[Top 30 albums] Black Metal

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Riffs simples mais diablement efficaces, batterie ultra-répétitive, son lo-fi : l'essence même du black metal. C'est pour moi l'album qui symbolise le genre.

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Pour ce premier album longue durée, Peste Noire mêle compositions originales et réenregistrement de démos, avec une production plus soignée et des textes aux petits oignons. Le tout dans une ambiance à la fois médiévale, haineuse et poétique.

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Un son répugnant (mais des instruments parfaitement mixés), Garm qui éructe comme jamais, et des compositions cohérentes et inspirées (le passage en son clair de l'Hymn I, le solo de l'Hymn II, miam).

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Oubliez Emperor. Le black metal "symphonique", c'est quand même autre chose avec un vrai chanteur de black metal (Pest) et un claviériste/guitariste qui est tombé dans la musique classique quand il était petit (Heks).

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Maaneskyggens Slave !!! Où comment clôturer un album parfait en beauté. Ce morceau pourrait durer une heure, je ne m'en lasserais pas.

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Ça reste un grand classique, incontournable, même si j'ai eu un peu de mal à rentrer dedans. La face A est monumentale.

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Un autre disque qui n'a pas fait mouche tout de suite chez moi, jeune hérétique que j'étais. Superbe album.

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Une petite touche de douceur dans cet océan de violence : dans Bergtatt, Garm introduit des passages folks et ambiants et nous montre qu'il sait aussi chanter. Et il prend même le temps de nous emmener en balade en forêt.

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C'est tout un savoir-faire de réussir l'équilibre parfait entre des morceaux si mélodiques et une production aussi sale (la caisse claire de la batterie semble avoir été remplacée par un baril en métal). On savait faire preuve de bon goût à l'époque...

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Un album de black des années 2000 parmi tant d'autres. J'ai du mal à l'expliquer, mais j'adore cet album, qui réussit probablement à concentrer toutes les facettes que j'aime dans le black : la prod est plutôt crue sans tomber dans le lo-fi trop crade, le chant est typiquement black, les riffs et les mélodies sont efficaces, inspirés et variés (le jeu de guitares se rapproche parfois de ce qu'a fait Ulver sur Nattens Madrigal), et la batterie est agressive mais pas trop en avant dans le mix. En bonus, on a droit à un vrai effort de composition. La synthèse d'un genre.

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Un peu dans la lignée de Transilvanian Hunger, Panzerfaust est encore plus crû (grâce à la production bien dégueulasse et au chant assez dément de Nocturno Culto) mais aussi plus varié, proposant notamment quelques morceaux plus lents mais non moins excellents ("The Hordes of Nebulah" ou "Quintessence").

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Je l'ai découvert sur le tard, mais cet album est une référence du black/thrash.

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Un album que je trouve injustement sous-estimé.

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Influences punk, hip-hop, bal musette, peu importe... Famine incorpore le tout et réussit le tour de force de rester cohérent et passionnant du début à la fin. Cocorico !

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Encore un album que je trouve honteusement sous-estimé. Il est dans la même veine que le Panzerfaust de Darkthrone en matière de production (très crue) et de rythme (alternance bourrin / mid-tempo), mais avec une touche bien personnelle. Et même des bouts de banjo dedans. Oui Maître !

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Oui, c'est une compilation, où Urfaust a eu le goût exquis de ne pas inclure ces morceaux ambiants qu'ils affectionnent. Du coup, c'est un concentré de tueries.

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Pas une once d'originalité, mais c'est difficile de réaliser un album qui transpire davantage le black norvégien old school (surtout pour un groupe américain). Très classe. Le petit dernier, 'Hildegicel' (2015), est terrible aussi.