Top 10 Morceaux selon Quintino

Annotation :

Je ne peux pas être objectif quant à cette chanson. Je l'ai écoutée en boucle pendant la traversée d'une période difficile, je connais chaque note par cœur. J'ignore si c'est vraiment la meilleure chanson que j'écouterai jamais, ni même si il s'agit de la meilleure des Beatles, mais tant pis, c'est la n°1 et c'est tout.

Annotation :

Un parfait complément à la chanson ci-dessus. Même raisons, même jugement, mais il faut bien les ordonner.

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Le sujet de la chanson est lourd, très lourd, et personne d'autre que le principal concerné n'aurait pu en faire une chanson non pas larmoyante à l'excès, mais pragmatique et par conséquent d'autant plus douloureuse. Mercury, affaibli, délivre (en une seule prise !) une performance inoubliable, émouvante. Ce n'est pas une chanson qu'on peut écouter n'importe quand, n'importe où; mais quand les conditions sont réunies, aucune ne touche aussi juste que celle-ci.

Annotation :

Le "Let It Be" de Lennon, bien que cette définition puisse en faire tiquer certains. Simple et très (trop ?) efficace, une merveille qui semble débouler de nul part, même connaissant le talent de son auteur.

Annotation :

Que dire, que dire... Un morceau unique en son genre, Mercury sait parfaitement exploiter ses capacités vocales uniques et les fait varier, autant dans le registre "faux opéra", que dans la ballade ou le rock furieux, accompagné par des musiciens qui sont loin d'être des manches dans leurs domaines respectifs (le solo de Brian May !). Morceau culte parmi les morceaux cultes.

Annotation :

Chant parfait, ligne mélodique et rythme du tonnerre, chœurs entraînant... Pas grand chose à rajouter sur cette chanson fantastique, si ce n'est que je préfère largement la version de Stevie à celle de George Michael !

Annotation :

Du lent début au piano jusqu'au monumental et magnifique solo final, on est emporté par la chanson, dans le courant d'une rivière qui continue à couler bien après les dernières notes...

Annotation :

Jagger est un tueur au chant, Richards à la guitare, les jambes deviennent incontrôlables au rythme des maracas et les chœurs achèvent de faire entrer l'auditeur dans une danse endiablée...