TOP 25 - Riffs.

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Celui -ci sera évident pour ceux qui me connaissent , j'ai déjà développé une description plutôt détaillée de ce que ce riff , et par extension, ce morceau me procure comme sentiment.
En tout cas , il est brillant car il martèle avec seulement 3 notes une puissance évocatrice qui m'a toujours laissé victime de son effet sur moi. Répété , il vous maintient dans un état de vulnérabilité tout le long du morceau , happé.

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Bon , je devais mettre un riff de Tool. La façon que Adam Jones a de modeler des mélodies et des lick oscillant entre la furie la plus corrosive et le son de guitare suave et langoureux ne saurais-être décrite avec autre chose que le mot "fascinant". Et selon moi , le florilège de ce talent est situé dans ce morceau .
C'est bien simple , on dirait bien qu'ils se sont juste donné,avec justin chancellor, pour challenge de faire passer le morceau par le plus de phases possibles , chacune ayant un riff de malade à son coeur. Je note quand même trois qui sortent du lot , Le deuxième riff du morceau ( 40 ème seconde ) ,le passage furtif mais irrésistible à 4 minutes 48 secondes , et bien entendu à 8 minutes 50 , l'explosion du morceau.

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Backbone , vous savez , cette partie du corps réduite en poussière après le passage du premier riff du morceau ?

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Le Riff du Refrain est une véritable source d'émoi chez moi , sans autre raison que l'harmonie qui se dégage du chant et des notes choisies . Les visuels forts que la musique évoque sont véritablement sans pareil et l'envoutement est total. Onirique , profond , accrocheur et complètement raccord avec l'imagerie du Groupe , c'est quasiment , pour moi , un résumé de tout ce que j'aime chez les Georgiens.

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Encore une fois , Townsend est maître de son art avec la composition de ce riff d'intro à partir duquel le morceau va construire un élan et un impact très rapidement. Sauf que ce n'est pas exactement à notre ami Devin Townsend qu'on doit cette petite perle , mais bien Ryan Van Poederooyen, le batteur du groupe , qui a proposé l'idée en studio. Le genre de coup de pouce qui va bien

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Le Riff d'intro de Blood and Thunder n'est pas seulement ce lick de guitare génialement vilain et rentre dedans. C'est le fait que sa virevoltante façon de vous faire perdre des neurones est décuplée par mille une fois que la batterie le seconde. Le tout est une véritable arme à pogo massif.

Ecoutez le , et revenez me dire que vous avez pas perdu le tiers de vos neurones , et de votre mobilier.

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Comme surgis des grandes étendues desséchées après une intro aux allures de mirage , la guitare distordue de Josh Homme vous propulse immédiatement dans une tempête de chaleur californienne.

Simplissime riff , certes , mais au combien viscéral , asséné comme une soudaine vague de chaleur sur une trace de bitume perdue au milieu d'un désert rouge. Le morceau à l'image du riff est langoureux mais va droit au but,et n'est pourtant pas simpliste , le souffle et la langueur de la voix de Josh Homme apportant un sentiment très onirique à cette merveilleuse pièce, d'un album tout aussi magistral.

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Ce morceau est une madeleine absolue. Le son , la voix , l'âme insufflée dans le deuxième titre de l'album "Screaming for Vengeance" est véritable. Le riff débutant environ 50 secondes après le début de l'album est à l'image de ce dernier, un déferlement d'énergie proprement jouissif et qui vous jettera de plein pied au sein d'une oeuvre saupoudrée de riff , de solo , de hurlements plus légendaires les uns que les autres.

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Puiser une telle puissance et un tel groove dans des sons aussi monolithiques et abyssaux est une des forces que la plupart trouvent au Métal Extrême lorsqu'il atteint des Sommets.
Meshuggah est une véritable exemplification d'un raffinement (métaphorique) dans cet art de vous plonger dans les tréfonds avec l'aide de seulement 2 notes et un son plus tranchant et dur qu'une découpeuse industrielle.
Une simple écoute du morceau et de son Break devrait vous suffire.

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Un riff d'intro exprimant à la fois une beauté ravageuse et un coup de massue d'une puissance non-négligeable est une prouesse dont peu de groupes sont capable avec la même finesse que Gojira. L'équilibre est parfait , le son massif et pourtant l'éclat du riff est sans pareil.
Et le groupe l'a visiblement très bien compris au vu de son utilisation dans le morceau , apportant un contraste certain entre les passages plus virulents du morceau ou la double pédale règne en maitre.

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Le morceau le plus emblématique de Meshuggah (après Bleed peut être) selon moi , et qui vous fera comprendre à 3 minute 42 d'écoute , qui règne en maitre sur la désolation et la destruction totale de vos capacités cognitives.
Le Riff n'est pas seulement violent , il en devient jouissif après un build-up cataclysmique, dont la progression rythmique insoutenable rend la délivrance d'autant plus brutale.

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Justice.
Alors , certes , les passages faisant un bon gros clin d'oeil à la musique rock chez Justice sont légion. Mais lorsque l'on parle de Riff véritable , l'intro de waters of nazareth a tout d'un véritable 20/20. Sauf niveau guitares , là , ça pêche un peu. Mais honnêtement , osez me dire que cette intro sonnerais plus vibrante et jubilatoire aux moyens d'une vulgaire six corde ? La puissance de la musique électronique , mise au service d'un riff bien accomodé fait déjà tout le travail.

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Présent pour les mêmes raisons que le Riff principal de Bastard issu d'Ocean Machine , le Riff principal de Detox est un véritable harpon qui vous assène un coup violent dès sa première itération qui vous plonge la tête sous l'eau , et qui vous y maintient. Vous suffoquez déjà ? Attendez que le chant pointe le bout de son nez , et vous aurez alors la pleine mesure de ce que ce morceau offre en terme d'atmosphère "torturée" .

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Le morceau n'est pas spécialement rock , ou métal. Il ne possède même qu'assez peu d'instrumentation qu'on classerait comme "Rock". Et C'est ce qui rend l'arrivée du riff à la troisième minute du morceau d'autant plus agréable.
Ce morceau est une véritable perle , et je vous conseille vivement de l'écouter depuis le début , l'impact de cette merveille de riff envoutant et quasi cosmique ne pouvant avoir son plein effet qu'au milieu des diverses harmonies déjà présentes dans le morceau. (En plus le riff reste simple)

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Carpenter Brut met tout le monde d'accord. C'est un fait , que vous vouliez dancer ou bien pogoter des teufeurs innocents au détour d'un passage frénétique de synthé analogique, vous allez kiffer. Mais si vous êtes plutôt amateur de loop qui tuent, de riff qui tabassent bien , et nostalgique d'un âge reculé ou le rose, le vert fluo et le fushia se mariaient bien ensemble , alors ce morceau est fait pour vous (mention spéciale au passage débutant à 1 minute 37)

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Si pour certains films , le message du film est parfois résumé à l'intérieur des premières scènes , l'émotion que va dégager le morceau peut être pleinement perçue avec les premières itérations du riff d'introduction de ce magistral morceau. Ôde aux grands espaces et à toute la singularité que peut avoir le pays natal du compositeur , mais pas que , ce morceau me plonge instantanément dans une nostalgie singulière.

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L'atmosphère extrêmement sobre et la thématique du morceau , aliénant et étouffant. Le motif joué en boucle à la guitare , 2 notes , très proches , qui agissent véritablement comme une matrice anxiogène pour la construction du reste du morceau.
Toujours présent , nuancé/varié à plusieurs reprises durant le morceau , se faisant claquant et puissant sur le Refrain , et maintenant la pression durant les couplets , en somme , la véritable essence du morceau (avec la partie que Einar assure , tout en nuance au chant.). Un véritable bijou , qui fait mouche à chaque fois.

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J'ai une nouvelle confession à vous faire , j'adore ce groupe.
Qu'on s'entende bien , je vais pas vous dire que c'est le groupe le plus carré qui soit en Live , les musiciens les plus talentueux , les plus créatifs etc ....

Mais (majuscule) , l'hybridation de la culture arménienne des quatres compères avec un Nü Metal bien popisé et rentre dedans comme il faut , ça a fait immédiatement mouche chez moi. Le coté contestataire étant un bonus dont je ne peut pas nier la puissance sur mon adolescence.

Ainsi , étant donné leur identité musicale assez spécifique et marquée , et le fait que j'apprécie tant , je met juste un morceau avec un riff qui envoie le paté à titre d'exemple, assez typique de ce que le groupe peut offrir , et qui , je suis sur , ne vous laissera pas indifférent.

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Le riff qui définit presque tout le morceau, solide , précis et délicieusement encré dans votre tête pour continuer à vous hanter des semaines durant. AH!

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Introduit magnifiquement par la basse , le riff principal du morceau se fait tantôt limpide , à la beauté joliment diluée au sein des arrangements de l'intro , lent et doux, jusqu'à se faire tonitruant pour l'arrivée de la distorsion.

On peut difficilement enlever une note tant chacune a un énorme poids sur l'interprétation qu'on peut avoir du riff , disposées ainsi , elles se font une matrice parfaite pour les sentiments que le groupe fait passer à travers ce magnifique morceau.

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Kyuss est tout simplement incontournable lorsqu'il s'agit de parler de Riff. Donc si vous êtes là et que vous avez pas encore écouté Welcome to Sky Valley , ben foncez les gars , j'aurais pu remplir mon top avec juste cet album. Bien , ici j'ai gardé Gardenia car ma première claque réelle de la part du groupe et qui du coup , conserve une grossse sympathie de ma part.

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Elder est assurément un des groupes relativement récents qui m'intéresse le plus en terme d'idée de Riff et de construction de motifs. Leur album Lore est truffé de pépites , et le riff principal de Compendium ne fait pas exception. Affichant clairement des influences plus prog/Stoner comme Mastodon voire un poil Post Rock dans le choix de certaines sonorités, le groupe apporte quand même un grand degrés de personnalité à leurs compositions. Notamment sur leur dernier album Reflections of a Floating World , plus épuré et mystique.

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J'aime Alice In Chains (au cas ou vous saviez pas) et ce morceau n'est pas devenu un des "classique" du groupe sans raison , l'intro, qui possède une de mes synthèses favorites de ce qu'un riff de rock bien écrit peut soulever comme atmosphère, est tout bonnement parfaite.

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En matière de musique, et surtout lorsqu'on parle d'un genre en particulier , les premiers amours sont en général essentiels pour conserver un amour envers elle. Pour ma part , ces premiers amours furent AC/DC et leurs premiers albums, et Riff Raff , la quintessence de ce qui me faisait aimer le son si caractéristique d'une guitare électrique. Un véritable Jalon de mon histoire personnelle avec la musique en général. Ce riff , j'aurait beau ne pas l'écouter pendant une décennie , je ne l'oublierais pas de si tôt.

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Que dire qui n'ais déjà été dit sur la légende.
Rien sinon que j'ai connu ce génial morceau tôt et qu'il garde une sacrée patate , et que rare sont les covers qui arrivent à décemment ajouter à ce bijou du heavy.