Top 10 Albums selon Xavier rt

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Ensuite, dans l'oeuvre d'Hendrix, Electric Ladyland... mais : Live Mauï, Woodstock, Isle of Wight, Denver, Live at L. A. Forum 1969 et 1970, San Diego, etc.

Live at the Fillmore complète Band of Gypsys : plusieurs shows un même soir (et matin) entre le 31 décembre et le 1er janvier 1970.

Seul Hendrix pouvait donner un tel spectacle où l'improvisation (plusieurs versions des mêmes titres) constante donne une idée de son génie.

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Incontournable avec, évidemment, Don Juan et La Flûte enchantée !

Plusieurs interprétations à considérer : Solti, Karajan, Boehm, Marriner, Harnoncourt, J. E. Gardiner, pour ne nommer que celles-là, toutes au sommet.

Ensuite "Don Giovanni" (avec Giulini en priorité, ensuite Furtwängler, Gardiner, Krips), "La flûte enchantée" (Karajan, Klemperer, Solti, il y a Beecham 1937 avec une ambiance survoltée mais l'enregistrement date)

et "Cosi fan tutte" (Karl Boehm 1962, Guido Cantelli 1956, Karajan 1954).

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Tous les connaisseurs s'entendent sur l'importance de ce premier disque. Il y a Live at London Lyceum, disque très rare (bootleg) enregistré juste peu avant la sortie du Zeppelin II. Enfin, les trois premiers m'apparaissent comme étant la crème !

Mais le premier apparaît, vu le contexte de l'époque, comme quelque chose de totalement nouveau et original. Le son de la Lespaul tel que mis en valeur par Page vaut le détour. L'inspiration demeure constante, créant une ambiance très particulière, à la fois intime et teintée par quelque chose d'indéfinissable (Dazed and Confused). Les blues de l'album sont d'une rare perfection et d'une indiscutable beauté.

Évidemment, il y a l'indispensable et légendaire Led Zeppelin II. Le "Presence" est aussi à considérer, surtout pour le blues...

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On ne peut passer à côté de cet album pour connaître Zappa : l'un des meilleurs avec Freak Out ! Il y a comme titres : Peaches in regalia, Gumbo variations, Little ombrellas, It mus be a camel et autres tout aussi géniaux !

Autres albums : Absolutely Free, Apostrophe, Chunga's Revenge, 200 Motels, Joe's Garage, et la liste pourrait s'allonger.

Le pianiste virtuose Marc-André Hamelin aimait aussi Studio Tan de Zappa.

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Avec Kid A et OK Computer...

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Barenboïm deuxième intégrale. La première était aussi un grand cru avec l'orchestre symphonique de Berlin.

Mais Karajan 1963 et 1977 demeurent des références ! Furtwängler demeure toutefois le chef d'orchestre qui m'apparaît comme le plus inspiré dans ce répertoire, mais les enregistrements sont des années '40 et début '50.

Évidemment, mon classement est pêle-mêle ! car il faut s'incliner devant les trois grands qu'étaient Mozart, Bach et Beethoven et rien ne saurait venir avant eux en raison de l'immensité, de la profondeur, de la complexité de leur oeuvre.

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Furwängler est l'un des plus grands chefs d'orchestre de tous les temps, voire même le plus grand. Il excellait particulièrement dans le répertoire beethovénien.

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Glenn Gould dans Bach : les Goldberg Variations de 1955 et 1981 !

Ensuite : Le Clavier bien tempéré.

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Le Concerto pour violon est d'une difficulté incroyable mais extrêmement émouvante !

Nathan Milstein, Julia Fisher, David Oîstrakh sont mes préférés.

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Beau, bon et pas cher, vous en avez pour votre argent ! C'est "tout" Tchaïkovsky... et les interprétations ne laissent pas à désirer, au contraire !

Pour les symphonies : Euvgeny Mravinsky avec l'Orchestre Symphonique de Leningrad (Philips) ! et ensuite Herbert von Karajan chez DG.

L'intégrale de Mozart (170 disque, Brilliant, se vendait en 2012 pour 99 dollars seulement).

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L'intégrale Teldec est de haut niveau : c'est tout Bach, ensuite il y a celle de Brilliant, moins bonne dans les cantates, mais tout de même d'un bon niveau, et celle de Rilling.

Pour l'oeuvre d'orgue : Michel Chapuis, André Isoir, Marie-Claire Alain, Bernard Focrouille, Helmut Walcha sont les meilleurs. D'autres : Lionel Rogg, Hans Fagius, Simon Preston peuvent aussi faire l'affaire, encore que le niveau demeure moindre.

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Les Borodin excellent dans ce répertoire. Ils ont joué le huitième quatuor à la demeure du compositeur ; ce dernier s'était effondré en larmes lors de l'audition. D'autres quatuors ont aussi bien performé : Danel, Fitzwilliam, Emerson, Razumovsky, Beethoven, Pacifica, Shostakovitch, etc.

Pour l'intégrale des symphonies : Haitink et Kondrashine en premier choix, ensuite Vassily Petrenko, Mariss Janson, Rudolf Barshaï, Rostropovitch (à un degré moindre).

Mais il ne faudrait pas oublier l'imposante Huitième symphonie avec Kondrashin ainsi que Mravinsky au pupitre ! Il y aussi Petrenko, Haitink qui demeurent aussi au sommet.

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Les quatuors de Mozart son d'une fluidité sans pareille, se déguste avec une rasade de scotch 12 ou 18 ans ! Pourtant, les quatuors dédiés à Haydn ont nécessité beaucoup d'efforts selon les dires de Mozart lui-même.

Amadeus, Mosaïque, Melos, Juilliard et Talich excellent dans ce répertoire. J'aime bien aussi, pour les quintettes, les Talich.

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Incontournable dans l'oeuvre de Wagner ! Outre l'interprétation majestueuse de Solti, il y a celle "plus nerveuse" et savamment orchestrée de Karajan, et celles de Hans Knappersbush, de Barenboïm, et plus récente de V. Gergiev.

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Le Ring de Wagner avec Solti est un must ! Mais d'autres interprétations sont à considérer : Furwängler (deux intégrales), Boehm, Karajan, Barenboïm, Levine, Krauss, entre autres.

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Deux intégrales ont été produites par Bernstein : avec CBS 1970 et ensuite avec DG : cette dernière l'emporte.

Il y a Tennsdedt, Boulez, Haitink Inbal, Chailly et autres. La deuxième symphonie demeure la plus populaire.

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Les Vegh, Julliard, Tatraï et Emerson s'imposent dans ce répertoire peu connu !

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Point tournant dans l'oeuvre de Miles Davis. Bitches Brew, Tutu, Get up with it, Live at Isle of Wight, Live at the Fillmore, Tribute to Jack Johnson (avec McLaughlin !), bref, tout Miles Davis est à considérer. Incontournable avec les Monk, R. Kirk et autres.

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Trois grands de la guitare ! mais avec Al Di Meola et Paco de Lucia : trio infernal !

McLaughlin est celui qui inspire et coordonne en quelque sorte cette performance.

Dans les cd : Shakti est excellent, mais Birds of Fire et The Inner Mounting Flame demeurent des musts avec Billy Cobahm à la batterie... Rappelons que McLaughlin et Cobahm faisaient parti de l'orchestre de Miles Davis dans Tribute to Jack Johnson (1972).

Enfin, un disque pirate, rarissime (1969) d'un jam de McLaughlin et de Hendrix est à écouter.

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Le Messie avec Harnoncourt, Gardiner ou Christie, ou pour une interprétation plus traditionnelle : Colin Davis.

Les Concerti Grossi avec Yuli Turovsky, ou I Musici, font la "job" !

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Innombrables sont les interprétations, mais Pierre Fournier, Janos Starker, Ophélien Gaillard, Anner Byslma, Bruno Cocset, Pieter Wispelwey, Querras, Sergeo Ostomin sont à considérer.

Mon choix no 1 demeure Pierre Fournier.

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Avec la Scala de Milan, c'est un must ! Il ne faut oublier les enregistrements de Solti, de Giulini...

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Une interprétation légendaire !

Avec Pavarotti et Freni, mais en prime : Karajan au pupitre !

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I Musici dirité par Yuli Turovski ! Mais d'autres interprétations sont aussi à considérer : Avison Ensemble, Orpheus, Aradia, Antonini, Hambourg Soloists, Yehudi Menuhin (Festival de Bath), Trevor Pinnock (English Concert), Harnoncourt (Concentus de Vienne) et Christopher Hogwood.

Mais Turovsky demeure, à mon humble avis, la meilleure et la plus aboutie !

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Karajan au pupitre !!! Une des meilleures interprétations de la 9e qu'il faut mettre au sommet. Celle-ci date de 1983, mais il y a celle de 1947 qui est aussi excellente, et surtout de 1977.

Évidemment, il y a Furtwängler 1951, 1942, Karl Boehm, peu avant sa mort, en 1981 en a gravé une qui fait autorité. Gardiner et Harnoncourt, plus contemporains (mouvement baroque) avec d'autres comme Hogwood sont aussi à considérer. Une que j'aime aussi est l'interprétation de Friscay.

Plus récemment, Claudio Abbado, avec l'Orchestre Philharmonique de Berlin (1996) donne une interprétation de haut vol.

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Brahms : il faut posséder ces quatre symphonies : Karajan, Boult, Abbado, Klemperer et Szell sont les meilleurs chefs dans ce répertoire.

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Trois intégrales des symphonies dans Brückner : Jochum, Barenboïm, Wand.

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Il faut connaître l'apport génial d'un compositeur comme Stravinsky, mais surtout avec un chef d'orchestre légendaire au pupitre !