Top 10 Jeux vidéo selon Loïc Coenen

Annotation :

Ce jeu, ça a été ma révelation vidéo-ludique. Le premier FPS de ma vie. L'univers cyberpunk, la théorie du complot, la liberté d'action exceptionnel pour un jeu de cette époque (on est pas dans un open-world GTAesque, mais beaucoup de choses ont été ajoutée pour garantir l'immersion), le savant mélange entre First Person Shoot, infiltration et RPG, tout ça pousse la magie à opérer. Ce jeu m'a filé des cauchemars et des émotions... pour mon plus grand plaisir. J'y ai tellement joué que je connais le scénario par coeur, et j'y découvre quand même encore des choses. Du très très grand art.

Annotation :

On a peut-être mis trois mois à comprendre comment ce jeu fonctionnait, mais par la suite, j'ai passé de nombreuses heures de fun à exploser les enfoirés d'en face avec mes vers de terre et mes bazooka, devant ma Mégadrive. J'ai une petite pensée pour ces moments à chaque fois que j'entend ça : http://youtu.be/Z8L-Mz9ygSA. Classique!

Annotation :

Ce jeu a été, et restera, mon jeu de stratégie préferé. Produit par un des concepteur d'Age Of Empire II, il est beaucoup plus complet que celui-ci : la multiplicité des âges (depuis la préhistoire jusqu'au "nano-age"), des unités (navales, terrestres, aériennes, d'artillerie, chars, robots, archers, ...) en font un jeu très technique en multijoueurs. Heureusement, comme il n'est pas très connu, les parties entre amis se terminent en engueulade - l'évolution n'étant pas synchrone, il est possible d'attaquer quelqu'un à coup de bombardier nucléaire tandis qu'il viens de découvrir l'agriculture. C'est très plaisant (pour l'attaquant).

Annotation :

Unreal Tournament, c'est le meilleur exemple de FPS brutal et violent, crée pour le multijoueur avec ses armes futuristes. Dans le 2004, l'introduction des véhicules ajoute encore plus de fun, les cartes sont réellement bien foutue (on est loin de l'espace fermé des débuts) et le rythme est rapide et nerveux.

Annotation :

Pharaon, le jeu de simulation urbaine durant l'antiquité. Dans la suite de Caesar et de Zeus (tout deux assez réussi), il les surpasse dans la finition - pas un seul bug ni incohérence. Comme dans Sim City 4, tout peut basculer à chaque instant - lorsqu'une ressource vient à manquer, je me suis déjà fais surprendre par un effet boule de neige qui mène à diviser la population de ma cité par trois. C'est assez râlant.

Annotation :

Gordon Freeman est coincé au coeur de Black Mesa. C'est au joueur de faire que tout rentre dans l'ordre, en tirant à coup de flingue sur les bêtes dégueulasses qui sortent de partout, en résolvant les énigmes (comme par hasard, la base a explosé en mettant le bouton pour permettre l'avancement de l'autre coté de la pièce avec tout les monstres). Ça n'est pas très intelligent, mais c'est très fun, et très efficace.

Annotation :

Créer sa ville, c'est le pied. C'est un exercice périlleux, mais addictif - j'y ai passé beaucoup de temps, à fonder petit à petit la métropoles idéale. Malgré quelque incohérence (on peut tout à fais créer une ville très polluée à coté d'une autre très cosy, pour peu qu'elles ne soient pas sur une case différente), les aspects à gérer sont innombrables et promettent de longues heures de réflexions.

Annotation :

J'ai découvert les GTA avec un peu près cinq ans de retard par manque de matériel compatible - je ne l'ai d'ailleurs toujours pas entièrement fini. Pourtant, sa place dans ce top est mérité, de par son scénario passionnant et sa liberté d'action. Je m'en souviendrais.

Annotation :

Il existait encore, il y a quelque temps, des salles de jeux où se retrouvaient les gamins pendant les vacances pour se fighter sur Counter Strike. Parfois, lassés, la partie de Battlefield paraissait une bonne alternative. En LAN, le coté stratégique de ce jeu prend tout son sens - des cartes immenses, énormément de véhicule pilotable, ... on peut lui reprocher un rythme un peu poussif (en tout cas à l'époque) mais je n'oublierais pas ces fameuses parties.

Annotation :

Comment aurais-je pu oublier le hérisson bleu qui traverse la carte à toute vitesse? Un des épisode les plus frustrants de mon enfance a été lorsque mon père s'est pris les pieds dans le câble d'alimentation de ma console. J'était au dernier niveau. J'ai été tellement dégoutté que je ne l'ai jamais tout à fais fini (jusqu'à ce qu'il y a six mois, environ). Toujours est-il que casser la capsule du Dr Robotnik est toujours aussi marrant.