Top 15 musical 2011

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Bonne découverte de l'année, au point d'atteindre la première place du classement. En raison d'une vocaliste qui apporte un peu de fraicheur dans le (sous)genre, des guitares bien grasses comme je les aime, et surtout une excellente utilisation des cordes, parfaitement fondues au sein de l'album, et jouées de façon peu commune.

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Après le premier opus de la trilogie de très bonne facture mais pas si surprenant, j'ai été plus que comblé lors de l'écoute de celui-ci, qui se dirige davantage vers de la musique industrielle, tout en gardant ses origines Black Metal... le propos se rapproche de Godflesh, au stade de la comparaison, et laisse augurer d'un album final encore très différent.

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Excellente continuité du précédent, Sonnambula qui se retrouvait déjà a l'époque dans mon Top de l'année, celui-ci s'avère moins surprenant, mais toujours aussi débordant de qualités. Un album par an de cette trempe, je prend.

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Après un premier album très réussi, je n'attendais pas particulièrement le retour de ce groupe, dont je n'espérais rien, si ce n'est me décevoir en aseptisant leur son... grossière erreur, avec cet album bien plus mature, et très varié, et qui ne cède en aucun cas a la facilité malgré des compositions plus courtes.

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Plus mou que les précédents diront certains, ce qui est tout a fait vrai, pour ce que je connais du groupe, mais les compos sont toutes de qualité, et c'est vraiment un album qui se mange tout seul.

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Avec tant de foin autour de ce projet musical, et après avoir lu les influences du bonhomme (au hasard Deathspell Omega), il fallait bien que j'y jette une oreille. Bien m'en a pris, au regard de la qualité générale de l'album. Pas de tubes a proprement parler, mais une cohérence globale qui enfonce le tout sans problème, et qui promet pour la suite des événements.

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Le grand frère de The Desanctification en seconde place de mon Top, Sect(s) ouvre la marche de la trilogie avec une sonorité typiquement Blut Aus Nordienne, pas de déception en vue, si ce n'est celle de ne pas surprendre outre mesure, mais c'était sans compter le fait qu'il s'agisse d'une œuvre globale, bien entendu. Mais comme chaque titre se montre convaincant comme a l'accoutumée...

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Dans le même registre qu'un Stendeck, en plus alambiqué, certaines compositions sortent vraiment du lot de part leur coté étrangement hypnotique. Je reprocherai juste un album un peu trop étendu en longueur.

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Savant mélange de post-rock et de dubstep, Aucan a finalement réussi a me convaincre avec cet album. Léger reproche au niveau vocal, pas toujours en adéquation avec le son.

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Trop court. Beaucoup trop court. A écouter impérativement avec le second CD de la version limitée, qui rend la durée de l'ensemble plus acceptable. Musicalement, c'est encore meilleur que le précédent, plus jazzy, plus sombre. Et vocalement plus intéressant.

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Au delà d'un artwork vomitif, on a là du très bon son aux multiples influences, mais le résultat se révèle très intéressant, entre rock, electro et musique indus.

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Pas de paroles cette fois-ci, Lunatic Soul laisse la place a un peu d'expérimentations ici, et ça n'enlève rien a la qualité du propos, bien au contraire. Plus varié que les deux précédents, aussi.

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La star de l'album est bien évidemment la chanteuse, dont la voix est parfaitement maitrisée, et en plus, le son est très bon et inspiré.

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Plus ou moins dans le registre d'Aucan, avec des influences plus rock, voire Metal (loin a l'horizon), jolie découverte là aussi, malgré une petite once de répétitivité qui se profile au sein de l'album.