Top albums : Paul McCartney

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Pas forcément que des morceaux mémorables, mais la production, le son, les arrangements, tout est quasi parfait et parfois rappelle les grands moments des Beatles.

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Entre collaborations trance techno, albums de reprises de rock'n'roll et travaux de musique classiques, McCartney reprend sa carrière "principale" où il l'avait laissé depuis Flaming Pie. Driving Rain reprend le style qui a valu à Paulo ses plus grands succès depuis la fin des Beatles. Une belle poignée de chansons auraient pu facilement trouver leur place dans un album des Wings. On regrettera juste quelques titres pas toujours inoubliables et une tendance à s'éparpiller dans des arrangements empêchant d'avoir une production trop plate pour tenter d'harmoniser l'ensemble. C'était malheureusement à prévoir vu le nombre de chansons sur le disque.

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Net progrès par rapport au premier album de la collaboration The Fireman. Le mix entre musique électro et utilisation de samples d'instruments marche très bien. On s'éloigne un peu de la trance pour une musique plus ambient hypnotisante. On peut par contre être une fois de plus circonspect par la durée des morceaux (3 de plus de 11 minutes et 2 de plus de 7 minutes), heureusement l'ensemble ne dépasse pas l'heure d'écoute et la progression de chaque titre est (presque) parfaitement maîtrisée.

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Cet album a définitivement quelque chose de spécial, mais je n'ai pas adhéré pleinement à sa production et surtout à l'aspect fourre-tout où la pop classiques made in McCartney (avec autant de superficialité que cela peu contenir) surprend par des changements de styles assez radicaux en pleine chanson, bien plus moderne, entre hard rock et electro. Des expérimentations bienvenues mais pas toujours judicieuses et bien amenées. C'est assez expéditif et donne une impression de patchwork et de collage peu inspiré. MAF mérite tout de même qu'on s'y accroche et peu tout à fait trouver son public.

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New est un merveilleux moyen de renouveler la setlist live de Sir McCartney. Ce qui nous amène à passer sur des morceaux pop dans le mauvais sens du terme. Le tout manque cruellement de profondeur et n'est pas aidé par une production bordélique. La surcompression globale enlève toute dynamique au mix et l'utilisation d'arrangements divers et variés (pourtant sympathiques) ne permettent pas aux morceaux de respirer suffisamment. Une opération qui plaira aux fans de McCartney sur scène mais qui fera regretter Chaos and Creation in the Backyard aux autres.

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Une album fourre-tout, peu cohérent, avec quelques expérimentations intéressantes qui valent le détour mais qui manquent parfois de maîtrise. Ce n'est malheureusement pas suffisant pour en faire un incontournable de sa discographie.

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Intéressantes variations sur les mêmes samples et accords. Malgré un travail évident, cet album est dur à apprécier sur la durée : c'est long et on capte le principe très rapidement. On lâche aussi vite son attention et on est tenté de passer des passages pour accéder au prochain mouvement... Pas tellement le résultat qu'on attend d'une réussite.

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Ce qui est bien quand on est riche et connu, c'est qu'on peut faire sa thérapie en sortant un album de reprises de vieilleries du rock'n'roll. C'est sûr, ça fait du bien et ça garde occupé quand on vient de perdre sa femme. Ce qui est cool aussi, c'est que c'est pas si mal que ça à écouter et plutôt bien produit. Par contre pour l'intérêt discographique du sieur on repassera.

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Après la thérapie par le rock'n'roll, voilà la thérapie par le jazz pop de l'arrière grand papi. Le premier c'était après la mort de Linda, et là c'est après son fameux divorce. Evidemment c'est plus ronflant et n'a pas grand intérêt si ce n'est de faire découvrir à son auditorat le terreau de ses influences jazzy. Puis on soulignera la présence de deux compositions dont la très jolie "My Valentine". L'ensemble vaut son petit détour, mais à part la chanson citée plus haut, on n'y retournera pas forcément.

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Pas un grand moment.