Top 10 Films selon OuaZz

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"Mais où il y a monstre, il y a miracle." J'adore cette citation de O. Nash. Je crois qu'elle est la citation d'ouverture d'un recueil de nouvelles de Gaiman. Elle reflète à merveille l'un des thèmes de ce film. La difficulté de grandir et de devoir se confronter à des émotions contradictoires tout en délaissant une part de notre magie derrière nous. Néanmoins, pour tout ceux qui voudront continuer de croiser des monstres, il y aura toujours des miracles qui surviendront sur leur chemin.

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Si Pixar faisait des films live (avec un grain de névrose dans la machine), ça donnerait cette étoile.

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Mise en orbite du merveilleux selon Spielberg. Un récit sur l'explosion familiale et la quête d'un sens qui nous dépasse. Comment mélanger le portrait d'un drame intime tout en exploitant un filon fantastique aux allures cosmiques. Une leçon d'humanité.

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Pour la Trilogie Cornetto🍦Wright & Pegg ont chacun su à leur manière réinventer le film de genre dans le but de nous offrir des histoires follement douces et barrées.

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Mon Pixar préféré. Celui avec lequel j'ai grandi. Celui qui m'a aidé à combattre ma peur du noir et quelques terreurs nocturnes. C'est drôle, inventif, touchant, et à l'égard d'un Chihiro, on se sent transporté à chaque visionnage dans un film univers pensé de A à Z par ses créateurs. La magie de ce studio me fascinera toujours !

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Les Coen, c'est un peu les frères Grimm de l'Amérique, nan ?

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Une splendeur donnant le vertige, accompagné d'une des plus belles BO du cinéma. Comme les fantômes, j'ai une fascination pour les robots et ce qu'ils permettent de nous dire. Ici, pas de vilains, juste des humanoïdes essayant de comprendre ce qu'ils font là. Tout comme nous.

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Pour l'ensemble de la saga. C'est là qu'a commencé mon amour pour Pixar, ainsi que celui du détournement et du pastiche.

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Odyssée galactique de légende et tour de force de mise en scène ainsi que d'effets spéciaux "old school" formidables. Star Wars, ou l'art de transcender un sujet de pulp en chef-d'œuvre intemporel. Début de la geekomania.

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Mon film cocon. C'est toujours un plaisir de m'y blottir quand ça va pas. Mon amour pour les huis clos a sûrement commencé quelque part ici, sous ce dôme au charme pervers et avec la trogne d'un Jim Carrey tout droit sorti d'un cartoon.

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Ce film résume parfaitement mon enfance. L'histoire d'un gamin tout ce qu'il y a de plus banal qui passait ses après-midis entier collé à sa télé, rêvant d'aventures pendant qu'il jouait avec ses playmobil dépareillés et espérant naïvement qu'un jour, par un quelconque miracle, un géant venu d'ailleurs vienne percuter le toit de sa petite maison dans un BOUM ! Bon, pour être honnête, tout ce que je souhaitais vraiment à l'époque, c'était juste un ami de la trempe de notre géant au grand cœur pour prendre le contrôle du monde, l'asservir à ma volonté et éviter que ma mère m'oblige à aller me coucher trop tôt les samedis où Les Simpson passaient sur W9.

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À vrai dire, je m'étais pas vraiment fendu la première fois. Ce n'est que plus tard, en mûrissant un peu (mais pas trop quand même), que j'ai commencé à saisir toutes ses réfs, son humour de geekos, ainsi que son montage totalement déjanté. Un petit bonhomme de chemin plus tard, ce film a su se frayer une place dans ce top, tout comme la BD dont il est tiré - qui trône désormais au panthéon de mes œuvres de chevets. Un super cale-pied pour mon armoire. Elle est toute droite maintenant. Je peux y ranger tous mes bouquins dont j'ai même pas encore lu la moitié car j'ai tendance à acheter tout ce qui me passe sous la main.

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C'était comme si ce film ne demandait qu'à naître. Après tout, qui de mieux que Pixar, maître des émotions, pour tourner tout un film à leur sujet. Un concept brillant, une morale courageuse et des situations douces-amères.

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Une des meilleures saga horrifique, y'a pas photo. Mon amour pour l'effroi et les films sur l'adolescence a trouvé sa robe de mariée. Et si on y ajoute son boogeyman en coloc avec Morphée, on obtient la sainte trinité 🙏

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L'histoire du plus grand réalisateur, le plus passionné et extravagant, tout simplement.

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Le plus grand film de super-héros. Et je compte sa suite tout aussi musclée et élastique.

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La trilogie.

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La saga.

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Entre Burton et Pixar, mais à la sauce Gaiman.

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Pendant longtemps, j'ai cru que Nolan était le plus grand scénariste de tous les temps (pardonnez-moi, je n'avais que 16 ans). Avec le temps et quelques centaines de films et séries plus tard, j'ai comme qui dirait calmer mes ardeurs. Néanmoins, ce film gardera toujours une place importante dans mon parcours de cinéphile, tout autant que dans ma ferveur pour les scénarios qui mettent en avant les possibilités et la folie que permettent les rêves (coucou Paprika et Brazil et le suivant ...)

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& son petit frère : Le Château Ambulant 🏰

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Le teenage à son acmé.

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La trilogie.

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Le pulp dans toute sa splendeur.

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Down the rabbit hole. Rare sont les films qui parviennent aussi bien à capter l'essence de ce qu'est la Fantasy urbaine, un genre qui se tient sur le fil. Del Toro ne perd pourtant jamais l'équilibre, il y danse comme un acrobate.

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La trilogie.