Supers films vus cette année

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Sissy Spacek, aussi perturbée que dans Carrie, prend pour idole Shelley Duvall, qui est extravertie et pourtant ignorée aussi par ses autres collègues qui la laissent parler toute seule. Des séquences mentales incroyables.

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Damon et Casey Affleck perdu dans un bled de desert americain. La mélancolie du truc résonne assez fort, si on veut bien se laisser prendre au jeu des plans super longs.

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Une psychologue d'un département judiciaire pense qu'un accusé de meurtre simule sa double personnalité. C'est très virulent sur les séquelles psychologiques.

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Sur un chat collectif, deux internautes s'isolent sur un chat entre eux deux. Méga romantique, mais on est en 1996 et le support internet est très bien rendu.

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Jouissif, spectaculaire avec un pouvoir de l'amitié (virile à moustache) bien abusé. Beaucoup d'effets en pratiques et d'autres en cgi, c'est fou.

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Un escroc d'affaire poursuit une motarde et se retrouve dans un manoir avec des retraités du barreau, il se retrouve dans un jeu à l'ambiance à mi chemin entre Le limier et The Wicker man

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Flashback du passé, un garçon fugue en traversant le col d'une montagne et se retrouve mêlé au meurtre d'un laboureur avec une geisha suspectée. Drama Intense.

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Un jeune homme est pris en pitié par son oncle chef d'entreprise qui lui permet une place d'emballeur en chaine. L'homme gravit les échelons sociaux, professionnels et passionnels jusqu'à se confronter à un terrible choix de conscience. Un héros très marquant par sa noirceur. Un Montgomery Clift torturé, et pourtant l'acteur n'avait pas encore eu son accident de voiture.

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Un flic prend en filature un ado qu'il prévoit d'arrêter pour detention de joint. Le policier fait face à un dilemme de conscience et il dialogue dessus face son supérieur à travers quelques plans séquences oufs.

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Inspiré de l'affaire de Leopold et Loeb, les deux jeunes universitaires qui theorisent et accomplissent un crime parfait... ou pas ?
Le discours de Welles est fort de nuance sans forcer l'empathie ni se contenter de dire que c'est "la faute de la société"

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Thriller enquête urbain. Un sheriff suspecte son père sheriff acclamé d'avoir tué son supérieur sheriff tortionnaire il y a plus de 20 ans.

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Un professeur demissionne et prend séjour, il croise le chemin d'un bandit. Les personnages ne sont jamais ceux qe l'on croit, Gian Maria Volonté est stupéfiant dans son évolution et Thomas Milan est fidèle à son charisme avec sa perruque (?) fabulous assumée.

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Accident de métro, mari et père endeuillé, hypothèse de complot. Quand le grand dur endeuillé Mads Mikkelsen croise la route de statisticiens un peu guignols complotistes

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Le petit chaperon rouge terroriste et la brigade sécurité sociale de "loups" à sa poursuite. Animation au top.

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Herzog remonte la masse de documents vidéos journal intime filmé par un passionné des ours idéaliste rejeté qui a vécu autour d'eux, jusqu'à finir bouffé.

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Herzog interviewe un condamné à mort de 19 ans qui a tué une femme au foyer chez elle pour voler sa voiture. Il interviewe aussi la famille des victimes. Terrifiant.

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Herzog encore et toujours qui filme des images de dingues sur une extraction de pétrole. Ça brûle de partout, ça souffle de partout, y a des plans hélicoptère de paysage démentiel. On se sent minuscule devant tout ça et on déprime sévère.

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L'acteur Boris Karloff prend sa retraite (son perso a un autre nom dedans mais nous 'e sommes pas dupe), un réalisateur le veut dans un film. Pendant ce temps, un autre homme cède lentement à une sorte de folie, lequel il croisera sa route.

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Un homme en prison pour un hold up raté se fait larguer par sa femme. Le désir de vengeance lui fait perdre les pédales, il s'évade avec un compère.
Oliver Reed au top de son aura.

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Enquête sur des officiers de la Corée du sud et du Nord avec meurtre. Une profonde histoire d'amitié et de trahison derrière tout ça, la mise en scène de PCW est juste de fou.

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Collision entre des délinquants et un couple de haute société.
Ça part dans un trip visuel psycho hyper bien fichu sans compromis.

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Bob Hoskins est impérial en gangster d'affaire britannique au sang chaud qui reçoit des compères américains très froid (non je n'ai pas mélangé les nationalités vous avez bien lu)
Sauf que des assassins foutent la pagaille et la mort dans les affaires d Hoskins. On reconnaîtra un Pierce Brosman tout jeune qui campe très bien son perso d'assassin mystérieux qui ne pipe pas grand chose

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Il y a l'odeur d'un lynchage passé dans une petite ville, mais on ne la fait pas à Spencer Tracy qui débarque pour enquêter personnellement. Même manchot, l'étranger se fait respecter mais il se fait aussi des ennemis...

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Milieu d'affaires et de magouilles d'un patron propriétaire d'un bar à spectacle qui lutte pour se maintenir au-dessus des flots. Ben Gazzara brille et c'est envoûtant ces spectacles et ce montage des dialogues et de l'action typique de Cassavetes.

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Histoire de vampires survival collectif avec un jeunot bien mis dans le pétrin. Aujourd'hui les sentiers sont battus dessus, mais c'est vraiment très bien fichu. (rimes)

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Certes c'est Rohmer mais il y a des ambitions stylistiques de reproductions de tableaux assez Barry Lyndonesque, le tout sur une intrigue assez... perturbante.
Une fille d'une riche famille est sauvée des brigands par un prince charmant. Nous avons une scène plus tard où le sauveur observe la demoiselle en proie d'un cauchemar dans son lit. Devinez le souci qui se passe quelques mois plus tard.

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Marylin Monroe a un rôle très fascinant de femme fatale avec un récit de vengeance très noir. Le film est plus profond que sa stratégie de marketing (et Blonde qui en parle un peu de ce film est plus intéressé par sa récupération publicitaire du que par les thèmes du film)

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Pas forcément le Romero le plus abouti, mais ça force le respect, c'est très mental, c'est très essouflant et ça met très en alerte sur la situation précaire des personnes âgées.
Un vieil homme souffre de discrimination sur son âge lors d'une fête foraine.

Si vous avez besoin d'angoisser encore plus de vieillir, ce film est fait pour vous.