter du Slipknot surtout pour draguer une meuf mais je me suis rendu compte que j’aimais vraiment ça.

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--Les années fac (Avignon)-- (2010-2013)

My name is stain passait en boucle à la radio durant ma dernière année de lycée mais comme je ne peux pas blairer cette chanson j'ai toujours cru que Shaka Ponk était un groupe pas terrible. Quelle ne fut pas ma surprise quand j'ai découvert leurs vrais morceaux, et leurs trois premier albums, toujours aussi efficaces.

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Comme j'avais beaucoup de temps à perdre et un accès internet sans surveillance je pouvais écouter absolument ce que je voulais. Du coup je découvre le folk metal, qui devient instantanément un de mes styles favoris.

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J'ai torché cet album dans tous les sens mais je l'apprécie toujours autant.

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Découvert complètement par hasard sur YouTube et coup de cœur immédiat.

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Dans ma dernière année à Avignon je me tape toute la discographie de Maiden, et comme toute personne sensée, j'adore ça.

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Et accessoirement je redécouvre Pink Floyd, bizarrement laissé de côté toutes ces années, qui devient mon groupe favori.

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--Les années fac (Chester)-- (2013-2014)

Expatrié en Angleterre je découvre Tool, et je ne sais toujours pas comment j'ai pu survivre 20 ans sans ce groupe.

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Elle passait tout le temps à la toute fin des soirées metal en boite, quelle ambiance.

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Celle là aussi passait tout le temps en boîte, normal le groupe est gallois et j'étais juste à côté du Pays de Galles.

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Conseillé par un pote, je découvre ce groupe en concert à Chester. Baffe monumentale. Je les revoie peu après lors du Sonisphere, où j'ai cette fois torché leur discographie dans tous les sens, et ce morceau me fera chialer comme une grosse merde.

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Il y avait beaucoup d'Espagnols en Erasmus à Chester, et je traînais pas mal avec eux, j'ai donc découvert des trucs très sympas, notamment ce groupe légendaire en Espagne.

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--Les années Fac (Lyon)-- (depuis 2014)

Grâce à reddit je découvre ce groupe incroyable, et cette chanson m'obsède encore aujourd'hui alors que j'ai dû l'écouter une bonne centaine de fois.

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J'ai bien poncé cet album qui s'adapte à pas mal de circonstances, surtout pour chiller.

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Tellement fasciné par cet album que j'ai soûlé tous mes potes avec, jusqu'à ce qu'ils écoutent aussi et kiffent bien leur race.

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Baffe monumentale lors de la découverte de ce groupe, j'étais KO debout. Lors de mon trajet pour aller à la fac j'écoutais ça à donf, j'avais envie d'exploser tout le monde dans le métro.

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Encore une découverte par hasard (mais on sait tous que c'est les meilleures), ce groupe m'a bien régalé pendant plusieurs années, avant de se perdre avec un producteur bien claqué qui a niqué leur son. Ce morceau reste un classique ceci dit.

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C'est à partir de ce moment que je me détourne un peu du metal pour aller vers le rock psyché et autres musiques de mecs foncedés. Je me souviendrai toujours de la première fois que j'ai écouté ce morceau, attiré par la pochette et le nom du groupe, un putain de régal pendant 16 minutes. Je ne m'en lasse toujours pas.

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Je découvre enfin Alcest, après en avoir entendu parler pendant des années, alors que le gars vient d'un patelin juste à côté d'Avignon. Vu plusieurs fois en concert depuis, son univers est assez impressionnant.

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J'ai rencontré ma première copine à Lyon, et disons que cette chanson a accompagné pas mal de moments assez personnels.

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--Confinement--

La nouvelle de la mort de Nepal, même si j'écoute très peu de rap, était quand même parvenue à mes oreilles. Comme j'avais beaucoup de temps pendant le confinement, j'ai décidé de me pencher sur son album posthume.
J'ai fini par écouter Daruma chaque jour pendant le confinement, comme un repère.