Star Wars : L'Empire des Comics

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Le lointain passé de Star Wars. Bien avant l'Ancienne République, les Sith (m'enfin l'Ordre Sith, parce qu'il ne faut pas faire d'amalgames avec l'espèce Sith -d'ailleurs l'un des personnages principaux de La Genèse des Jedi est un sith-) et tout le tintouin.

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Il faudrait que je pense à m'acheter le troisième et dernier tome de cette série un des ces jours.

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Ma série de comics Star Wars préférée. Un scénario bien foutu et plein d'idées ainsi que des personnages (très) attachants.
Sans doute la meilleure série de comics Star Wars.

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La première partie avec les Mandaloriens et la station Flashpoint est juste excellente.
Et puis Dob et Del Moomo, les chasseurs de primes les plus crétins de la Galaxie, me font beaucoup rire.

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Dénouement déchirant du tome précédent et retour sur Taris.

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Il faut avoir lu le premier tome de Vector avant celui-ci sous peine de ne pas comprendre grand chose au début de l'intrigue de Sans pitié !.

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Où le mystérieux passé de Jarael commence à se dévoiler.

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Rien à voir avec l'ouvrage en lui-même, mais c'est que j'aime beaucoup les illustrations de couverture de Benjamin Carré.
Et celle-ci est l'une de mes préférées.

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Une belle fin pour la meilleure série de comics Star Wars.

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Un dernier tome un peu inutile. Démon était un bel épilogue pour Chevaliers de l'Ancienne République, et cette suite n'apporte absolument rien de nouveau (et puis tout est centré sur Zayne Carrick : Jarael, Gryph et Slyssk font une brève apparition qui relève du caméo). M'enfin bon, y'a des Mandaloriens dans l'histoire.

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Les comics Chevaliers de l'Ancienne République étaient dérivés des jeux KoTOR mais étaient (très) pertinents : nouvelle histoire (située avant les jeux d'ailleurs mais qui ne fait pas office de prologue artificiel), nouveaux personnages, nouvelles planètes et ce qu'il faut de clins d’œil aux jeux pour consolider le ciment.
Ce qui n'est pas le cas avec les comics The Old Republic. Un peu inutiles.

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Le problème des comics The Old Republic c'est aussi les personnages : vides et pas très intéressants.
L'exact opposé de Chevaliers de l'Ancienne République, quoi.

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Le mythe du chevalier errant, version Star Wars.
Franchement, cette série vaut le coup d'être lue parce que les personnages sont intéressants et parce qu'elle apporte de la nouveauté (les seigneurs Sith complètement tarés qui se font la guerre entre eux quand ils ne se battent pas contre les Jedi et la République), en même temps le scénario est signé John Jackson Miller (Chevaliers de l'Ancienne République -encore une fois-).
En revanche, là où ça ne marche pas trop c'est au niveau du dessin qui est parfois à la ramasse et du rythme (la série prend beaucoup trop de temps à se lancer, les choses sérieuses commencent au troisième et dernier tome).

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L'une des rares histoires de l'univers Star Wars où un Hutt fait autre chose que d'être vautré toute la journée.

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La série qui s'arrête là où ça commençait à devenir intéressant.

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Si Qui-Gon Jinn est l'un des plus grands maîtres Jedi c'est parce qu'il a réussi à supporter la tête à claques intergalactique qu'est Xanatos.

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Villie le Dévaronien est un personnage que j'aime bien mais que je trouve assez insupportable à lire.

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Je me souviens que les Anzatis dénaturés m'avaient un peu fait flipper à l'époque.

(J'ai lu les autres tomes de la série parce qu'un ami me les avait prêtés, mais comme ça remonte à presque 10 ans je ne les ai pas mis dans la liste. Mention spéciale, tout de même, pour le tome 4, dont je conserve de bons souvenirs.)

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Rien à voir avec la série animée à la bouse de bantha (je parle ici de la daube en 3D de 2008, pas celle de 2003 qui est plutôt cool et cohérente avec les comics).
Une des meilleures séries de comics Star Wars.

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Avec Durge, l'un des personnages les plus classes de l'Univers Étendu Legends (et aussi une des raisons pour lesquelles la série animée Clone Wars de 2003 est 10 000 fois supérieure à celle de 2008).

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Le bourbier de la guerre. La vraie guerre : celle qui est absurde, déchire et mutile. Celle qui fait souffrir les populations et voit des gamins envoyés au front.
Ce que je reproche à la série animée The Clone Wars, c'est qu'elle est très manichéenne : la République c'est le camp des gentils, alors que les Séparatistes sont méchants. Ce comics montre l'inverse : le leader Séparatiste jabiimite est montré comme étant un personnage assez contrasté (m'enfin il reste un taré nationaliste), les généraux Jedi sont des gosses paumés, la population de la planète est totalement désemparée et la République ne leur est au final pas d'une grande aide.

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Mon exemplaire souffre d'un sérieux défaut d'impression et de mise en page, ce qui le rend super chiant à lire. Mais je l'aime bien quand même, et puis de toute façon ça va presque faire 10 ans que je l'ai donc c'est un peu tard pour changer.

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Le prologue de Dark Times, axé sur l'Ordre 66, la traque et la fuite des Jedi survivants.
Un tome fort en émotions qui montre sur un angle différent la fin de la Guerre des Clones et la perte de repères qu'elle engendre pour les populations, mais aussi pour les combattants.

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Cette série fait définitivement partie du top du top des comics Star Wars. L'intrigue est passionnante, les personnages sont bien écrits et c'est vachement bien dessiné. C'est tout simplement du bon Star Wars et de la bonne BD.
Dark Times met en place une Galaxie en perte totale de repères, à une époque où l'Empire commence à imposer sa puissance et où de nombreux mondes séparatistes n'ont pas rendu les armes malgré la fin de la guerre. Le fait de suivre des marginaux et des laissés pour compte plongés dans l'incertitude et le désespoir (contrebandiers, vétérans séparatistes, réfugiés, Jedi en fuite et autres victimes de la guerre) donne une dimension sociale à l’œuvre.