TOP courses poursuites (annoté)

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Mes 2 scènes préférées: la course poursuite intense du début dans un canal de Los Angeles puis celle de la fin, dantesque, qui s'achèvera par la séquence de la fonderie. Rythme, tension, dramaturgie, effets spéciaux, tout est prodigieux et personne n'a fait mieux depuis.

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1er long métrage de Spielberg tourné avec peu de moyens en 12 jours les connaisseurs ne pourront que constater à quel point cette œuvre est fantastique.
Au-delà de la course poursuite prodigieusement mise en scène il s'agit ici ni plus ni moins de l'invention du film de "survie motorisée".

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Le film est particulièrement faiblard mais la scène de course poursuite sur le "Freeway" vaut indéniablement le coup d’œil. 7 semaines de travaux sur une autoroute californienne, 2,5 millions de dollars dépensés et 45 jours de tournage ont été nécessaires à cette séquence de 26 minutes. La folie des grandeurs!

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Le concept audacieux initié par "Duel" de proposer une course poursuite s'étalant sur l'ensemble du film finit malheureusement par s'essouffler, "l'aller" est bien plus intéressant que le "retour".
Miller réussit toutefois à innover en termes de mise en scène, de montage et de cascades afin d'éviter habilement le piège du "tout numérique".

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Friedkin au sommet de son art avec notamment 2 idées reprises de nombreuses fois par la suite: l'utilisation du canal de Los Angeles (Cameron s'en est inspiré pour T-2) et l'autoroute prise à contre-sens.

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"Duel" manquait visiblement à Spielberg ce volet d'Indie ne manquant pas de courses poursuites diverses et variées (en side-car, en tanks, en bateau, à pied etc...). Intense et prodigieusement filmé la qualité visuelle a toutefois pris un coup de vieux suite au chef d’œuvre de Cameron.

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Le film qui a révolutionné le concept de course poursuite, récompensé par ailleurs par l'oscar du meilleur montage. Friedkin s'en est grandement inspiré par la suite.

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2 autres scènes de poursuite mythiques à Nice dans un 1er temps puis dans les rues de Paris à la fin du film, avec notamment De Niro au volant d'une Peugeot 406! Les prises de vue et la sensation de vitesse sont réellement impressionnantes.

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Je déteste ce film... sauf la scène finale! Une merveille de mise en scène et d'inventivité qui m'a redonné espoir en Tarantino, j'étais à 2 doigts de me pendre...

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Un film injustement sous-estimé, Damon dans la Mini Cooper de Potente et à contre-sens dans les rues de Paris il fallait le faire!
Vous verrez Doug Liman sera enfin reconnu à sa juste valeur par "internet" d'ici une dizaine d'années, les internautes conditionnés ne le savent pas encore :)

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Hackman alias "Popeye" dans sa Pontiac LeMans volée, Friedkin est indéniablement l'un des réalisateurs s'intéressant le plus aux séquences de course poursuite.
La multiplication des points de vue et la sensation de vitesse étaient un tour de force à l'époque, même s'il faut reconnaitre que c'est nettement moins impressionnant aujourd'hui.

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Toutes les scènes de poursuites des 3 volets sont mythiques, je pense ici à la récupération de l’almanach par Marty sur son overboard puis à Biff qui tente de l'écraser dans le tunnel.
Le terme "culte" souvent employé à tort et à travers ne m'apparait pas galvaudé pour la trilogie de Zemeckis.

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Chaque James Bond comprend son lot de courses poursuites mais pour ma part c'est celle qui ouvre cet opus qui m'a le plus marquée.
La qualité visuelle et sonore, l'Aston Martin, le ton kitch et la décontraction de Brosnan marquaient un réel renouveau avec les épisodes antérieurs.

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Même si je n'ai jamais été sensible à son humour il est impossible de ne pas citer ce film lorsqu'on évoque des scènes de course poursuite, ne serait-ce que pour ses prises de vue audacieuses et son record historique de véhicules détruits.

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Le film est extrêmement faible mais sa scène d'ouverture prodigieuse mettant en scène "Baby" tentant d'échapper à ses poursuivants en musique et dans une Subaru Impreza monstrueuse vaut indéniablement le coup d’œil.

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Le remake opportuniste "60 secondes chrono" avec Cage n'a rien à voir avec l'inventivité de celui-ci, un groupe de braqueurs ayant pour mission de voler et de livrer 48 véhicules à des Mexicains.

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Cage au volant d'une Ferrari poursuivant Connery dans les rues de San Francisco. J'ai toujours été subjugué par la débauche de moyens nécessaires à la réalisation de cette séquence risquée et dispensable, le film est censé démarrer à Alcatraz...

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Soyons chauvins avec cette merveille de Verneuil où Bebel et Sharif se tirent la bourre dans les rues d'Athènes. Une véritable prouesse pour un film français à cette époque.

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Bon c'est comme les James Bond, c'est du film pop-corn. Toutefois Cruise filmé à 200km/h au guidon d'une S1000RR sur l'autoroute de Marrakech j'avoue ne pas y être resté insensible.

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Une petite révolution concernant l'utilisation et l'optimisation des drones par Bay, rendant soudainement réalisables des prises de vue autrefois impossibles.
Dommage le film est nullissime par contre...

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Aaaah la célèbre Dodge Challenger RT. Barry Newman (Kowalski) parie qu'il peut convoyer ce véhicule mythique de Denver à San francisco en 15h (2000 km quand même...) et se retrouve donc avec toutes les polices des États aux fesses.
Scénario absurde et génial à la fois.

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Même s'il y a finalement très peu de scènes de conduite contrairement à ce que le titre pourrait suggérer la séquence où Gosling tente d'échapper à la flicaille suite au braquage raté reste mémorable. Refn est doué ce n'est plus à démontrer.

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Le concept de "voiture tueuse" imaginé par Stephen King et mis en scène par Carpenter avec brio, les simples plans de véhicules sans conducteur parvenant à susciter ce sentiment d'effroi. Dommage cependant il n'a pas très bien vieilli.

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Le film est tellement insupportable que je vous conseille de visionner la course poursuite parisienne sur youtube, autant gagner du temps.
Toutefois le carambolage démentiel des voitures de flic en face de la tour Eiffel a provoqué chez moi un sentiment jubilatoire et primaire qu'il m'est très difficile d'expliquer...

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1er rôle d'un Stallone alors inconnu et film subversif les pilotes se livrent une course pour un jeu télévisé absurde sur tout le territoire américain et marquent des "points" lorsqu'ils écrasent des civils (encore plus s'ils sont vieux, malades ou handicapés...). C'était le bon temps on pouvait encore se marrer :)