Top 10 Jeux vidéo selon Albator_Larson

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Chef d'œuvre !

Les combats de Wander contre les colosses sont si impressionnants avec la BO de Kow Otani qui fait parfois le choix de ne tout simplement ne pas mettre de musique du tout pour renforcer le côté solitaire de notre aventure et le vide du décor.

Une critique de la religion qui peut nous pousser à commettre des actes horribles en rendant le joueur aveugle poussé par sa possibilité de voir sa bien-aimée retrouver la vie.

Contemplatif, poétique, colossal, unique, et envoutant voilà 5 mots caractérisant bien le jeu alors si comme moi l'aventure vous tente n'attendez plus et rejoignez Wander dans sa quête guidé par sa foi.

Il est d'ailleurs intéressant de comparer ce jeu avec un film de SF du nom de Stalker d'Andreï Tarkovski, voici un lien d'une vidéo expliquant très bien leurs ressemblances:

https://youtu.be/hDy1jDwwB-0

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Ou comment un homme se regarde dans un miroir pour voir en face tout ce qu'il y a de plus moche en lui alors qu'il se retrouve dans une ville remplies de monstres tout droit sortie d'œuvre de Francis Bacon, un Pyramid Head, quelques personnes au passé torturé et une femme : Maria, énigmatique ressemblant quasi trait pour trait à sa défunte épouse Mary, au chara-design imparfait au possible mais envoutant justement par ce fait …
Bref, une claque jouez y si ne n'est pas déjà fait.

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L'œuvre ultime de la série d'Hironobu Sakaguchi (où il s'occupe cette fois-ci du scénario avec Kazushige Nojima) avec un Nobuo Uematsu absolument incroyable avec mon antagoniste préféré du jeu vidéo en la présence de Sephiroth, des scènes cultes en veux-tu en voilà etc.

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Après avoir été accusé à tort, un jeune homme qui comme d'habitude avec Persona sera nommé à votre guise, partira à Tokyo pour poursuivre ses études et logera dans le grenier du café de Sojiro Sakura. Pendant sa première nuit à Tokyo, il rêve d'une étrange pièce ; une prison luxueuse qui représente son cœur, habitée par deux jeunes gardiennes, jumelles et borgnes, Caroline et Justine, ainsi que par un étrange gardien au long nez, Igor. Ils l'avertissent qu'il est prisonnier de sa propre destinée, et qu'il doit se libérer.

Au fur et à mesure de l'histoire, pour se libérer de ses chaines, il formera un groupe nommé les Phantom Thieves (ou les voleurs fantômes) composé d'individualités qui ont comme lui été victime de personnes aux cœurs corrompus par l'avidité.

Il s'agit du persona le plus abouti, avec un chara-design très inspiré de Shigenori Soejima, un Shoji Meguro à la musique toujours au top, des menus dynamique avec ce style graphique très manga bien que le jeu ne soit pas techniquement impressionnant, artistiquement il s'agit d'un des plus beaux jeux auquel j'ai joué.

Bref, je ne suis pas assez objectif, rien que quand je l'ai terminé, j'ai ressenti un vide à l'idée de quitter les Phantom Thieves …

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Encore un excellent jeu de Kitase et son équipe qui laisse cette fois Hironobu Sakaguchi, le créateur de la série, est uniquement là en tant que producteur exécutif et ils ont réussi à ne pas décevoir après le cultissime épisode VII grâce à une rivalité Squall Leonhart / Seifer Almasy très efficace, une romance loin d'être artificielle grâce au parcours du protagoniste de son statut de solitaire taciturne à un jeune homme passionné.

Sans parler encore une fois de la musique d'Uematsu et du morceau Eyes on Me de Faye Wong.

Kazushige Nojima a d'ailleurs souligné dans une interview, que pour lui les relations entre les personnages et leur introduction aux joueurs sont ce qui a de plus essentiel, étant donné que le protagoniste (Squall Leonhart) est quelqu'un de calme et réservée, il a travaillé sur des méthodes afin de savoir ce que pensent les personnages (contrairement au 7 qui encourage à spéculer), comme des monologues lors de moments de contemplation ou encore en utilisant le langage corporel.

Yusuke Naora, le directeur artistique voulait quant à lui, apporter encore plus de réalisme aux cinématiques (particulièrement lors des scènes de combat) alors il décida d'utiliser la capture de mouvements qui à l'époque n'était encore qu'expérimenté.

Annotation :

Une des amitiés les plus touchantes du jeu vidéo, une dizaine d'années d'attente pour un résultat à la hauteur des précédents jeux de Fumito Ueda, à voir si le temps lui donnera l'aura d'un Shadow Of The Colossus.

Annotation :

Du Kojima dans toute sa splendeur !

Annotation :

Une expérience forte en émotion à faire au moins une fois dans sa vie ...