Top 10 Films selon LeilaDuchet

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Choose life, choose tv, choose a job. A wife, a house, children, dinners in Mcdo, sports, love, et bien d'autre chose encore qui définiraient la vie. Et toi, est-ce que t'as choisi la vie? Est-ce que ça vaut la peine de la choisir? Quand on a l'héro, comme ces p'tits junkies de Renton ou Spud, non.

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Un film qui mêle de manière incroyable trois petites histoires de délinquants, de drogues, tu sais tout ça. Le tout accompagné de délicieuses musiques de Chuck Berry, de notre cher John Travolta mais surtout... la belle la rebelle la camée la dégénérée... l'incroyable Mia Wallace dont les pas de danse me font tourner le corps,la tête et l'esprit, dès que j'entend simplement Girl.... you'll be a woman soon.

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Le malsain s'intègre dans l'art pour le rendre encore plus beau et époustouflant. Ce sourire machiavélique et ce regard perçant qui finit par te rendre amoureux du mal. Le mal tient parlons en. Le mal, le laid, le monstrueux que l'on trouve dans les films atroces qu'est contraint de voir Alex, mêlés à la douce et géniale neuvième symphonie du grand Ludwig Van Beethoven. Un mélange terrible pour un admirateur de ce compositeur, qui le torturera d'une manière indicible . Car même les plus grands criminels, se révèlent des sensibilités plus grandes que le commun des mortels. L'hyper-sensiblité serait donc un facteur du crime? De la folie?
Quand on aime faire souffrir c'est que d'autre part on aime ce qui est extrême, donc on aime fort.
Tu prendrais bien un Drinkrom, breuvage de l'ultraviolence, pendant le visionnage d'Orange mécanique?

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Un bouleversement du début à la fin. Where is my mind?Cette mélodie des Pixies établit ci bien le trouble de ce pauvre gars emprisonné dans sa routine et qui après la rencontre de celui qu'il aimerait tant être, a tous les mérites de se poser cette question. Des personnages entiers et contraires, et la violence. La violence mieux que n'importe quel remède ou drogue pour survivre. Et ne pas se tirer une balle. Le meilleur remède vraiment?

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Très complexe et surprenant jusqu'au bout. Ma passion pour les troubles mentaux en a d'autant plus frémis de plaisir après le visionnage de ce film. Si bien qu'il m'était difficile de comprendre sur la fin qui était le fou. Un film qui a l'art de maîtriser les illusions, les hallucinations de l'esprit humain. On en vient même à se demander si le fou, ce n'est pas finalement le monde.

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Quand le chef d'oeuvre de Madame Bovary est repris en film mais pas totalement. Luchini, toujours aussi grandiose dans le fait que c'est justement quand il joue qu'il ne joue pas, se fait aussi passer pour un fou de temps à autre. Mon obsession envers la folie persiste donc toujours. Comme disait ce dernier d'ailleurs, le caractère incroyable de Madame Bovary, est qu'il ne se passe rien -d'extraordinaire du moins- et pourtant il se passe tant de choses... Une femme déçue de son mariage s'ennuyant à mourir tentant de retrouver son bonheur d'antan dans l'adultère. Ce film retrace ces aspects d'une façon telle que ceux qui n'ont pas aimé le chef d'oeuvre de Flaubert devrait voir ce film afin d'éventuellement apprécier le roman par la suite.

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La vie ou la mort? Faites votre choix. La réponse paraît évidente pourtant des comportements de nombreux humains poussent à penser que certains ne choisissent pas la vie. Un tueur en série impose de nombreuses tortures à ces victimes mais...jusqu'à quel stade les Hommes sont-il prêt à souffrir pour rester en vie? Est-on vraiment prêt à réaliser les pires atrocités pour daigner respirer et accomplir quelques actes routiniers encore quelques années? Ou ces épreuves traumatisantes donnent-elles une nouvelle vision de la vie, chose précieuse mais qui s'envole si vite à la moindre imprudence? Tant de questions qui ont surgit dans mon esprit après avoir vu le film d'horreur le plus poignant et psychologique dont je me souvienne.

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L'univers burtonien me fascine depuis un long moment déjà, mais ce film est sans doute celui qui m'a le plus marqué. La maîtrise de la technique du stop motion y est pour beaucoup. Ces mouvements saccadés mais en même temps si vivants ne cessent d'ajouter caractère et horreur à l'ambiance cauchemardesque et pourtant si poétique que Tim Burton arrive si bien à réaliser. Oui poétique, car ce film est avant tout inspiré d'un des poèmes de Poe. Une raison de plus qui m'a fait adorer ce film. On comprend bien pourquoi Marilyn Manson reprendra la célèbre chanson du film nommée "This is Halloween" quelques années plus tard. Ce film c'est aussi la mise en relation de deux mondes antithétiques, pour créer quelque chose de nouveau. Car c'est en allant vers ce qui est différent qu'on sort de sa routine et qu'on évolue. Un éloge de la différence peut-être.

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Hemm alors un film avec David Bowie en personnage principal rend mon jugement d'autant plus subjectif. Parce que cet artiste était aussi bon acteur que chanteur tout simplement, et que le personnage qu'il joue complète encore l'univers déjanté de Bowie. Ce dernier joue Jareth, un personnage androgyne, extravagant, attachant et fascinant à l'instar des alter ego d'antan tels que Ziggy ou le Thin White Duke. Le tout dans un univers fantastique, que certains pourraient trouver cliché voir vieillot mais qui reprend des éléments traditionnels du conte et de la sf tout en inspirant les films fantastiques à suivre, notamment avec le thème du Labyrinthe que l'on retrouvera dans de nombreuses autres oeuvres. Labyrinthe, symbole de mystère, de jeu, d'angoisse et de perdition a été un thème très bien exploité dans ce film.

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Comment passer à coté de cette incroyable caricature, d'autant plus fascinante qu'elle est telle une boule de cristal narrant l'avenir d'une future Europe dévastée par le nazisme. C'est la vie qui imite l'art, et non plus l'inverse. Une anticipation géniale et effrayante: si certains ont pu l'imaginer, comment d'autres ont-ils pu se laisser surprendre par ce monstrueux ouragan de croix gammées? Charlie Chaplin un acteur toujours aussi attachant, loufoque et amusant, même de nombreuses décennies passées. Les horreurs du monde permettent pourtant la créations de merveilles...

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Psychose c'est l'art de te rendre totalement psychotique et paranoïaque simplement avec des musiques pesantes et angoissantes au moment où il faut, et avec un suspense totalement maîtrisé du début à la fin. A tel point que je ressentais un certain stress pendant un moment quand il était question de prendre ma douche alors que j'étais seule chez moi. En bref, la totale maîtrise de l'horreur et du thriller se trouve ici, et nul besoin d'effets spéciaux pour faire frissonner. L'horreur presque au naturel.

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Quand le glauque s'invite dans l'animation ça donne toujours quelque chose d'effroyablement excitant. Le suicide, la mort qui se commercialise, se banalise, on irait dans ce magasin comme on irait chez le primeur d'en face. Peut-être est-ce une façon de dire que la mort fait tout aussi bien partie de la vie que n'importe quel élément du quotidien. Peut-être peut on également trouver une volonté de sortir la mort de l'ombre, celle -ci n'est plus marginalisée, elle n'effraie plus . Un film bouleversant où l'humour noir ne cesse de teinter ce long métrage d'une ambiance aussi macabre que grotesque. La mort c'est peut être pas ce qu'il y'a de plus grave après tout?

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L'un des premiers films qui me soient réellement restés en mémoire. En même temps je commençais à plonger dans le rock à l'époque où je l'ai vu. Ce film te transporte dans les débuts du rock, à l'époque où ces premiers riffs endiablés des Stones et des Doors raisonnaient comme des bombes de débauche et de hantise pour ceux de la génération d'avant guerre. Des armes donc, prétendues si dangereuses qu'elles en ont été interdites. Mais une solution est mise en place dans ce film: les eaux internationales permettant de diffuser ses mélodies révolutionnaires à travers le monde. Car le rock c'est avant tout un combat, un désir inouï de liberté, d'excès mais aussi de passion. Et c'est ce qu'a très bien exprimé ce film, tout en ajoutant un humour déjanté qui te donne follement envie de plonger dans cet univers si tu n'y a pas au moins fait trempette dans les heures perdues de ton adolescence.

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Comment ne pas craquer? C'est bien compliquer de savoir la réponse. Ce film nous propos une solution: le détachement. De tout. Oh ça ne veut pas dire ne plus vivre au contraire. C'est juste, comment dire...prendre du recul de manière assez poussée.

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Juste waw ce film. Déjà quand ça se passe dans un HP je frétille mais quand c'est joué par Jack Nicholson et que les scènes sont toutes plus marquantes les unes que les autres je ehhfergnblbllblbl. J'aime ce film