Top 10 Albums selon OuaZz

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Parce que c'est sûrement l'album qui m'a fait devenir un véritable vampire assoiffé de musique. Parce que j'ai découvert le rock alternatif avec lui ; ce qui, je dois l'avouer, a agréablement changé ma vie.

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Parce que quand ça va pas terrible je matte le live sur YouTube et qu'ensuite tout va mieux. Nirvana c'est mon ordonnance de moi à moi-même, mon Doliprane.

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Parce que la musique de Bowie a cette force génial de nous donner l'envie de croire en nos rêves, même les plus fous (surtout eux, en fait). Sa fantaisie est contagieuse.

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Parce qu'écouter cet album, c'est c'est se laisser bercer entre la douceur et l'accalmie. Selon ses passages, ce petit diable se montre beau, triste, puissant, intime ou sale. Will Toledo a le talent de la simplicité. J'ai une grande affection pour les artistes qui savent laisser trainer leurs morceaux (sans nous ennuyer).

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Parce que c'est un monument. Parce que c'est un disque chargé d'espoir, d'amour et d'amitié. Parce qu'il incarne à merveille les contradictions d'une jeunesse partagée entre mélancolie et espoir, lyrisme et épique, accablement et euphorie, nuit et jour.

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Pour l'entièreté de cette saga étoilée. J'ai un petit faible pour l'OST de L'attaque des Clones, où on y retrouve un Williams romantique et bouleversant. De même pour sa conclusion (IX) boudée que je trouve formidable, perso.

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Parce que j'ai rarement écouté un cauchemar aussi beau. Parce qu'il y a un paradoxe à voir notre désarroi devenir remède à l'apathie et aux tourments. Parce que cet album réussit le miracle d'attraper un bout de lumière dans le noir.

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Parce qu'il faut l'écouter les soirs de pluie ou d'insomnie. Parce que j'adore les BO qui superposent des passages de leur film pour raviver nos souvenirs.

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Parce que le pouls de la musique des Strokes est étincelant et que leurs chansons ont été l'idole de toute une génération d'adolescents ne voulant jamais grandir, et qui n'a jamais eu mieux à faire que de perdre son temps de la plus belle des manière : jouer aux jeux vidéos et écouter de la musique toute la journée.

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Parce que peu de BO parviennent le miracle d'être aussi immersives. Akira Yamaoka produit un travail d'orfèvre. Entre les musiques aux ambiances brumeuses, les sons aux expérimentations digne d'un cauchemar et les morceaux dans un pur style rock, la richesse de cet album est vertigineuse. Des thèmes simples mais mélodieux qui restent en tête.

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Parce qu'il s'agit de l'album qui aura su au mieux écouter mon adolescence, de mettre des mots sur mon hyperactivité et apaiser cette petite boule de feu qui pouvait souvent me ronger le ventre. Merci Nirvana 🙏

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Parce que Toledo nous emmène faire un tour sur les routes de notre adolescence en enchaînant les morceaux aux éclats palpitants et incisifs. Teens of Denial nous offre des balades languissantes aux mélodies rêches, fragiles et grondantes. C'est beau, pur et foutrement sincère. Du song-writing tout en finesse et envolé.

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Parce que la magie existe et que cet album en est la preuve.

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Parce que c'est l'album de la relaxation qui vous confère un effet d'apesanteur instantané.

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Parce que la mélancolie, comme le disait Victor Hugo, c'est le plaisir d'être triste.

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Parce qu'il nous apprend à voler (comme Peter Pan) à dos de vélo volant.

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Parce que Souvlaki c'est : une batterie fatiguée, des ambiances envoûtante et une voix remplie de pluie et d'éclairs. Ils réussissent à chaque fois le miracle de créer des morceaux tout à la fois glaçant et chaleureux. Quel groupe peut se targuer d'avoir aussi bien capté le sentiment incertain et brumeux de l'adolescence ?

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Parce que derrière l'insouciance et la candeur des compositions de Toledo se cache une rage poétique. Un petit OVNI pas facile à dompter mais qui réserve au plus téméraire un fabuleux voyage sonore, une petite odyssée qui chaque fois, à le pouvoir de me projeter à des milliers de mètres au-dessus de mon lit.

Autre chose qui m'a marqué dans ce disque, c'est sa pochette, sublime, qui vise à l'épure et m'évoque une forme de mélancolie sereine et de solitude qui, étrangement, est assez apaisante. Peut-être parce que ce petit bonhomme dans sa tenue de cosmonaute me rappelle celui du Petit Prince tombé de sa planète ? Sûrement.

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Parce qu'au-delà d'être un grand réalisateur, Carpenter est aussi un grand compositeur. Tous ces thèmes perdues sont autant de fantasmes cinématographiques qu'il nous offre de réaliser nous-mêmes sur son plateau de tournage préféré : nos cauchemars.

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Pour les trois premiers volets composés par Williams. Même si la suite se défend bien, surtout les compos de Hooper. Un petit coup de baguette magique en fond sonore qui m'aide bien souvent à trouver l'inspiration.

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Parce que nos petites histoires font leurs grandes chansons. Parce que ce groupe a le talent extraordinaire de composer des chansons mélancoliques qui donnent le sourire.

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Parce que mon amour pour Radiohead s'étend jusqu'au bout des ongles, et que cet album, je l'ai rongé à m'en faire saigner les doigts.

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Parce que je trouve ça tellement drôle, inventif et inspirant. Entre comédie musicale et stand-up. J'adore ce mec, putain.

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Parce qu'il s'agit d'un petit vaisseau lancé à pleine vitesse dans la nuit, nous envoyant doucement promener dans les étoiles avant qu'elles n'implosent avec rage.

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Parce que l'appel de l'aventure est avant tout une question de musique ! Rarement un blockbuster aura été aussi bien accompagné. Williams & Spielberg, le couple le plus complice du cinéma. En une note, le ton et l'univers sont déjà posés.

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Parce que dans cette compilation d'éclairs en bouteille, les Smiths parviennent magnifiquement à mettre des mots sur le spleen de l'adolescence.

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Parce que ce groupe a un talent unique pour composer des architectures musicales ahurissantes et foutrement belles. La voix de Mark Hollis est celle d'un ange. À son écoute, on se surprend à voir nos pieds s'élever de quelques centimètres dans le vide.

Annotation :

Parce que l'avant-garde des Velvet a su influencer des centaines d'artistes au travers des décennies qui suivirent, en commençant par mon petit chouchou : Bowie. Une musique quasi garage qui déjoue les attentes de l'époque en peignant des morceaux à l'aura plus tourmenté et mélancolique que son prédécesseur. Disque du malaise urbain et de l'aliénation de son leader qui nous offre son cœur avec une émouvante sincérité ❤️

Annotation :

Parce que si la musique pouvait être traduite en shonen, cet album serait sans conteste un Genki Dama. Se plonger dans des morceaux de plus de 20mn a quelque chose d'assez sensorielle. On a l'impression d'enfiler un casque d'astronaute et de décoller assez loin.

Annotation :

Parce qu'elle réchauffe quand il fait trop froid. Et qu'on peut l'écouter à Noël comme Halloween !