Steam, ce bouffeur de vie sociale.
Alors que j'accumule les jeux comme un connard de compulsif, je me dit qu'il serait temps de commencer à les doser. Petite liste recensant ma bibli Steam, mise à jour aléatoirement ou selon les jeux que je termine, parce que j'ai un peu la flemme d'archiver et noter les 300 et quelques titres direct ...
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créée il y a plus de 7 ans · modifiée il y a environ 2 moisSniper Elite V2 (2012)
Sortie : 4 mai 2012 (France). FPS, Action
Jeu sur Wii U, PC, Xbox 360, PlayStation 3
Swzn a mis 5/10.
Annotation :
J'sais plus d'où j'ai chopé le jeu, mais soit c'était gratuit pendant une opé spé, soit dans un humble bundle, parce que j'aurai jamais dépensé du fric pour ça.
Du coup, résultat ?
Bah bof. Je l'ai fini en 7 heures en difficulté maximale, autant dire que la durée de vie est à chier, mais je dois avouer que plusieurs passages m'ont donné envie de lancer ma souris à travers l'écran tellement c'était injustement dur.
On est ici dans un pur cas de difficulté buffée artificiellement, à base d'ennemis te repérant à 500km à travers la map, te touchant entre des obstacles sans faillir et tirant même à travers les murs quand ils se sentent chaud. Heureusement qu'ils sont cons comme leurs pieds, ça compense un peu avec leurs réactions inhumaines.
Ce qui fait que tu te retrouves parfois à recommencer dix fois le même passage parce que cette putain de sauvegarde auto t'as grillée au moment où un sniper ennemi te repère, mais finalement les ennemis décident de gogoliser pendant une des runs et tu peux passer tranquille en feintant leur I.A aussi mal branlée qu'un catégorie C de Salty Bet.
Après, les ennemis sont pas mal aidés par des scripts envahissants au possible, tu sais pas trop ce que le jeu veut, t'es censé être discret mais h24 t'as des putains de scripts empêchant toute discrétion parce que t'es obligé de te faire gauler, c'est l'arnaque.
L'histoire on s'en balek frère, tuer du nazi casser des cocos et exploser des V2, un peu le standard 2nd guerre. Niveau graphismes c'est pas dégueu, même si vaut mieux pas mater les arrière-plans, et que pour une raison inexpliquée les cinématiques provoquent des chutes de fps monstrueuses. La musique casse vite les couilles, je l'ai désactivée dès le tuto.
Il n'en reste que t'as un bon sentiment de puissance quand t'arrives à décoller un oeil de l'orbite de son propriétaire à 200 mètres de distance, et ça, c'est plutôt cool.
Furi (2016)
Sortie : 5 juillet 2016. Beat'em up, Shoot'em up, Inclassable
Jeu sur Nintendo Switch, Xbox One, PC, PlayStation 4
Swzn a mis 8/10.
Annotation :
Fini en 6:40, 171 morts, rang D, difficulté Furi pour le premier try.
Putain c'est quelque chose, je vais aller tâter du mode speedrun et de la difficulté max, et je reviendrai commenter la qualité de cette sodomie au verre pilé.
Fini en 1:45:43 en mode speedrun, putain le boss final est ATROCE BORDEL A CUL.
J'abandonne pour l'instant la difficulté Furier à The Scale, pour la simple et bonne raison que je ne vois strictement rien. Après avoir crevé une bonne cinquantaine de fois sur The Line à cause du orange sur orange, j'arrive tout simplement pas à voir le vert sur le vert. Autant en Furi ça passe vu que les patterns sont très simples, mais dès qu'il me sort ses murs, impossible de capter où ils commencent/finissent assez rapidement pour bien timer l'esquive (la dernière phase en devient limite impossible physiquement).
Sinon le jeu reste excellent. B-A mais de malade mental, graphismes bien stylés, nerveux, difficile, mes seuls vrais reproches étant le faible nombre de boss (bien que la difficulté Furier change complètement le rythme des combats vu les nouveaux patterns pétés) et surtout le game design d'un boss en particulier, The Line, que je trouve juste déplorable. Ce putain de vieux passif avec sa première phase de l'ennui le plus total, sa dernière phase de l'atrocité même, et ses phases du milieu interminablement merdiques, le pire étant de se retaper tout le combat à chaque mort. J'ai du me le faire entre cinquante et cent fois, et je hais ce boss de toute mon âme.
Alan Wake (2010)
Sortie : 14 mai 2010. Action-Aventure
Jeu sur PC, Xbox 360, Xbox One
Swzn a mis 6/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Alan Wake et moi, c'est un vraie relation amour-haine.
Amour pour l'ambiance, les références, toute la première partie du jeu quand la tension s'installe, et la démarche derrière le jeu.
Haine pour les terribles choix de game design, l'histoire finalement assez convenue, ainsi que toute la dernière partie du jeu quand les devs tirent sur la corde.
Quelle idée à la con d'avoir fournit des munitions illimitées aux ennemis, qui s'amusent à te lancer leurs serpettes à têtes chercheuses à plus de 300 mètres pour t'arracher un quart de vie par coup et faire stutter Alan, ce qui fait que les ennemis au Cac t'enchaînent le reste de la barre de vie en deux mouvements ptn.
Quelle idée à la con d'avoir seulement osé penser que tous les passages sur ces putains de ponts avec des objets possédés totalement bugués allaient être fun. Sans dec jsuis plus mort par rebond involontaire comme une bille dans un flipper que dans tout le reste du jeu.
Et puis le combo entre conduite ignoble, ennemis atroces, et objets pétés sur le dernier passage du retour a Cauldron Lake mais quel enfer.
Heureusement que le reste du jeu est cool, que la musique déboîte, que les émissions radios sont dignes d'un épisode de Nightvale, que l'on perd tout espoir à l'intérieur de la Zone X et que les Olds Gods Of Asgard nous lâchent un concert de tous les diables. Parce que d'un point de vue purement gameplay, ce jeu fait mal.
Homefront: The Revolution (2016)
Sortie : 20 mai 2016. FPS, Action
Jeu sur PC, PlayStation 4, Xbox One
Swzn a mis 4/10.
Annotation :
Alors bon, apparemment les devs ont fait un bon suivi du jeu après son lancement catastrophique mais franchement, l'opti est passée de désastreuse à merdique. Homefront est buggué jusqu'à la putain de moelle, entre les cinématiques pétées où les persos disparaissent, le fait que les ennemis te repèrent à travers les murs parce qu'un bout de ton perso dépasse des textures, l'IA catastrophique des alliés et des ennemis (compensée pour ces derniers par leurs ré-apparitions intensives et aléatoires, tu te tournes bim un nord-coréen pop dans ton dos, quand c'est pas carrément une patrouille ou un blindé, pires spawns de l'univers), et ainsi de suite.
Le scénario, c'est zéro, et vers la fin ça devient carrément bidesque dans l'incohérence et le cliché, sans compter le fait qu'ils arrivent à diminuer un gameplay déjà pauvre de base au fil de l'aventure en restreignant ta pseudo-liberté sous couvert de la narration. Même tes alliés ça leur brise les boules, et ils me l'ont montré quand tu dois escorter des lance-missiles dans Lombard, je me suis plus fait tuer par mes putains de potes de la résistance au volant de leurs jeep moisies que par les nord-coréens.
D'ailleurs parlons en de la difficulté, j'ai joué en difficile (juste avant suicidaire), et le fait que les types t'allongent en trois balles couplés à leur taux d'apparition rend ça bien daubé du cul. Mais j'ai vite arrêté de mourir quand j'ai compris que la discrétion ne fonctionnait de toute façon pas, et que l'animation d'exécution au corps à corps te rend invincible. En gros tu plonges dans les packs d'ennemis avec la carabine et le pompe, tu les one shot, quand ça pue tu fais une attaque au cac et à la sortie de l'animation tu te soignes, repeat, t'as gagné.
Et niveau DLCs, le premier "La voix de la liberté" on est plutôt dans la voix de la fragilité, déjà que dès que Walker parlait dans le jeu j'avais envie de le tuer mais là le fait de le jouer et le fait que certains ennemis aient le même doubleur par manque de budget c'est atroce. Avec ce premier pack de contenu ils ont été généreux, on a vingt minutes de jeu. Oui, ces connards ont détachése prologue de la campagne principale et l'ont vendu en DLC, j'en revenais pas quand je l'ai terminé j'ai du checker la page du magasin steam c'est vendu six boules sérieux le prix d'un grec et d'un coca en plus diarrhéique.
Le deuxième "Aftermath" c'est la même chose mais avec l'épilogue, quelque part niquez vos mères.
BioShock Remastered (2016)
Sortie : 16 septembre 2016. FPS, Action-Aventure
Jeu sur PC, PlayStation 4, Xbox One, Nintendo Switch
Annotation :
Autant le jeu de base est toujours aussi splendide, autant cette version est une chiure innommable. Alors ouais, c'est un peu plus joli, les textures sont plus fines, il n'en reste pas moins que c'est un remaster fainéant rempli de bugs à la con toujours pas corrigés depuis sa sortie.
Parce que merde, le jeu qui plante une fois sur quatre quand t'essaye de sauvegarder en effaçant EN PLUS tes dernières saves, voilà quoi, on s'en serait passé.
Au moins maintenant on a les succès sur pc, et rien que pour ça je me dois de le torcher à nouveau. Mais quelle plaie.
BioShock 2 Remastered (2016)
Sortie : 16 septembre 2016. FPS, Action-Aventure
Jeu sur PC, PlayStation 4, Xbox One, Nintendo Switch
Annotation :
Remaster tout aussi fainéant et mal branlé que le premier, y a un peu moins de crashs mais niveau bugs c'est la fête du slibard.
Entre les scripts qui ne fonctionnent qu'à moitié, les ennemis qui font n'importe quoi, les ragdolls en roue libre, je me suis bien marré. Mais bon, j'ai quand même eu droit de me retaper deux niveaux entiers à cause de crashs inexpliqués, a un moment un script de dialogue avec Eleanor a totalement pété et je me suis retrouvé avec un fov improbable (un peu comme si je jouais en 4:3 étiré dans un fisheye avec un filtre couleur en mode LSD party), parfois je pouvais acheter dans les distributeurs à travers les murs, dans la cinématique quand on retrouve Eleanor y a Lamb qui a dépop d'un coup juste après son animation (j'en ris encore putain, elle fait son speech et boum elle disparaît de ce plan de l'existence), et j'en passe et des meilleurs.
Heureusement que je l'ai eu gratos, parce que la bande de branlos derrière cette réédition ont juste foutu n'importe quoi.
BioShock 2 : L'Antre de Minerve (2010)
BioShock 2: Minerva's Den
Sortie : 1 septembre 2010 (France). FPS, Action-Aventure
Extension sur PC, PlayStation 3, PlayStation 4, Xbox 360, Xbox One
Swzn a mis 8/10.
Annotation :
Torché en difficile limite en speedrun tellement je traçais, ça fait du bien de retrouver les automatismes. La nouvelle arme est totalement fumée, notamment le tir secondaire explosif qui lave les protecteurs en 4 shots en difficile ; le nouveau plasmide est pété en mode piège, il bolosse même les grandes soeurs, la dernière je l'ai trap dans un loop infini de trous noirs entre deux lance-roquettes automatiques elle a pas tenu dix secondes.
La courbe de difficulté descend verticalement dès que t'as un brin d'équipement du coup, et le jeu est trop généreux sur les consommables, ce qui fait que tu deviens dieu sur terre très vite : tu peux aborder n'importe quel combat difficile une main dans le slibard.
A part ça c'est une belle promenade de 5h, l'histoire est qualitative et offre une bonne conclusion au jeu de base, et ça fait vraiment quelque chose de voir des zones de Rapture que j'avais jamais vu à l'époque.
State of Decay (2013)
Sortie : 5 novembre 2013. Action, Survie
Jeu sur PC, Xbox 360
Swzn a mis 5/10.
Annotation :
En six heures, j'ai délocalisé ma base deux fois, trouvé un spot OP, maxé ma limite de survivants, je leur ai filé des armes solides et je les ai entraînés, la quête principale a eu le temps de me faire chier, j'ai du détruire une bonne trentaine de voitures, subi au moins une centaine de bugs allant de passer à travers une maison au volant de mon pickup à enchaîner une horde d'infectés bloqués dans une fenêtre, les quêtes secondaires ont eu le temps de se répéter, de même que le gameplay a eu le temps de montrer ses limites, mon perso spé armes blanches et lance-grenade peut prendre des infestations tout seul comme un grand, en bref, j'ai eu l'impression d'en faire le tour.
J'y reviendrai sûrement jamais vu le nombre de jeux auxquels je dois jouer, et je pense sincèrement ne jamais toucher au deux qui a été annoncé y a pas longtemps, mais c'était six heures sympas.
PUBG: Battlegrounds (2017)
PlayerUnknown's Battlegrounds
Sortie : 20 décembre 2017. Action
Jeu sur PC, Xbox One, PlayStation 4, Android, iPad, iPhone, Streaming
Swzn a mis 7/10.
Annotation :
Netcode catastrophique, optimisation du fond du fion, mais c'est tellement mieux qu'H1Z1 putain. Je suis curieux de voir comment il va évoluer au fil des updates parce qu'il promet beaucoup ce très cher JEU DE LA BITE.
Reigns (2016)
Sortie : 10 août 2016. Jeu de cartes, Aventure, Simulation
Jeu sur Android, iPad, iPhone, PC, Mac, Linux, Nintendo Switch
Swzn a mis 6/10.
Annotation :
Comment foutre en l'air un royaume en ayant l'impression de matcher sur Tinder
80 Days (2014)
Sortie : 31 juillet 2014. Fiction interactive, Stratégie temps réel
Jeu sur iPhone, iPad, Android, PC, Mac, Nintendo Switch
Swzn a mis 4/10.
Annotation :
Heureusement que je l'ai eu dans un bundle, parce que j'ai fait une partie et je l'ai delete ; c'est un peu l'éloge de la chiantise en plus chiant. Le peu de gameplay présent est minable, et l'aspect livre dont vous êtes le héros bancal. Allez salut.
Gardons une pensée pour le mec l'ayant foutu dans son top 10 quand même, je lui tire mon chapeau : il a de toute évidence une force mentale supérieure à la mienne.
Tricky Towers (2016)
Sortie : 2 août 2016 (France). Action, Réflexion
Jeu sur Nintendo Switch, PlayStation 4, Xbox One, Linux, PC, Mac
Swzn a mis 6/10.
Annotation :
90 cts bien investis, merci Humble Bundle, grâce à eux on a un nouveau jeu pour départager le tirage des tâches ménagères dans la coloc.
Hard West (2015)
Sortie : 18 novembre 2015 (France). Stratégie tour par tour, RPG
Jeu sur Linux, Mac, PC, Nintendo Switch
Swzn a mis 3/10.
Annotation :
Hard West, c'est un peu l'histoire d'attentes déçues et de 5 euros foutus en l'air ; les combats sont d"un mou et d'un inintérêt stratégique hallucinant (Suffit d'avoir joué à Divinity ou Xcom pour se rendre compte à quel point y a du manque de talent derrière), les idées de gameplay sont quasiment toutes des fausses bonnes idées (la barre de luck et les rechargements d'armes incomplets qui étirent les affrontements à l'infini), putain le truc sur lequel je m'amusais le plus c'était les déplacements sur la carte du monde, c'est dire.
C'est après un combat obligatoire qui a duré une heure et quart, ou tu te retrouves seul avec une régén hp et luck de mongol contre trente ennemis stupides mais capables de tirer à travers les surfaces sur la moitié de la map, que j'ai désinstallé cette purge.
J'ai pas le temps de prendre le temps pour me faire mal, autant me caler les couilles dans un gaufrier, ça prend dix secondes et c'est plus agréable.
Cuphead (2017)
Sortie : 29 septembre 2017. Plateforme, Action, Shoot'em up
Jeu sur Xbox One, Nintendo Switch, PlayStation 4, PC, Mac
Swzn a mis 7/10.
Annotation :
C'est joli, y a de la bonne zik (qui devient néanmoins vite pète-couille quand tu retry un boss pour la cinquantième fois), et même si les esquives partent parfois malgré toi c'est bien maniable.
Par contre putain ce sentiment de désespoir face à certains boss, t'as l'impression que t'en verras jamais le bout vu le manque de feedback sur tes coups. Alors oui ça clignote un peu, mais quand tu pleures du sang sur une phase moisie du cul t'aimerais bien savoir quand le calvaire va se terminer. Mention spéciale à cette gorgone de mes deux qui m'aura bien tapé la moité de mes morts totales.
Ah, et le random dans les patterns ça devrait être interdit, notamment tout ce qui touche aux plateformes (c'est toi que je vise dragon de merde, et toi aussi abeille nulle).
Là je suis stoppé à King Dice, ça fait un bail que j'ai pas joué, j'ai plus les réflexes, et j'ai pas la force de m'y remettre vraiment vu que je m'amuse pas des masses dessus, du coup jsais pas si je le finirai un jour.
C'était marrant, mais pas aussi fun que j'espérais en fin de compte, dommage.
The Bureau: XCOM Declassified (2013)
Sortie : 23 août 2013 (France). Action, Tactique
Jeu sur PC, PlayStation 3, Xbox 360, Mac
Swzn a mis 3/10.
Annotation :
Je l'ai eu gratuit grâce à Humble, et j'ai quand même le sentiment de m'être fait flouer. J'y avais déjà un peu tâté sur ps3, en trouvant le jeu dans une brocante a cinq euros alors qu'il était sortie depuis une semaine, niveau indice sur la qualité du truc ça se pose là.
C'est vraiment mauvais. Toute la partie histoire est risible de nullité, d'un premier degré triste à pleurer, ce que des doubleurs aux fraises et une synchro labiale inexistante n'arrangent pas du tout.
Niveau gameplay c'est poussif, quand on sprinte on peut à peine tourner la caméra, le gunplay est mou du gland, les ennemis c'est des sacs à pv, les alliés ont une I.A dégueulasse et passent leur temps à se faire zouker en ignorant tes ordres au bout de dix secondes, putain c'est festif en difficulté max jvous dis pas.
Assassin's Creed Origins (2017)
Sortie : 27 octobre 2017. Action-Aventure
Jeu sur PC, PlayStation 4, Xbox One
Swzn a mis 6/10.
Annotation :
Il m'aura donc fallu 40 heures toutes piles en difficulté max pour venir à bout de la quête principale et de 70% des quêtes secondaires, avec le luxe de me taper un peu de papillonnage sur pas mal de points d'interrogations de la map.
Eh beh, c'était pas la joie.
Alors oui, c'était bien mieux que les dernières moutures de la série, toutes plus à chier les unes que les autres. Mais c'était pas pour autant génial.
Le gameplay est vraiment, vraiment pas fou. Les combats sont un peu mieux branlés : au lieu de masher un bouton t'en mashe deux. Tu te retrouves très vite avec des armes pétées de chez pétées, pareil niveau arbre de compétence, du coup ça se résume rapidement à abuser des sacs à pv à l'IA déficiente (combos épée-bouclier totalement craqué, tu stagger les ennemis et les reset entre deux attaques avant de les faire tomber et de leur foutre un effet genre feu ou hémorragie selon l'arme, juste n'importe quoi). Les armes autres que l'épée, c'est soit tout aussi monstrueux (la massue et ses one-shots improbables), soit un handicap pas possible (le sceptre du cul, qui joue avec cette merde sans déconner).
Après le reste c'est classique AC, je suis encore mort plein de fois à cause des approximations de l'escalade automatique, la discrétion est folle tu peux souffler dans les oreilles des gardes ils en bitent pas une, le cheval est possédé dès qu'il y a un peu de décor autour et les scripts n'en font littéralement qu'à leur bon vouloir (j'ai eu la totale, scripts qui se déclenchent avant leur quête, après, scripts qui se chevauchent, plantent ou encore qui ne se déclenchent pas)
Y a un gros problème de rythme également, le début est chiant, et plus t'avances mieux c'est avant de redevenir chiant à la toute fin. Les régions haut level sont les plus intéressantes, faut attendre le level 35 quand même pour tomber à Cyrène/Montagnes Vertes qui est juste la plus belle zone du jeu avec Memphis et le sud. L'histoire est à la fois prévisible dans sa globalité et chaotique dans son découpage, y a de sacrés problèmes dans les cuts de chapitres ou de cinématiques (Tout le build-up vers Rome c'est pas possible il manque des choses). Les personnages à part Aya et Bayek et Cléopâtre et César ils existent pas, et les quêtes secondaires c'est grosso merdo du copié-collé.
J'en ressors mitigé. C'est une avancée dans la bonne direction on va dire.
Slay the Spire (2019)
Sortie : 23 janvier 2019. Jeu de cartes, Roguelike/Roguelite
Jeu sur PlayStation 4, Nintendo Switch, Xbox One, PC, iPhone, iPad, Android
Swzn a mis 7/10.
Annotation :
Le concept est très bon, et ça fonctionne bien. Le seul réel problème c'est l'inconsistance des runs, mais bon c'est un peu le principe du rogue-like, sauf que là les tirages en early game peuvent bien souvent plomber ta partie, quand tu ne tombes pas juste contre un mob run-killer avec rien pour le contrer (ah les joies du random).
Y a déjà pas mal de cartes et d'items, un peu moins de monstres mais ça va, les graphismes par contre sont ... étranges ? On dirait un peu un bad trip sous paint avec parfois des fulgurances sur d'autres logiciels, y a un manque de cohérence certain.
Après le jeu devient débile quand tu commences à rentrer dans la spirale du deck pété et des items qui combotent avec. J'ai terminé ma deuxième run avec le guerrier en montant un blocage perpétuel à plus de 200 points et en pouvant frapper avec cette valeur, autant dire que j'ai roulé mon front sur le clavier jusqu'à la fin. J'ai eu un peu plus de mal avec la chasseuse, surtout parce que le jeu s'est plu à me donner des boss finaux run-killer qui me contraient parfaitement, genre l'escargot du temps qui devient plus puissant chaque fois qu'on joue des cartes alors que j'avais un deck ou j'écoulais trois mains en un tour, ou alors ces putains de donuts géants quand je jouais poison. J'ai finalement réussi avec un deck piffé du cul ou plus le combat s'éternisait, plus je gagnais en force et en dextérité jusqu'à atteindre des valeurs absolument indécentes d'attaque et de blocage sur les cartes les plus faibles.
En bref, c'est marrant et plein de promesses pour la suite du développement. C'est sûr que j'y reviendrai de temps en temps pour me faire une partie, et que je retournerai le saigner pendant 10 heures d'affilée à la sortie du prochain perso.
Edit : Bon j'en suis a 100 heures de jeu, ça devient un rituel de me faire mes deux runs quotidiennes en mode ascension. Toujours aussi plaisant de tester différentes manières de jouer, je stagne aux ascensions 5/6 pour les trois persos parce que j'optimise pas du tout mes decks mais je m'éclate bien, le seul vrai problème étant ces putains de runs killers, que ce soit des simples mobs contre qui ton deck va te faire perdre les trois-quarts de ta vie ou le boss de fin directement sélectionné pour counter ton jeu, faut serrer le fion et prier Rng jesus à chaque début de chapitre.
Condemned: Criminal Origins (2005)
Sortie : 2 décembre 2005 (France). FPS, Action, Survival horror
Jeu sur PC, Xbox 360, Xbox One
Swzn a mis 5/10.
Annotation :
Le jeu aux déplacements les plus poussifs et laborieux auquel j'ai jamais joué, c'est ouf. L'endurance qui disparaît en deux deux, le sprint aléatoire à la vitesse de croisière d'une tortue sous sédatif, le perso qui se bloque dans la moindre bosse du sol et qui slow comme un porc, la lenteur immonde lors des scripts, et surtout les putains d'escalier dans lesquels on a l'impression de faire du surplace.
J'ai fini le jeu en 5 heures en difficile, et à part quelques one shots illégaux de la part d'ennemis popant au pif avec des fusils dans les mains, le début c'est une promenade de santé. Puis y a un passage dans une piscine, et là c'est n'importe quoi.
Les ennemis qui n'ont pas d'armes se jettent sur toi et te saisissent, il faut secouer la souris pour les dégager, mais cette mécanique nulle est complètement bugguée et du coup ils te mettent la max à chaque prise. Si tu te fais choper deux fois en difficile, t'es mort. Y a genre une dizaine d'ennemis qui tombent sur toi, la moitié sans arme prêts à enchainer les chopes imparables, et pour couronner le tout le sol est en pente, du coup tu te déplaces comme si t'avais du ciment aux pompes. Quel putain d'enfer du cul.
Sinon y a des ennemis qui passent à travers les murs aléatoirement, une physique des corps improbables, l'allonge des armes qui n'a aucun sens (les ennemis te frappent souvent alors qu'ils sont clairement à deux kilomètres, pareil pour les parades, et n'oublions pas les enchaînement de certains mobs qui te forcent à prendre des dégâts après un coup parce que bien sûr tu ne peux pas parer dans les temps, ton perso est encore en train de se remettre de son élongation du bras).
Ok l'ambiance est sympa, par contre l'histoire ... Y a rien d'original, la fin est pourrie, et tout l'aspect enquête tu passes plus de temps à te battre avec la mauvaise volonté de tes appareils scientifique sur les scènes de crime qu'a écouter Rosa débiter son laïus au téléphone.
Déçu, parce que vu la réputation qu'il se taille, je m'attendais à du lourd.
Shadowrun Returns (2013)
Sortie : 25 juillet 2013. RPG, Stratégie tour par tour
Jeu sur PC, Mac, Linux, iPad, iPhone, Android, Xbox One, Nintendo Switch, PlayStation 4, PlayStation 5, Xbox Series X/S
Swzn a mis 5/10.
Annotation :
Tu peux jouer en roulant ton front sur le clavier même en difficile tant l'IA est mauvaise ; le seul facteur a prendre en compte c'est les énormes dégâts qu'elle peut parfois faire, mais bon, un peu de heal ou beaucoup d'esquive et tu torches le jeu en deux deux.
Mon perso c'était une elfe chaman, j'avais tellement d'esquive que même en plein découvert je prenais pas un pruneau, et avec mon fusil je mettais des triple critique à 500 mètres sur des types derrière des murs, donc bon j'ai vite relativisé et oublié mes sorts vu que de toute façon à part les barrières élémentaires pour maroufler l'IA y a que de la magie de merde.
L'histoire est linéaire et prévisible, y a aucun choix influent, même dans les dialogues les pnjs réagissent pas quand tu traites leurs mères et te débitent des phrases pour faire avancer les scénario. Les explications sur la matrice sont prises de tête pour rien, l'univers est un peu cool mais tu peux pas y faire grand chose à part aller de twist scénaristique prévisible en twist scénaristique prévisible.
J'espère que les suites sont meilleures.
Rise of the Tomb Raider (2015)
Sortie : 13 novembre 2015. Action-Aventure
Jeu sur Xbox 360, Xbox One, PC, PlayStation 4, Mac, Linux, Streaming
Swzn a mis 6/10.
Annotation :
Rolala, toute la fin du jeu est une purge sans nom, dommage parce que le début est bon, ça promet de belles choses, mais plus t'avances plus tu te fais chier. On passe de zones ouvertes à couloirs, de zones inspirées à zones quelconques, d'énigmes pour gosses de CM1 à énigmes niveau CP, d'ennemis cons à ennemis cons qui nécessitent trois cent balles dans le front pour crever.
Je préfère le premier reboot, parce que le deuxième là c'est un peu la même chose, que ce soit la structure narrative ou comment l'histoire influe sur les niveaux c'est pareil (rien qu'à voir la présentation des immortels et la grimpette de fin immortels vs soldat, gros sentiment de déjà vu) sauf que le scénar du premier, sans être goldé, était plus sympa.
Le gameplay est toujours aussi souple et ça c'est plaisant, tu peux enchaîner les têtes en deux-deux ce qui rend l'ak complètement fumée, contrairement au fusil à verrou, qui finalement s'avère être l'arme la plus inutile du jeu à moins d'être un gros maso. Y a pas beaucoup de nouveautés du côté des gadgets et leur utilisation reste contextuelle, si on était dans un Batman Arkham on pourrait par exemple utiliser les flèches à corde pour tirer les ennemis des hauteurs mais là non, faut les utiliser là ou c'est indiqué et c'est tout. Y a des quêtes secondaires aussi, petite nouveauté, et pour rester gentil le seul mérite qu'on peut leur trouver c'est d'exister.
Je l'ai terminé en 17 heures en papillonnant un peu difficulté survivant, au début t'as envie de choper tous les collectables mais ils ont tellement abusé sur la quantité que finalement tu laisses tomber. J'ai jamais eu de pic de difficulté ou de passages difficiles mis à part un moment, quand t'es sous la glace et que tu dois choper des ennemis avec leurs viseurs lasers dans des fumigènes, y a un gros buff artificiel de difficulté de bâtard vu que une fois spotté, l'IA se met à wallhack en te suivant à travers le sol comme des ptns de russes sur counter.
Sinon mes autres morts c'était 80% les contrôles de saut pendant l'escalade qui m'envoyaient aux fraises, grosse maniabilité clavier.
Ah, et le boss final est une vaste blague.
Rise of the Tomb Raider : Le Tombeau de Baba Yaga (2016)
Rise of the Tomb Raider - Baba Yaga: The Temple of the Witch
Sortie : janvier 2016. Action-Aventure
Extension sur PC, PlayStation 4, Xbox 360, Xbox One
Swzn a mis 2/10.
Annotation :
Ça commence bien, puis ça devient prévisible et inintéressant, en deux heures de contenu (et encore jsuis large) c'est fort, très fort. Je me disais trop que le DLC allait être cool avec une ambiance surnaturelle fantastique aux petits oignons, mais en fait non, ils te la mettent à l'envers dès le premier quart d'heure.
J'applaudis.
Metro 2033 Redux (2014)
Sortie : 28 août 2014. FPS
Jeu sur Nintendo Switch, PlayStation 4, Xbox One, PC, Mac, Linux
Swzn a mis 7/10.
Annotation :
Ambiance et univers au rendez-vous, par contre y a des passages très très chiants, notamment chaque fois qu'une horde de Nosalis débarque c'est un peu la mort du gameplay tellement tu mets ton cerveau de côté et tu t'efforces de gogoliser le peu de munitions que t'as pour pas te faire 2-shots illégalement.
Ça donne des scènes immersives au possible, du genre tu cours autour d'un poteau en spammant la touche A pour te soigner, pendant que cinquante Nosalis te traînent au cul et que tes alliés à la ramasse ne se font pas attaquer et touchent pas une bille.
Spéciale dédicace aussi au niveau de la bibliothèque et ses gorilles mongolos : chaque bestiole nécessite une quinzaine de balles de pompe pour crever, si t'es économe comme moi tu commences le niveau avec à peu près 80 balles, mais tu te rends vite compte que face à une centaine de bigfoot retardés mentaux vaut mieux courir jusqu'à la sortie en croisant les doigts pour pas se faire toucher parce qu'ils pardonnent pas, un pur plaisir de joueur.
Les ennemis humains ont un QI négatif, il leur arrive souvent de venir un par un sur ta position pour manger leur bastos dans la tronche, dès que t'es dans un coin vaguement sombre ils te repèrent pas même si t'es à un mètre d'eux, mais des fois roulez jeunesse ils aperçoivent un bout de ta chaussure à trois cent mètres et bam la zone entière vient te chercher pour te foutre une fessée.
Les mutants on en parle pas, ils sont partisans de la charge en ligne droite ou quand t'as le dos tourné, mais ils font super mal et ont souvent d'étrange bugs de déplacement qui les font se téléporter un peu comme s'ils lagguaient, faire des saltos arrières pour esquiver tes décharges de chevrotines ou traverser occasionnellement des bons gros murs en béton armé histoire de déconner.
A part ça, le scénario est loin d'être ouf mais l'ambiance est dingue, avec un casque sur les oreilles t'es à fond, surtout quand t'es avec Khan et qu'il te montre l'aspect paranormal du métro.
C'est loin d'être mauvais jeu, mais il a des côtés très frustrants qui empiètent pas mal sur ses qualités quand même.
Hitman (2016)
Sortie : 31 octobre 2016. Action-Aventure, Infiltration, Réflexion
Jeu sur PC, Mac, Linux, PlayStation 4, Xbox One, PlayStation 5, Xbox Series X/S
Swzn a mis 6/10.
Annotation :
J'avais pris en promo le jeu complet + dlcs pour dix boules si je me souviens bien, et c'est sympa. Bon ça casse pas trois pattes à un canard et je me suis emmerdé au bout d'un moment, mais je pense que c'est plus du à mes goûts qu'au jeu.
En tout cas ils se foutent pas de ta gueule niveau contenu, y a tellement de trucs à faire que quand tu navigues dans les sous-menus pour choisir ta mission ou ton contrat t'as l'impression que c'est infini. Big up aux escalades, si tu cherches à te faire du mal c'est ce qu'il te faut.
Je regrette juste l'IA extrêmement abusable tellement elle est prédictible.
Remember Me (2013)
Sortie : 7 juin 2013 (France). Action-Aventure, Beat'em up, Plateforme
Jeu sur Xbox 360, PlayStation 3, PC
Swzn a mis 5/10.
Annotation :
Torché en difficulté max en 9 heures, c'était une promenade de santé.
Longtemps que j'avais envie d'y jouer, je l'ai acheté à 5 euros pendant les soldes et pour le prix c'était rentable mais si je l'avais payé full tarif je pense j'aurais pas aimé.
Le seul vrai bon point du jeu c'est sa direction artistique simplement magnifique. Allez, et une certaine originalité dans l'univers.
Par contre l'histoire putain, avec Damasio et Beauverger derrière qui sont quand même deux poids lourds de l'imaginaire français je m'attendais à un bon truc, et absolument pas, c'est classique et cliché avec des retournement attendus des plombes à l'avance (le final no comment). Le truc dans l'écriture qui fait le café c'est le lore qui apparaît dans ton pda quand tu chopes des items collectables et les introductions des boss, celles-là sont vraiment tops, notamment pour l'abruti du tv show et madame de la bastille, c'est organique et bien intégré dans les niveaux qui mènent à eux.
Après le gameplay, leur système de combo est une vraie fausse bonne idée, tu vois vite que le plus rentable c'est de dédier un combo à chaque catégorie de Pressen (santé le plus long, dommage, recharge le plus court) et de bourrer comme un porc sinon en difficile, même si c'est permissif, tu passes pas les combats.
Du coup entre deux phases de combats chiants malgré l'effort qui est fait pour te fournir des ennemis à approcher de manière différente, bah tu t'emmerdes à escalader dans des couloirs, et c'est à peu près tout le gameplay du jeu.
Oubliable.
Beholder (2016)
Sortie : 9 novembre 2016. Aventure, Stratégie temps réel
Jeu sur PC, Mac, Linux, Android, iPhone, iPad, iPod, PlayStation 4, Xbox One, Nintendo Switch
Swzn a mis 5/10.
Annotation :
Le principe est cool mais on se fait vite chier honnêtement, après avoir fait chanter les 3/4 de mon immeuble pour leur extorquer tout leur pognon et les virer à coup de pied au cul j'ai commencé à tourner en rond et à bourrer le bouton d'avance rapide.
Je le relancerai peut-être un jour, mais bon.
The Escapists (2015)
Sortie : 13 février 2015. Stratégie temps réel, Simulation, Action
Jeu sur PC, Mac, Linux, PlayStation 4, Xbox One, Nintendo Switch, Android, iPad, iPhone
Swzn a mis 4/10.
Annotation :
C'est pas bien de juger au bout d'une heure de jeu, mais putain qu'est-ce qu'on s'emmerde, tu mashes A et E comme un retard pour faire des développé-couchés, l'ergonomie est dégueulasse rien que pour mettre un objet dans un container t'en chies ta race, c'est moche, au secours.
Tokyo 42 (2017)
Sortie : 31 mai 2017. Action, Jeu de tir, Infiltration
Jeu sur PlayStation 4, Xbox One, PC, iPhone, iPad
Swzn a mis 4/10.
Annotation :
Zéro feeling bordel.
Renowned Explorers: International Society (2015)
Sortie : 2 septembre 2015. Aventure, RPG, Stratégie tour par tour
Jeu sur PC, Mac, Linux
Annotation :
Parce que se taper une run de trois heures dans laquelle t'as démonté des gorilles géants, des pirates, des contrebandiers, des cultistes, des vampires, des loup-garous, t'as pillé les richesses de la moitié du monde connu, Dracula a rejoint ton équipe, t'as trouvé la main de Charlemagne, tout ça POUR TE FAIRE TUER COMME UNE MERDE AU DEBUT DE LA DERNIERE MAP PAR SIX CHATS QUI FOUTENT LE BORDEL DANS UN MAGASIN DE TAPIS, ça, ça n'a pas de prix les amis.
Ahh les rencontres aléatoires et les roguelikes avec permadeath, un plaisir sans fin.
Interplanetary (2015)
Sortie : 12 mai 2015. Stratégie tour par tour
Jeu sur Linux, Mac, PC
Swzn a mis 5/10.
Annotation :
Tu construis des bâtiments sur ta planète, la moitié c'est pour péter la gueule des adversaires, un quart pour se défendre, et un quart pour produire des ressources pour construire plus de chose pour péter la gueule des adversaires.
Y a un arbre des technologies, comme dans Civilization, j'ai cliqué partout en comprenant pas grand chose mais j'avais l'impression de faire des choses donc ça va.
La phase de bataille c'est plutôt rigolo, tu tires avec tes canons et tu croises les doigts pour que ça touche pendant que l'ordi, après avoir passé dix tours à se toucher dans son coin, se met à te zouker le fion façon mambo quand ses sept-cent ogives rasent tes villes sans que tes défenses réagissent.
Est-ce que c'était pertinent ? Non, mais c'était drôle.
Islanders (2019)
Sortie : 4 avril 2019. Stratégie temps réel, Gestion, City-builder
Jeu sur PC, Mac, Linux, PlayStation 4, Xbox One, Nintendo Switch
Swzn a mis 6/10.
Annotation :
Ce jeu parle à l'autiste qui sommeille en chacun de nous tant mécaniquement c'est basé sur la satisfaction intense d'un pauvre clic de souris au bon endroit.
Tu répètes ça en permanence, et toujours avec ce même plaisir, du coup tu peux passer des heures à baver devant ton écran en posant tes petites maisons pour un peu que tu te colles de la musique en fond.
Top.