Top 10 Jeux vidéo selon stevenn33

Cette liste de 10 jeux vidéo par stevenn33 est une réponse au sondage Top 100 jeux vidéo des Tops 10

Liste de

10 jeux vidéo

créée il y a environ 11 ans · modifiée il y a environ 9 ans
Xenogears
8.3
1.

Xenogears (1998)

Zenogiasu

Sortie : 11 février 1998 (Japon). RPG

Jeu sur PlayStation, PlayStation 3, PSP, PS Vita

Annotation :

Best 2012

Le plus grand jeu vidéo de tous les temps. Un jeu que l'on ne PEUT oublier !!!!

Deus Ex
8.1
2.

Deus Ex (2000)

Sortie : 21 septembre 2000 (France). RPG, Infiltration, FPS

Jeu sur PC, Mac, PlayStation 2

Annotation :

Best 2013

Le deuxième plus grand jeu vidéo de tous les temps dans la prouesse de développer un gameplay révolutionnaire et unique à un scénario incroyablement maîtrisé, dans la quintessence du level design (
http://i.imgur.com/qVnEH.png), dans l'ambiance cyberpunk qui ressort de niveaux comme New York (impossible de ne pas penser à Carpenter) ou Hong Kong, dans le background le plus gigantesque du jeu vidéo.
Rarement un jeu ne m'avais autant pas pris pour un con. Et pourtant je ne lui ai pas rendu assez justice. Je me suis promis de refaire le jeu un jour en lisant absolument tout les documents.

Mais ohlala Deus Ex ! C'est diaboliquement prenant, surtout à partir de :

Localisation : Unknown
Time : Unknown
Incoming Transmission...
Daedalus : I need you to escape.

:bave:

Umineko no Naku Koro ni
8.5
3.

Umineko no Naku Koro ni (2008)

Sortie : 29 décembre 2008 (Japon). Visual Novel

Jeu sur PC, Mac, Linux, PSP, PlayStation 3, PlayStation 4, Nintendo Switch

stevenn33 a mis 10/10.

Annotation :

Best 2014

Ahalala Umineko. Ca faisait longtemps qu'une oeuvre ne m'avait pas autant marqué, notamment sur le plan émotionnel. Et cela assez simplement, facilement. Umineko reste une oeuvre japonaise destiné aux "jeunes" (je veux dire, c'est pas aussi profond qu'un Planescape : Torment par ex, voire d'un LOK), et pourtant elle m'a totalement pris. Je pense que l'oeuvre m'a rappelé qui j'étais avant tout, c'est-à-dire une jeune personne comme les autres. Et là, je vois une oeuvre aussi bien écrite sur des personnages qui ont à peu-près mon âge et qui sont eux aussi ce qu'ils sont, c'est-à-dire jeunes et insouciants. Mention spéciale à Beato, cette fille capricieuse et immature, et pourtant si courageuse et aimable.
Après avoir fini Umineko, j'étais devenu une larve humaine. Les mois qui ont suivi, il n'y a pas eu un seul jour sans que je pense à Umineko. Aujourd'hui, je suis finalement sorti de cette période. Car j'ai compris que ce qui m'avait plu dans Umineko, ce n'était pas forcément le fond mais la forme, les VN qui sont peut-être bien ce que je cherchais depuis longtemps. Des oeuvres qui me conviennent parfaitement !
Donc voilà, je ne suis plus le fanatique d'Umineko que j'étais il y a encore peu. Mais cela dit, je ne peux laisser de côté cette oeuvre pour autant qui a eu sur moi une influence majeure, voire capitale dans ma vie. Et puis en plus, cette première partie est de très haute volée. Les 4 épisodes se succèdent extrêmement bien, ils sont si différents et excellent chacun dans leur domaine. Une de mes meilleures lectures.

Episode 1 (13/07/14 - 24/07/14) : 8,5/10
Episode 2 (26/07/14 - 25/08/14) : 7.5/10
Episode 3 (30/09/14 - 30/10/14) : 9/10
Episode 4 (31/10/14 - 09/11/14) : 10/10
Episode 5 (09/11/14 - 15/11/14) : 8.5/10
Episode 6 (15/11/14 - 25/11/14) : 6.5/10
Episode 7 (28/11/14 - 07/12/14) : 7.5/10
Episode 8 (08/12/14 - 13/12/14) : 8/10

Scène favorite : Promise

Legacy of Kain: Blood Omen
7.5
4.

Legacy of Kain: Blood Omen (1996)

Sortie : mars 1997 (France). Action, Aventure

Jeu sur PC, PlayStation, PlayStation 3, PlayStation 4, PlayStation 5

Annotation :

Best 2011

Toute la saga en fait. LOK, c'est un peu mes premiers pas vers une forme supérieure du jeu vidéo. En 2011-2012, j'étais archi-fan de la saga et j'apprenais par coeur des citations des jeux (car on a eu droit à un putain de doublage français, c'est assez rare à l'époque pour le souligner). Si aujourd'hui je n'ai plus la même ferveur qu'autrefois, en revoyant des extraits je me dit quand même à quel point c'est grandiose dans les rebondissements. Bon, un petit résumé :

- Blood Omen fut une révélation de poids. Bien sûr, je connaissais déjà la suite et fin de la saga. Et pourtant c'était génial tant ce jeu a déjà posé toute la base et les événements sur lesquels s'appuieront les autres opus. Ok le jeu a vieilli graphiquement et le système semble un peu bizarre, mais n'empêche c'est très attachant. La quête principale est extrêmement prenante. Et quelle noirceur, rien que se promener dans une nuit sans lune en écoutant On the Road to Vengeance. Kain est le plus grand antihéros du jeu vidéo, ce qui n'empêche pas son évolution au fil de la saga d'être très intéressante.
Sérieux il n y avait pas eu de suite à cet opus, ça n'aurait changé en rien le fait que ce soit un très grand jeu.

- Soul Reaver 1 et 2 : C'est un changement profond de gameplay pour la plate-forme, et ça marche très bien. L'association des deux mondes est particulièrement réussie, et c'est surtout l'ambiance gothique qui tranche avec la précédente noirceur que j'apprécie beaucoup, assez immersive, et on ressent la recherche artistique dans les décors même pour de la PS1. Néanmoins j'ai toujours regretté que ce jeu soit avant tout une ambiance qui se ressente par tout ceci et que l'histoire soit très réduite. Enfin on se contentera avec la plus grande cinématique d'intro de tout les temps et des scènes monumentales avec Kain.
Le second opus a complètement tranché. Les donjons sont beaucoup moins recherchés et le jeu est linéaire. En gros, tout ici est secondaire pour se concentrer uniquement sur l'histoire. Et quelle histoire bordel, cet envol entre plusieurs époques, et ce final !!!!

- Blood Omen 2 est le moins bon mais qui retrouve toute sa force quand il est assemblé à SR2 et Defiance.

- Defiance : L'apothéose d'une saga extraordinaire.

Bref cette série m'a marqué. Amy Henning est la plus grande scénariste du jeu vidéo, réussir à créer un univers aussi complexe et cohérent tient du pur génie.

Final Fantasy XII
7.1
5.

Final Fantasy XII (2006)

Sortie : 22 février 2007 (France). RPG

Jeu sur PlayStation 2

Annotation :

Découvert en 2006, de nombreuses parties depuis (dernière en date : 2010)

Bien sûr on le critique à fond (mais pas autant que le 13 et heureusement) car il a complètement changé la donne des précédents FF (déjà démarrée sous FF10), et moi je dis tant mieux. Le système des permis n'est peut-être pas le meilleur de tous, les gambits peuvent faire tout le boulot car le jeu est trop simple, mais s'il-vous-plaît, personne ne pourra critiquer d'avoir retirer les combats aléatoires. A moins bien sur que cela vous plaisait d'en avoir un tout les 3 pas dans FF4 ou d'attendre 30 secondes avant de pouvoir faire quelque chose dans FF9, moi c'est ce qui me gave le plus quand je fais un RPG old-school maintenant.
Un système de combat en temps réel très intéressant. Beaucoup plus complexe qu'il ne le laisse paraître (l'importance du mouvement par exemple), et bien plus immersif que n'importe quel autre FF. Alors on pourra dire que le jeu est facile et qu'il n y a pas besoin de vraiment se casser la tête, je suis d'accord. C'est pour ça que je recommande à ceux qui serait tenter de recommencer le jeu de le faire dans un challenge particulier (le NLB est exemplaire). Franchement, je n'ai pas souvent eu des combats aussi dantesques dans un RPG que de cette manière. Bon par contre, oublions les superboss qui relèvent plus de l'ennui que d'un véritable combat.

Le scénario a également une très bonne place dans mon estime. D'accord, le héros a le charisme d'une huître (quoique, c'est pas forcément pire que TIDUS hein), mais cela n'empêche pas que je considère chaque personnage comme étant exemplaire, chacun ayant son opinion (les juges sont une belle représentation). Car ça parle de politique, de vengeance et c'est bien fait.
Ajoutons à cela que la mise en scène m'a toujours très impressionné, et que le jeu d'acteur est à tomber.
Sakimoto est un très bon compositeur qui n'a pas a rougir face à Uematsu (c'est pas la même chose on va dire), la BO de FF12 colle parfaitement dans la beauté des lieux qui sont d'une grande diversité, mon préféré étant les plateaux de Cérobi (FF12 est quand même l'un des plus beaux jeux de la console).

Bref c'est un jeu sur lequel j'ai passé des centaines d'heures et que je ne me lasse pas de refaire (même si j'ai du mal à trouver un nouveau challenge), mon FF préféré et un des meilleurs jeux que j'ai fait.

Scène favorite : Le climax au phare. Intense.

Silent Hill 3
7.8
6.

Silent Hill 3 (2003)

Sortie : 23 mai 2003 (France). Action-Aventure, Survival horror

Jeu sur PlayStation 2, PC

Annotation :

Joué en 2010, rejoué en 2013

J'ai une appréhension particulière avec ce jeu. Nous serons d'accord, SH2 est le chef-d'oeuvre absolu de la série. SH3 lui est également un chef-d'oeuvre mais plus personnel. Si SH2 laissait place à une aventure pleine d'émotions et une interrogation forte du subconscient, SH3 est beaucoup plus sombre, il reprend le fond du premier SH mais en plus mature.
C'est assez minimaliste comme jeu n'empêche, je veux dire il n y a que 4 personnages (à peu-près) tout du long. Heather n'a plus rien à prouver, c'est la plus grande héroïne du jeu vidéo. En y rejouant, j'ai estimé qu'elle incarnait le jeu à elle-seule et que doit se dissocier le joueur et elle, car c'est une personne à part entière. A t-on déjà vu un personnage décrire de manière aussi personnelle chaque élément ? Ce serait pas James qui ferait ça hein.
Un petit exemple, dans l'énigme de Shakespeare si on examine chaque livre, Heather vous dira ce qu'elle en a pensé et donnera une citation de Macbeth au joueur. Pourtant elle ne sert à rien pour résoudre l'énigme contrairement à d'autres jeux, et c'est ce genre de petit détail qui me fait adorer le personnage. A d'autres moments, Heather se refusera à examiner le fond des toilettes là ou James n'hésitait pas tout pataud à le faire (je critique pas hein, James est un très grand personnage aussi), ou encore à quitter elle-même une cinématique intéressante car elle s'ennuie. Voyez, le joueur veut mais Heather ne veut pas.
Bien sur il y a toute cette grande mise en scène avec ces plans facial inoubliables, le jeu d'acteur, le fait qu'Heather ne soit pas une bombasse non plus qui en fait tout son charme. Et puis mine de rien aux vues de certaines analyses et des deux fins possibles, le personnage est très ambigu.

Bon je parle que d'Heather mais faut pas croire qu'il n'y a que ça qui me plait dedans. Même les autres persos sont superbes, évidemment Vincent qui nous fait froid dans le dos à chaque discussion, mais aussi Claudia qui est au final plus une victime qu'une personne mal intentionnée (c'est même un personnage très triste). Douglas est peut-être le seul personnage sensé du jeu.
Mais j'adore tellement l'ambiance dans ce jeu sur tout les points. C'est honnêtement l'un des plus beaux jeux que j'ai fait, la meilleure ambiance sonore (gros travail de fait), des plans de fou furieux. Et j'ai apparemment atteint mon quotas de caractères, merde.

Scène favorite : "DON'T TALK ABOUT MY DAD LIKE THAT !" :coeur:

Super Metroid
8.3
7.

Super Metroid (1994)

Sortie : 28 juillet 1994 (France). Action-Aventure, Plateforme

Jeu sur Super Nintendo, Wii, Wii U, Nintendo Switch

Annotation :

Joué en 2011

Je considère la SNES comme la meilleure console existante (un peu parce que presque tout les jeux que j'ai fait étaient vraiment superbe aussi). C'est la quintessence du gameplay mêlée à du 16 bit qui n'a pas encore pris une ride. Souvent, le concept avait été crée sur NES et a alors été présenté sous la meilleure forme qui soit. En bref je m'amuse beaucoup dessus.

Super Metroid est un labyrinthe gigantesque qui se découvre petit à petit, nous avons une map pour nous aider, et c'est exactement ce que j'aime dans ce jeu. On sait que le jeu est très grand mais que ces limites sont bien définies, alors ça donne envie de tout visiter et de compléter cette map. Même si je n'ai pas besoin de récolter tout les objets, je le fais quand même car ce jeu donne envie d'être exploré de fond en comble. Et puis c'est anti-linéaire, chacun aura son propre parcours. Pour ma part j'étais du genre à faire des tours entre les mondes et à trouver de nouveaux trucs à chaque fois, quitte à ré-éexplorer ce que j'avais déjà visité.
Le gameplay offre beaucoup de possibilités, et avec les power ups, les boss et la difficulté bien dosée, avec tout ça y a pas à dire, j'ai vraiment kiffé y jouer !
La bande-son, c'est du régal. Sérieux c'est l'une des meilleures BO du jeu vidéo. Quelle ambiance de fou et particulière à chaque monde, Maridia et Norfair en tête !!

Splendide et jouissif, un impératif !

Scène favorite : Le boss final, l'attaque du Super Metroid, l'écran qui devient noir, battements de tambours, et le thème principal. J'en ai des frissons à chaque fois. Le moment le plus épique du jeu vidéo avec le combat final de Castlevania IV.

Planescape: Torment
8.3
8.

Planescape: Torment (1999)

Sortie : 2 janvier 2000 (France). RPG

Jeu sur PC, Linux, Mac

Annotation :

Joué en 2013

Jamais je n'oublierais ces nuits entières passées à avancer sur ce jeu. C'est simple, j'étais complètement attiré par cet univers, cette ambiance de jamais-vu. La philosophie est incroyable, le très grand nombre de personnage qui se distinguent à peu-près tous avec toutes ces factions très intéressantes et le très grand nombre de quêtes annexes, nos compagnons auxquels nous sommes liés par un destin plus ou moins tragique, et nous-même l'énigme indéchiffrable, Sans-Nom l'un des plus grands personnages du jeu vidéo.
C'est encore un jeu auquel je n'ai pas toujours rendu justice car c'est un véritable roman, des pages et des pages de lecture que je n'ai pas toujours eu le courage de lire entièrement. Mais j'ai quand même eu de quoi faire et des passages m'ont marqué à vie, je pense par exemple ne pas être le seul à avoir dévoré le Cercle de Zerthimon. Quelle lecture... ça m'a bouleversé, et c'est exactement là que j'ai commencé à adorer le jeu. Ca + le monde incroyable des souterrains de Sigil (Gloire à Tant-en-Un !).

Mais ce qui est amusant, c'est que j'étais à deux doigts d'abandonner arrivé à la Ruche ! C'est le premier AD&D que je fais, j'étais complètement perdu... et je m'en suis finalement sorti et j'ai pus faire de très beaux combats !

Scène favorite : La scène dans les Sensoriums privés ou vous pouvez capter une discussion entre votre ancienne incarnation et Deionarra. Tout ces mensonges, l'indignation de Sans-Nom qui hurle à Deionarra la vérité, et le fait que cette scène dure encore et encore... Très puissant.

Catherine
7.5
9.

Catherine (2011)

Kyasarin

Sortie : 10 février 2012 (France). Réflexion, Action, Aventure

Jeu sur PlayStation 3, Xbox 360, PC

Annotation :

Joué en 2013

Catherine m'a beaucoup touché. Catherine est un jeu adulte avec des personnages humains et des scènes très fortes, Catherine a un petit côté typiquement japonais... mais ce n'est pas grave. Catherine a une bande-son merveilleuse. Et pour peu qu'on y prenne goût, Catherine est un puzzle-game très amusant.
Mais Catherine, c'est aussi Katherine... Et c'est le parcours d'un homme/du joueur vers celle qu'il aime vraiment. Bouleversant.
Comme avec Xenogears je n'aime pas trop parler de ce jeu. Les sentiments, ça se gardent pour soit.

Steins;Gate
8
10.

Steins;Gate (2009)

Shutainzu Gēto

Sortie : 31 mars 2014 (France). Visual Novel

Jeu sur Android, PS Vita, PlayStation 3, PC, Xbox 360, PSP

Annotation :

Best 2015

Dans l'ensemble, il y a beaucoup d'éléments que je trouve réussi dans Steins;Gate : Des graphismes superbes (on peut parler de CGs HD là !), une bande-son électro exquise, un doublage éloquent avec une synchronisation labiale qui fait très plaisir. La forme de Steins;Gate est donc très bien faite et devrait constituer à mon goût une base pour les VNs (bon, cela demande du budget aussi).
Sur le fond également, ça déboîte avec un scénario unique et très prenant, joli et vivant sur la première partie grâce aux personnages attachants, extrêmement bien rythmé sur la seconde. Et bon sang, cette documentation ! Le lexique ! Autant de recherches méritent l'admiration !

J'adore les personnages de cette oeuvre, ils deviennent tous intéressants au fur et à mesure qu'on apprend à les connaître. On en vient à trouver génial Daru dans son amour véritable qu'il a pour la culture otaku, à compatir pour Mayushii car c'est une vraie simplette qui ne fait pas juste semblant pour être cool, à voir à travers la timidité de Moeka aussi... Et donc d'arriver à comprendre comment ces personnages sont ce qu'ils sont, et de finir par les trouver admirables, crédibles.
Et pourtant, ils donnent l'impression de sortir d'un anime quelconque ! C'est cela qui est d'autant plus fort je trouve, cette capacité d'arriver à faire des personnages superbes avec des personnalités déjà vues et revues !
A ce titre, j'ajouterais que Kurisu est un de mes personnages préférés de tous les temps, surtout car je m'en sens très proche. C'est le grain de sel de Steins;Gate qui le fait passer du chef-d'oeuvre au coup de coeur, et donc sa raison d'être ici dans ce top.

Steins;Gate est une œuvre à laquelle je repense souvent, probablement aussi car c’est le dernier grand VN que j’ai pu faire… mais je n’en démords pas. Quand on peut faire d’aussi belles œuvres, le genre du visual novel ne peut qu’avoir le vent en poupe !

Scène préférée : "I love her". Inconsciemment, lors de cette scène, j’ai entendu se jouer dans ma tête la chanson Perfect Circle de R.E.M., comme un moment coincé dans le temps, intemporel…

stevenn33

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