Top 10 Films selon Neige

Annotation :

Bonjour j'ai 6 ans et le film passe à la TV, tranquille. Je ne comprends pas grand-chose au scénario si ce n'est que, BON SANG DE BOIS, les gamins ils vont se faire bouffer par le T-rex là !
Pratiquement 20 ans plus tard et voilà que tu serres encore les poings devant la scène, angoissant à l'idée que Timmy se fasse dévorer tout cru.

(Les effets spéciaux commencent à se prendre un coup dans les dents et ça, ça fait mal au coeur :'(. )

Annotation :

Un jour de blocus, lasse d'étudier l'économie politique, je lance Virgin Suicides en VO sans vraiment savoir ce qu'il en est.

Je me suis repassé 3 fois la scène où les gamins débarquent dans la maison silencieuse, prise d'une fascination morbide.

Annotation :

Période rebelle de l'adolescence, film visionné dans un contexte assez peu propice à l'appréciation : séance en classe devant une petite tv, espagnol sous-titré français. Et oui vous aussi venez en lv3 espagnol !

Pourtant ce film m'a marquée. Enfin, Frida. Son oeuvre, la douleur de ses peintures, la souffrance de sa vie, sa force de caractère, ses engagements et sa ténacité. A la fois routinier et complètement exotique.

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Parce que c'est drôle, drôle et re-drôle !

Annotation :

Bon hé, ça va bien deux minutes les traumatismes d'enfance là. Le gamin enfermé dans un jeu, non mais c'est à vous angoisser la carcasse jusqu'au dernier lancer de dés !

Robin Williams et Kirsten Dunst, toujours un plaisir de les revoir de temps à autre pour une petite partie de Jumanji.

Annotation :

Ce film, franchement, j'ai pas trop compris l'engouement qu'il provoquait quand j'étais petite. Mon seul souvenir de la séance fut le moment où je suis sortie de la salle. Dans le genre marquant on a vu mieux, oui.

Le hasard a fait que, quelques années plus tard et probablement sous l'influence d'un proche complètement accro au film, je l'ai revu. Depuis, après de nombreux visionnages, j'ai autant chouiné pour Jack et Rose que pour le naufrage en tant que tel. Au début, seule leur histoire comptait et les longs passages sur le bordel à bord du navire m'emmerdaient sec. Plus tard, c'est l'inverse qui s'est produit : les scènes où Jack et Rose se font des papouilles me fatiguaient, préférant l'aspect désespérant du reste de l'histoire.

Dans tous les cas on est d'accord, c'est vraiment gnangnan de pleurer pour un bateau qui coule : c'est juste de la ferraille.